02 RECHERCHE D’UN SUPPORT DE L’INFORMATION BIOLOGIQUE

Après avoir lu et fait lire le livret de J. Benveniste sur ce sujet : « Ma vérité sur la « Mémoire de l’eau » (Albin Michel) », A. G. (électronicien) eut une intuition. Il considéra que le solénoïde enregistreur (plongé dans un liquide) employé par J. Benveniste était simple et que l’entrée d’un microphone, étant équivalent à une inductance au niveau électronique, pouvait jouer le même rôle que ce solénoïde et pourrait peut-être donner des résultats
équivalents (dans l’air). Il m’adressa donc par mail un enregistrement audio de Sulfur pour savoir ce que j’en pensais.

La lecture se faisant sur Windows Media, une résonance du Sulfur 9CH réel (tenu entre mes doigts) et du Sulfur numérique audio émanant de l’Ecran du PC, en visualisation seule, se produisit sur mon pouls, de manière faible mais réelle.
Cette résonance se produisit aussi face aux seuls haut-parleurs lors de la lecture de la bande sonore.

L’étude des caractéristiques des substances pharmacologiques enregistrées par le magnétophone du PC fut donc entamée.

ANALYSE D’UN SUPPORT AUDIO

 
Repérage de l’axe central d’une Bande passante

Les BP audio, amplifiées ne sont pas des plages sans histoire. Elles ne sont que rarement homogènes. Elles comportent une ou deux plages A et C, souvent situées aux extrémités, qui oscillent en alternance avec la partie centrale B de la Bande. Il convient donc de rogner A et C.
Dès lors, un axe, fixe localement, peut être trouvé.
Cet axe central n’est pas un point mais une ligne verticale située vers le milieu de la partie B.
On peut imaginer que c’est au milieu de cet axe vertical, à l’intersection avec l’abscisse, qu’un point se trouve.

 

Inconvénients de la BP Audio

La Bande passante qui figure sur le logiciel WavePad émet un Biochamp en tunnel (de diamètre égal à celui de l’écran ou plutôt de la surface du Biochamp. Mais la périphérie du tunnel n’est pas silencieuse pour autant.
Dans le cas de notre Biochamp en tunnel qui pulse en long, nous constatons la présence d’un halo périphérique, hors écran, qui pulse en travers.

Au plan thérapeutique, si donc nous nous exposons à un tel Biochamp mixte, émettant un champ + et un contrechamp (-), le résultat de l’exposition est sujet à caution.

 

L’abandon des BP Audio mp3.

Cette insuffisance était doublée d’un second inconvénient : les utilisateurs avaient tendance  à user de casques audios pour se soigner ; or la présence d’électro-aimant dans chaque oreillette minorait encore plus l’info émise.

Actuellement tous nos Biofilms sont des Visuels, plus faciles à réaliser et plus efficients.

 

 

Le support photo

Venons-en à « la capture » du point axial d’une photo de malade proposée par le Web.

Au milieu de l’image se trouve le point axial : si l’on place le stylo universel (bien induit) en regard du point axial, on peut décompter un bon nombre de pulsations.

Le plus souvent ce point axial ne dure que quelques pulsations ! Et tout de suite après apparaissent deux plages inhomogènes sur la photo : une zone A jouxte une zone B. Et si les zones A et B sont de surfaces identiques, toute la photo oscille et le point axial est fuyant, se déplace, louvoie entre les deux zones…

Naturellement, l’Appli Paint permet de découper, de rogner les zones A intempestives jusqu’au moment où ne subsiste qu’une plage B bien détourée … mais sans point axial.

Les photos de malades.

Ce sont celles qui méritent le plus de découpages. Et pourquoi ?  Nous le savons depuis longtemps : nous devons nous reporter au Chapitre « répartition des champs cutanés ». Le revêtement cutané est constitué de 32 champs en damier. Or il s’avère que ces champs cutanés en damier sont A ou B, ou C, ou D ; ils sont source de l’oscillation physiologique.


Le portrait d’un visage

Il est assez complexe en soi. Outre le fait qu’il se divise en deux côtés D et G, il comporte souvent un aperçu du cou. Pour avoir un point axial stable, on doit faire disparaître tout élément du cou, et la section passe souvent au-dessus du bord inférieur du maxillaire inférieur.


Absence d’enregistrement du point central d’une image.

L’amplification repose sur le Zoom du point central. L’hypothèse étant que ce point résumerait à lui seul l’information de l’image ; la périphérie serait un frein, par son état oscillant.
Ce point central devrait donc être « centrifugé », grossi voire flouté …

 

Pour faire succinct

Avec le temps et les progrès des détecteurs, il s’avèrera que ce Biofilm zoomé persiste à se diviser en deux plages. Cette fois ce n’est pas comme la BP audio qui va et vient entre le centre et son halo mais entre la partie supérieure et la partie inférieure de l’image de part et d’autre d’une ligne horizontale.