31 – Les MOTFILMS EN DAMIERS RÉELS
L’information “pure”.
La notion d’information « pure », non physico-chimique, conduit aux remèdes numériques. Cette information émane de toutes les substances médicinales ; le remède homéopathique en haute dilution en est le meilleur exemple : la substance pharmacologique originelle en est absente.
Pour notre part, nous lisons distinctement le Pouls de P. Nogier. D’ailleurs, bien des praticiens pourraient se perfectionner dans cet examen somme toute clinique puisqu’il s’agit d’une palpation.
Les champs informatifs des remèdes numériques sont transférables, via l’écran de l’ordinateur, vers le patient qui s’y expose. Transférables aussi via des substances porteuses d’une mémoire, les substances inférables. L’eau ou le granule homéopathique fait de saccharose-lactose (85/15 pour cent) sont des substances inférables.
Les Motchamps
L’étude des Motchamps du précédent chapitre est ici renforcée.
Nous avons dit, que les « champs informatifs procèdent de la Vie, mais aussi du Verbe et de chaque « MOT ».
Ceci est une évolution, une mutation, une spiritualisation de notre recherche.
Du point central zoomé au Mot en son entier
Nos précédents Biofilms émanaient d’un point central zoomé.
Ce point représentait le « noyau » d’une Bande passante audio ou de toute photo d’image pathologique. Il était repéré avec un détecteur particulier. Son amplification (zoom) était censée marginaliser l’image environnante au profit de ce noyau. Et il m’apporta des résultats thérapeutiques encourageants mais fluctuants…
Puis nous sommes passés au Mot bien cadré. La photo d’une rougeole par exemple fut remplacée par le mot « Rougeole ». Avec étonnement nous avons constaté que ce mot avait lui aussi un foyer, un point central, qui pouvait être exploité comme ci-dessus. Nous avons seulement été intrigués de noter que ce foyer résonnait bien au survol d’un détecteur mais qu’assez souvent, pour d’autres Mots, la résonance se faisait « en halo » comme en regard d’un point en creux (pseudo-résonance) …
Ceci m’amena à m’interroger sur la convenance de mes stylo-détecteurs.
Détecteur biologique de premier plan : le Médius.
J’en revins alors au détecteur biologique universel que j’avais décrit, il y a quelques dizaines d’années, à propos de la division en damier de 32 champs cutanés du corps. Le Médius de ma main D a cette capacité, à son extrémité, de résumer les 4 champs basiques du damier crânien ; il en va de même du Médius G et des médius des orteils.
Par survol de mon médius sur les mots-cadrés, je retrouvais deux types de Mots : ceux dont le milieu, initialement, pulse fort (mot B) et ceux dont les extrémités initialement pulsent fort (mot A).
Le Mot noir sur blanc
En approfondissant l’analyse, le Mot-cadré émet, quatre champs internes : L = pulsation en Long, T = en Travers, ligne supérieure D = pouls en biais, supérieure G en biais inversé.
Ce mot se caractérise par son état oscillant. Pour l’angle droit inférieur par exemple, les 6 pulsations L (en long) sont suivies de 6 pulsations T (en travers). Les 3 autres angles se métamorphosent simultanément ; puis retour à l’état initial.
Cet état oscillant et lancinant est un problème que nous avons dû reprendre.
Chaque mot est divisible en 4 champs internes via le médius.
L’Idée nous est venue alors de transférer au Mot une structure à 4 champs, celle qui correspond au damier cutané, comme celui, vu ci-dessus, représentant le sommet de la tête.
Cette conformation en 4 cases nous offre deux damiers dont les surfaces internes sont spéciales.
En partant en haut à gauche et dans le sens horaire, nous avons un aspect BNBN (blanc-noir-blanc-noir).
Le centre du mot, qui est défini par le croisement des deux lignes, résonne initialement sous la pointe du Médius, puis devient silencieux aux dépens du Halo : il y a encore oscillation.
Cette résonance du halo va croissant au fur-et-à-mesure que l’on s’éloigne du point central puis se réduit ensuite lors du retour au point central.
