15 – ELEMENTS NÉGATIFS PERTURBATEURS DU POULS DU MALADE, EXOGÈNES ET ENDOGÈNES

 

 

Dans de bonnes circonstances, le pouls radial est calme et silencieux. C’est d’ailleurs à partir de cet « état de grâce », que les jeunes médecins peuvent sentir, percevoir leurs premiers « RAC » (Réflexe Auriculo Cardiaque de Nogier).

Mais dès sa prise en main, le pouls radial peut s’exprimer sous forme d’ondes actives alternatives (les binômes). Ce manque de calme initial est gênant ; il équivaut à un « bruit de fond » ; il relève de facteurs surtout physiques environnementaux. Malgré la mise au repos allongé du sujet, les binômes, ces ondes A et B alternées et assez stationnaires, perdurent.
Nous sommes ici amenés à inventorier ces éléments perturbateurs du pouls.

 

 

ELEMENTS PERTURBATEURS

 

1/ Éléments actifs

 

Cette étude est d’autant plus importante que champs magnétiques ou électriques perturbent la lecture des Biochamps informatifs.

L’information qui émane du vivant d’une façon générale est une « information oscillante » assez lente et silencieuse. Et cet état doit être respecté. Mais bien des éléments physiques interfèrent avec cet état oscillant a minima.

 

Les champs magnétiques émis sont néfastes

Ils dérèglent le pouls de différentes manières.

Le plus inattendu est le suivant. Quand un malade sort de sa voiture et arrive en consultation, son pouls n’est jamais calme. Il est pollué par le puissant champ magnétique de l’alternateur de sa voiture, et cette pollution est d’autant plus importante qu’il vient de loin. Et quinze minutes de voiture suffisent à le polluer.

Notre pratique habituelle consiste donc à l’exposer à un Biochamp de Labradorite émis par l’écran de notre PC pour calmer son pouls, avant de poursuivre son examen.

Plus sournois sont les aimants hébergés dans le cabinet médical. Quels qu’ils soient, ils doivent être tous bannis. Mais ce n’est pas toujours facile.

Certaines sources magnétiques résident dans les rhéostats des lampes halogènes allumées. La parade consiste à placer leur bobine sur un axe parallèle à une ligne cutanée du corps du patient allongé ou assis. Il en va de même des petits aimants : leur axe Nord-Sud doit aussi être parallèle.

En revanche, si l’axe est perpendiculaire au plan cutané du sujet, son pouls ne se calme pas.

Et si l’axe est oblique, il engendre des phases alternatives de silence et d’agitation du pouls, le pouls est oscillant. Ces oscillations induites sont incompatibles avec les oscillations informatives naturelles qui s’en trouvent masquées ou altérées.

 

Les champs électriques sont aussi néfastes.

Ils entourent les piles électriques cylindriques avec leurs pôles opposés. Ces piles sont souvent en double, en ligne, en série. Elles occupent les lampes torche, les lampes de Heine en particulier qu’utilisent certains médecins ORL (ou les auriculomédecins).

Même parade qu’avec les aimants : mise en parallèle avec le malade ou éloignement du champ d’examen.

Note importante : tous ces éléments polarisés doivent être mis parallèles à l’écran du PC lorsque la recherche se fait par cette voie.

 

2/ éléments passifs

 

A côté de ces sources actives en continu de pollution de l’information, existent des objets inattendus, inertes et influents.

Les spires ou les ressorts métalliques ont deux extrémités libres, ils constituent des « queues de cochon » comme les appellent les électroniciens. Ces spires sont aptes à modifier l’intensité des champs électromagnétiques, selon leur angle de rotation.

Nous avons eu recours, il y a longtemps, à ces spires (Anneux-tests spiralés). Ils nous ont permis de découvrir ou de confirmer que les êtres vivants ont un revêtement cutané en damier tel que les cases blanches oscillent en opposition de phase avec les cases noires.
Nous les avons conservés à tort dans notre champ d’examen trop longtemps … sans nous apercevoir de leur effet délétère.