On dirait que l’ensemble » centre-halo » pulse comme un cœur.
Le Damier inversé
Le Mot BNBN est devenu NBNB grâce à Paint.
En regard du Médius, ce Mot révèle deux choses. Le centre du Mot pulse fortement. de manière transversale continue.
Et le Halo reste silencieux.
Le Mot en BNBN, qui pulse comme un cœur, est considéré comme biologique ; est-il favorable ?
Le Mot en NBNB qui pulse en travers peut-il être considéré comme nocif ?
L’état oscillatoire des Mots BNBN n’est cependant pas résolu.
Les Damiers
Ce premier damier à 4 cases étant oscillant, nous avons procédé à une extension de cette notion de damiers.
Le damier à 16 champs BN
Il tire son origine du fait que la face antérieure du corps est divisée en 16 champs cutanés.
Miracle, ce damier n’oscille pas, il est vraiment fixe et silencieux.
Nous évoquons donc l’hypothèse qu’il y a congruence entre ces 16 cases et les 16 champs cutanés antérieurs du corps du Pulsologue qui fait face à l’écran du PC.
Ce damier à 16 cases, ou à 4 Mots, peut être abrégé en BN : ce sont les deux cases blanche-noire du haut.
Le damier à 16 champs NB
C’est un damier inversé de couleur.
Contrairement au damier BN qui pulse en long, le centre du damier NB pulse en travers.
Est-ce un signe de nocivité ? Eh bien non. Il signifie que ce damier représente la face postérieure du corps, il correspond à la « face cachée de la lune ».
Il existe donc deux types de damier : le BN caractérise une maladie ou un médicament dont l’action vise le corps antérieur et le NB spécifie une maladie ou un médicament visant le corps postérieur.
Il suffit de se reporter aux Organes pour comprendre ce phénomène : les damiers des organes antérieurs sont BN et les organes postérieurs (reins, vertèbres…) NB.
La « sciatique », affection postérieure, se présente sous forme NB et pulse de travers lors de son face à face avec le visage, l’avant du corps.
Analyse d’un malade porteur de sciatique. Lors de son exposition au Motfilm sciatique NB, la face antérieure de son corps pulse en travers, mais son dos pulse en Long et c’est ce qui importe.
Les Organes du corps
Une branche de l’homéopathie se dénomme Organothérapie.
Nous avons ainsi établi une liste des Organos en 30CH qui comporte 137 éléments.
Cette analyse nous permit de découvrir que tous les organes antérieurs du corps (les seins) relevaient des damiers BN et que tous les organes postérieurs (les reins) relevaient des damiers NB.
En réalité il existe une réelle opposition des 16 damiers cutanés antérieurs et des 16 postérieurs.
Damier à 32 champs cutanés
Cette distinction dans l’espace des Mots d’organes avant et arrières nous conduit vers une extension plus générale : toutes les pathologies et toutes les substances médicinales postérieures NB doivent être signalées et regroupées.
Dépistage des éléments NB postérieurs.
Les pathologies postérieures sont aussi nombreuses que les antérieures ; les néphrites ou les sciatiques bien sûr, font partie des postérieures.
Quelques exceptions majeures parmi les médicaments ou autres substances biologiques : les gènes-suppresseurs, les anticorps, et un certain nombre de produits inattendus, qu’il a fallu dépister, sont NB.
Ce dépistage exige l’analyse l’une après l’autre de chaque maladie ou substance pharmacologique de manière unitaire.
Chaque Motfilm en 16 cases est ouvert via Paint sur le côté de l’écran, à D ou à G, et selon une surface en format réduit.
Pourquoi cette latéralisation ? Le Pulsologue en est la cause. Si son nez, sa ligne médiane se confond avec la ligne médiane verticale du Motfilm, le pouls ne se manifeste pas, et reste muet, inhibé.
Si le Motfilm BN est latéralisé sur l’écran et que le pouls garde le silence, ceci signifie que le Mot est bien BN, qu’il appartient à la sphère antérieure du corps.
En revanche, après latéralisation du Mot, si le pouls bat très fortement, le Mot « BN » est de nature postérieure et doit être inversée en « NB » ; sa position latérale retrouve alors le silence.
Cette inversion en NB qui rend silencieux les médicaments postérieurs est indispensable.
Les substances BN et NB doivent être regroupées de manière séparée, aucune cohabitation n’est permise si l‘on veut pratiquer les tests de remèdes.
LE MALADE ET SES 2 REPRÉSENTATIONS
Il peut se manifester via sa photo (tête et cou) envoyée par mail ou WhatsApp.
Il est aussi possible de le mettre en mot : « Prénom-N. »
Prénom-N.
Pour être en harmonie avec les listes de médicaments en damier, ce Prénom-N. doit subir, via Paint, une « mise en damier » lui-même et de manière cohérente en 16 cases :
Avec les pathologies et médicaments à 16 champs nous sommes conduits à opter pour les Prénom à 16 champs.
Le Prénom doit-il être BN ou NB ? Pour le savoir, il suffit de latéraliser le Prénom à D ou à G de l’écran, loin de la ligne médiane de l’analyste. Si le Prénom BN pulse, c’est qu’il doit être inversé en NB pour que le silence s’établisse. Et Inversement pour un Prénom NB.
La Photo
La photo directe « visage-cou » est naturellement sous forme de 4 champs basiques, elle est du type BN. Elle est réversible via Paint, et cette forme inversée de couleur, est similaire au Prénom NB.
Latéralisée sur l’écran, si la photo directe pulse, elle doit être inversée de couleur pour que le silence se fasse et pour que les tests de résonance puissent être entamés.
Petit mystère :la photo ne nécessite pas 16 champs…
Le malade réel
Il n’a pas sa place dans nos tests devant écran car il n’est pas en 2D mais en 3D, ce qui favoriserait des interférences avec le Pulsologue. En revanche il trouve sa place dans le contrôle du résultat des tests (pendant l’exposition).
Le malade Audio fait exception
Le malade peut en effet vous téléphoner. Et votre haut-parleur émet un message Mono en 1D. Tant qu’il est au bout du fil, même sans parler, la présence du patient devant son microphone suffit à vous transmettre l’information biologique, pathologique de tout son être. C’est assez prodigieux. En cette circonstance, le Pulsologue 3D n’interfère pas.
Il devient ainsi possible de mesurer à distance l’effet d’un traitement via le pouls.
Spécificité de la résonance entre une photo et une substance
Spécificité du Mot en soi : il peut être composé : « générique-spécialité ». Si jamais il y a erreur sur l’un d’eux, mésalliance, le médius ne perçoit rien, inouï !
Expérience simple : afficher sur le PC le Nom du médicament à G de l’écran (Salbutamol) et la photo du même médicament à D (Ventoline), sans contact des images ; le survol à distance avec le Médius D révèle la forte résonance qui unit les deux images ; si l’une d’elles est retirée de l’écran, toute résonance au pouls disparaît ; elle s’évanouit, aussi, quand le Nom ne correspond pas à l’image.
Comment procéder avec le PC
Avertissement : Le praticien, que je suis, dispose d’un PC dont le clavier et l’écran sont filaires. Aucun test avec une souris ou un clavier sans fil de connexion avec le PC n’a été fait jusqu’ici.
Diagnostic de Pathologie en l’absence du patient
La subtilité de la Pulsologie est telle que le malade peut être remplacé autant par sa photo que par son « Prénom-Nom ».
Nous savons que le Nom du malade est inscrit – via Paint – sur un côté de l’écran.
Réaliser un Prénom-N. (à 16 cases) NB est facile, via Paint ; un peu d’habitude suffit.
Mais on peut aussi se servir de la photo du visage-cou antérieur du malade et en inverser les couleurs avec Paint. Seule est retenue la photo, qui latéralisée, est silencieuse.
On Choisit la liste des pathologies selon le type de maladie (la spécialité). La liste des maladies ou des remèdes est affichée de manière controlatérale à l’écran. Généralement, au Prénom BN correspond une pathologie BN : c’est la base de la résonance.