Une spire, aux deux faces opposées en miroir, est comme tout instrument bipolaire, source d’oscillations lentes. Exit une fois encore la lampe de Heine dont les piles sont calées par un fort ressort spiralé…

Les cercles ouverts. Les bracelets de cuivre en font partie. Mais ils sont bien moins répandus que les paires de lunettes.
Pour pallier les oscillations lentes qu’ils engendrent, il faut fermer ces arceaux. Eloigner les bracelets de cuivre, et surtout les lunettes des malades. Problème : le praticien porte souvent lui-même des lunettes. Et la seule solution pour évacuer les oscillations lentes qu’il peut induire consiste à apposer un cordon sur les branches des montures, ce cordon passant en arrière du cou compose un ensemble en cercle fermé. Les cercles fermés n’engendrent aucune oscillation lente.

Le téléphone portable. Il comporte une assez forte batterie dont le champ électrique peut être perturbateur. Il faut trouver l’axe du portable pour le mettre, lui aussi, en parallèle ou l’éloigner.
La montre-bracelet est à retirer elle aussi (en raison de la pile ou d’un ressort).

 

3/ Les éléments endogènes.

 

Ils sont susceptibles de perturber le pouls, malgré la mise au repos du sujet.
Ils ne sont pas source d’oscillations mais d’un bruit de fond : le pouls bat fort, il est sans repos.

Ces éléments sont les suivants : essentiellement les médicaments ingérés, mal indiqués et nocifs, qui constituent ce qu’on appelle les maladies iatrogènes ; ainsi que les aliments mal tolérés par le sujet, les allergènes alimentaires, et les produits phytosanitaires.
Même si ces patients sont venus à pied au cabinet médical, ces éléments endogènes perturbateurs du pouls seront aussi neutralisés par l’exposition à la Labradorite.

Note : si le médicament iatrogène est disponible (dans le sac de la patiente), la pose de celui-ci sur sa peau neutralise l’effet perturbant de son ingestion, c’est un test indirect.

 

4/ Les élément vestimentaires

 

Dernier élément agitateur du pouls. Il n’est ni extérieur, tel un champ magnétique, ni intérieur, tel un médicament nocif mais intermédiaire, cutané. Il s’agit, souvent chez les femmes, de sous-vêtements en tissus synthétiques mal tolérées ; du prurit, des démangeaisons sont souvent associés aux troubles du pouls. Dans ce cas, la Labradorite n’agit pas, seul le retrait du sous-vêtement fait disparaître le bruit de fond du pouls.

 

5/ La Table d’examen

 

Nous avons mentionné que la pose sur la peau d’un médicament ingéré nocif avait pour effet de neutraliser cette perturbation du pouls. Autrement dit, toute substance en contact avec la peau directement ou indirectement posée sur la table d’examen, induit une information pouvant altérer l’examen du patient. Bref, lors de la prise du pouls d’un malade « in vivo », aucun instrument ne doit être en contact avec la table d’examen sur laquelle il repose.

Note : la table est homogène, symétrique, et n’imprime pas sa marque sur le sujet allongé.

 

 

CONCLUSION

 

Comme on le voit, si la Pulsologie est l’étude de l’information pure, cette étude peut rencontrer des obstacles inopportuns, entravant le pouls lui-même.

Cette analyse des sources de l’instabilité du pouls du malade au repos est instructive autant dans le domaine des champs informatifs passifs (les substances pharmaco-toxiques) que dans celui des champs actifs (lampes, moteurs, portables…).

Finalement, la présence du sujet malade sur la table d’examen est à l’origine de bien des perturbations de son pouls. Et nous avons volontairement omis de mentionner la présence du praticien…

Tout ceci est en faveur des examens numérisés que l’écran d’un PC nous procure.