Une règle à respecter, pour obtenir une bonne résonance : faire ces tests sur un grand écran afin que prénom et listes de maladies soient bien latéralisées. La ligne médiane (LM) du Pulsologue doit être au centre de l’écran, à distance de ces deux champs.
Ici encore on retrouve l’influence du praticien-testeur et de la LM de son visage.
Le choix du stylo détecteur
Le stylo universel S.T.B.R. est devenu notre référence majeure avec son homologue inversé.
Les substances en lice sont survolées avec la pointe du stylo ou avec le stylo tenu en parallèle à l’écran.
Diagnostic de Pathologie en l’absence du patient
Le praticien ne peut pas tester des remèdes directement sur le malade en 3D car, dans ce cas, des interférences informatives se produiraient avec lui-même en 3D.
Si le Pulsologue recherche un Diagnostic pour lui-même, il doit entrer lui aussi son Prénom-N en 2D, par cohérence, pour respecter la liste des pathologies en 2D.
Le mystère du Prénom
Comme nous venons de le voir, le malade peut être remplacé autant par sa photo que par son « Prénom-Nom ».
Ce qui interpelle vivement, c’est ceci : le Prénom-N. n’est pas daté ! Tout se passe comme si le temps n’existait pas ! A trois mois d’écart, un même patient peut être porteur de deux affections différentes ; or les remèdes élus seront en phase avec l’état sanitaire actualisé du patient représenté par son Prénom-N sur lequel le Pulsologie se concentre.
Elle va à l’encontre de la démarche scientifique qui exige la répétitivité de toute expérience pour qu’elle soit irréfutable.
Ceci n’est pas une expérience de pensée ; j’’évoquerais plutôt une expérience, transcendante car celle-ci ne peut réussir que si le porteur du Prénom-N est vivant : en effet le damier du Prénom-N ( à 4 ou à 16 champs). d’une personne décédée reste muet en regard du médius ! Bref, on peut toucher du doigt la Transcendance, donc les deux Mondes.
Diagnostic d’une maladie.
Le diagnostic repose sur la liste des maladies rangées par spécialités et classées en BN ou NB.
Les listes étant parfois longues (allergènes, aliments), nous avons capturé tous les éléments en deux groupes, l’un sur fond noir, l’autre sur fond blanc. Ces captures d’ensembles sont repérables, elles sont du style « 00— sur fond noir » et « 00—sur fond blanc » et surmontent chaque colonne listée.
L’intérêt de ces listes est celui-ci : l’une, sur fond noir, favorise le diagnostic, via le stylo S.T.B.R. 1, et l’autre, sur fond blanc, est propice à une thérapie d’ensemble.
Pour les patients non formés à la prise du pouls, ce procédé thérapeutique est assez pratique. Lors de l’exposition, son organisme sélectionnera et captera les éléments stimulants dont il a besoin.
Pour le Pulsologue, cette liste est latéralisée sur un côté de l’écran (soins-numerises.com). la photo ou le Prénom est latéralisé de l’autre côté de l’écran.
Avec le détecteur-stylo S.T.B.R. 1, il survole les diverses pathologies de la spécialité incriminée pour cibler la maladie résonante dont souffre le malade.
Élection de remèdes
La liste des médicaments qui sont envisagés
L’élection repose sur la liste des substances médicinales (à 16 cases) proposées dans un domaine particulier (Rhumato par exemple). Cette liste est du côté droit de l’écran.
Nous sommes persuadés que les listes, dans chaque spécialité, comportent de trop nombreuses substances médicinales. Et pourtant tous ces médicaments ont obtenu une MSM, une autorisation de Mise Sur le Marché. Ceci explique la pléthore de substances pharmacologiques.
Mais nous nous sommes aperçus que ces listes ne rendaient pas facile l’émergence des remèdes favorables lors de nos tests. Assez souvent une substance « nocive » venait masquer l’expression de remèdes normalement indiqués pour le malade en question.
Cette substance nocive pulsant en travers, devait-elle être considérée comme spécifiquement nocive au malade ou était-elle nocive en soi ? Nous avons longtemps penché pour la première hypothèse alors que c’est la deuxième qui a fini par s’imposer : beaucoup de médicaments sont nocifs en soi. Ce qu’avait déjà dénoncé le Pr Philippe Even quand il disait que 60 % des médicaments sont inutiles ; il se focalisait alors, il y a 10 ans, sur les anticholestérols.
Et c’est grâce au pouls que nous avons mené notre propre analyse, en étudiant chaque substance séparément (sous forme de Motfilm).
Le stylo universel S.T.B.R. nous a alors révélé que beaucoup de ces éléments pulsaient de travers quand on les survolait de près. Et nous avons regroupé ces « toxiques » dans des dossiers à part.
On peut définir un Toxique ainsi :
1/ qu’il soit sous forme BN ou NB, il pulse de travers.
2/ Il pulse de travers non seulement près du stylo mais aussi à distance : le pouls du Pulsologue est spontanément affecté, sans aucun instrument intermédiaire.
3/ l’analyse se faisant vis-à-vis de la photo d’une personne, cette pulsion transversale persiste, quelle que soit la personne photographiée ; le Pulsologue et la personne se confortent dans leur aversion.
Pour nous une substance médicinale « toxique » possède probablement des vertus curatives, inférieures en intensité aux effets secondaires qu’elle peut engendrer.
Ne pas confondre « toxique » et « nocif ». Parmi les Allergènes, par exemple, une partie d’entre eux est nocive pour certains sujets et non pour les autres, l’autre partie est toxique pour tous, tels que le sont les venins et autres poisons biologiques.
Nous avons donc expurgé nos listes de ces toxiques. Et les tests sont alors devenus beaucoup plus faciles car l’expression des remèdes n’était plus faussée par la présence interférente de ces non-médicaments.
La perfection de ces listes relève donc de deux choses : la radiation des toxiques et la bonne séparation des BN et des NB ; si un médoc BN a malencontreusement infiltré une liste NB, le pouls sera plus hésitant et cette incertitude conduira à suspecter l’intrus et à le transférer dans sa propre famille.
Le détecteur
Avec le détecteur-stylo S.T.B.R., nous survolons la spécialité incriminée pour cibler les remèdes résonants aptes à soulager le malade dont le Prénom ou la photo est affichée sur le côté de l’écran.
Il va sans dire qu’aucune résonance ne se produit si aucun remède spécifique n’existe dans la liste survolée. Mais certains remèdes apparentés peuvent se manifester par défaut.
Le Praticien
Le nez du Pulsologue pointe vers le centre de l’écran
Particularismes
Les intoxications phytosanitaires
Pour le malade intoxiqué ou l’agriculteur imprudent, ce n’est pas le produit causal qui peut le soulager mais le groupe « Intoxication-par-organophosphoré » par exemple, groupe qui perd son état oscillant. On trouve les principales Intox phytosanitaires en « soins-numerises.com » / 09.
Une exposition des plantes à des Motfilms du produit phytosanitaire incriminé serait plus souhaitable que l’application de ces réelles substances chimiques. Elle pourrait agir sur le sol ou sur les plantes en culture. Même sur une grande surface. Mais à quel bon moment de la pousse ? Quoi qu’il en soit ces produits phytosanitaires à l’état brut ne sont pas proposés sur nos sites de soins ni de remèdes ; mais ils sont disponibles.
Les Virus
Ils sont souvent en cause, ils initient bien des maladies.
Leur mise en évidence réclame une similitude de présentation du Prénom et de la liste virale : ils doivent être BN tous les deux.
Le premier virus qui résonne est généralement le fautif car il pulse en travers en continu et à proximité « au contact ». du stylo.
Peut-on l’inhiber?
Il est possible d’avoir recours à l’Homéopathie. Le virus causal est alors hautement dilué en 30CH, « Virus-x-30CH » ; ceci est surtout adapté aux Covid Longs par exemple.
Cette méthode peut s’appliquer aux bactéries.
Cette méthode convient aussi aux allergènes nocifs voire toxiques.
Agents pathogènes multiples des allergies
Avouons que le domaine des allergies est très vaste et très complexe. En cas d’asthme d’été, de multiples pollinoses peuvent s’associer et l’on ignore les Noms des composants. Une astuce existe. Photographier le champ de blé qui perturbe votre pouls et, après inversion des couleurs, exposez-vous à cette image : vous vous en trouverez bien, du moins pendant une demi-journée.
Il en va de même des intolérances alimentaires issues des plats cuisinés de la grande distribution. La photo inversée du plat suspecté vous soulagera tout en vous indiquant qu’il devra rester chez le vendeur la prochaine fois.
Cela étant, en cas d’allergie unique, spécifique, à X on peut avoir recours au Motfilm « Allergie-à-X ».
L’Exposition thérapeutique
Le Motfilm Remède, adapté au malade, s’affiche de manière visuelle au centre de l’écran.
Il est statique, immobile ; il envoie, via les champs EM porteurs de l’écran, une information spécifique.
Pour chaque médicament ou principe médicinal, un Motfilm est proposé qui cible le Malade atteint.
Plusieurs Motfilms sont souvent nécessaires (cas du Covid). Infectiologie et complications : pathologies Cardio-vasculaires, Système nerveux central, Rhumato.
Dès le début de l’exposition le pouls bat fortement (si le Motfilm est bien ajusté). Pendant la durée d’imprégnation de l’organisme, de forts battements du pouls se manifestent ; quand le pouls est calmé, l’expo peut être arrêtée.
En pratique, le malade se place devant l’écran et s’expose de face à chaque Motfilm, deux minutes au début, puis une min voire 30 secondes ensuite, à raison d’une fois par jour. La prise du pouls peut être bien utile : si l’exposition engendre 50 pulsations, il convient de la doubler, d’en ajouter encore 50 pour que le compte soit bon.
Si aucune amélioration clinique ne se produit à l’issue d’une cure de cinq jours, on peut tout suspendre, le Motfilm n’est pas adapté.
La thérapie établie par le Pulsologue.
En raison des interférences entre les sujets réels en 3D, les élections thérapeutiques ne se font qu’en 2D, dans le plan de l’écran.
En survolant les listes médicinales avec le stylo universel, il obtient une résonance d’écart avec le Prénom-N du malade ou de sa photo.
Les médicaments sont classés en listes spécialisées BN et NB.
Ces listes sont inaugurées par une capture d’ensemble 00—sur fond blanc et une capture 00—sur fond noir. Les substances sont ainsi ramassées en un ensemble compact.
Ces captures permettent des tests initiaux, ils indiquent les substances impliquées par la photo ou le Prénom. Si l’on détecte avec le stylo Universel, il est bon d’employer la capture 00 sur fond noir ; si la détection se fait sur la capture 00 à fond blanc, le stylo Universel inversé s’impose. Les deux méthodes se confortent, s’étayent.
La thérapie surveillée par le Pulsologue.
Cependant, sur le plan thérapeutique, le praticien peut évaluer, sur son propre pouls, l’effet du Motfilm sur le malade en 3D et sa durée informative.
Son propre pouls décèle par la force et le nombre de ses battements la justesse de l’indication du remède ; ceci suppose que le praticien est à peu près neutre, qu’il n’interfère que peu avec son patient ; cela étant, si le Motfilm est très indiqué, très propice au malade, la présence du praticien est négligeable.
Tout praticien sachant prendre le pouls radial est apte à apprécier la force des pulsations.
Tout médecin évoquant une thérapie peut contrôler par là même son intuition.
Thérapeute non Pulsologue
S’il envisage un éventuel médicament utile, il peut le trouver via la fenêtre de recherche.
Il s’oriente alors vers celui-ci et y expose son patient. Et si le pouls bat avec force, il a la preuve que son intuition était bonne. Ces forts battements doivent durer une demi-minute pour que ce médicament soit bien ciblé ; s’ils ne durent que six à 10 secondes, le remède est secondaire, accessoire.
Il peut aussi l’exposer au groupe de remèdes en capture « 00—sur fond blanc » et s’il constate de fortes pulsations, il patiente jusqu’à ce que ces fortes pulsations cessent. Le malade a capté les informations qui lui sont propices.
Les causes d’échecs.
a/ Un diagnostic inexact.
b/ Un Pouls toxique (pulsations actives en travers et continuelles). Un patient qui arrive en voiture est pollué par le champ magnétique de l’alternateur du moteur. Je l’expose en priorité, dès son arrivée, à la Labradorite, pour calmer son pouls, avant de poursuivre tout examen.
Une intoxication alimentaire ou médicamenteuse : dans ce cas il faut exposer aussi le patient à la Labradorite dépolluante (en tête des rubriques) avant d’entamer l’exposition au programme principal.
Ces dépollutions s’imposent quand on veut déterminer la pertinence des remèdes que le patient apporte ; via la réaction d’écart (pulsologie.com) les uns sont favorables, les autres inutiles voire nocifs (à proscrire).
Assez souvent, le remède bien choisi par le Pulsologue est le bon. Mais certains malades préfèrent qu’il soit prescrit et délivré par le pharmacien.
c/ Le seul Motfilm d’une maladie a presque toujours besoin d’autres Motfilms pharmacologiques d’appoint : voir site de remedes-numeriques.com.
Effets secondaires.
Un Biofilm mal indiqué serait-il apte à induire des effets secondaires ? Si l’indication est mauvaise, l’exposition-test ne donne aucune résonance.
Certes, l’exposition à un virus causal en phase aigüe aggrave, les pulsations en travers en témoignent ; mais en prévention il vaccine.
In fine, ne sont reconnues et captées que les bonnes informations thérapeutiques. Et cette résonance ne vaut que pour le malade et non pour son entourage.
Principe de convenance
Il serait hautement préjudiciable et peu fiable d’utiliser des remèdes oncologiques pour traiter un cancer sans l’aval d’un Pulsologue éprouvé qui pourrait orienter le choix thérapeutique.
Toutefois l’Oncologue sera hostile à toute suggestion thérapeutique, étant assujetti aux protocoles qui lui sont imposés….
Il va de soi que les pathologies oncologiques (cancers) sont peu de notre ressort ; nous osons cependant proposer, sur le site « remedes-numeriques.com » des « Motfilms » de nombreux médicaments oncologiques afin de pouvoir choisir, via le pouls, les remèdes les mieux ciblés, les plus adaptés pour l’individu atteint, avant de passer à la chimiothérapie réelle.
Cette approche pourrait-elle se concevoir dans le cadre d’un Staff ? Elle n’a aucune chance de voir le jour, les protocoles internationaux ayant le soutien des laboratoires pharmaceutiques ont une approche statistique et non individuelle ; une approche scientifique et non spirituelle.
En revanche, nous ne pouvons qu’inciter les malades souffrant de troubles fonctionnels intermittents à expérimenter ces remèdes dès lors qu’ils savent d’expérience ce qui leur convient.
Ces remèdes peuvent aussi pallier les médicaments réels en rupture de stock.
La fenêtre, en haut à gauche, permet de trouver immédiatement la substance recherchée.
Certains anciens remèdes, mis sur la touche pour éteindre toute concurrence commerciale, peuvent ici être retrouvés.
C’est le cas de « Eucalyptine le Brun injectable » qui, générateur d’abcès de fixation a minima, très prescrit dans les années 1960 à 70, faisait trop d’ombre aux antibiotiques.
Les Remèdes rétablissent l’équilibre des malades en contrant leur déséquilibre biologique. Certes dans les cas chroniques, la nature pathologique reprend ses droits et une nouvelle exposition aux Motfilms appropriés s’impose.
« Guérir parfois, soulager souvent, consoler toujours » a dit Ambroise Paré. C’est ce que nous essayons de faire.
Grâce aux Motfilms pouvons-nous dire comme Lamartine « Objets inanimés avez-vous donc une âme ? » Nous nous contenterons de dire qu’ils ont surtout une Ame informative et que c’est vers celle-ci que nous nous empressons.
Grâce à la Pulsologie, via l’électronique, nous sommes passés de la Science dure à la l’approche Spirituelle des choses.