32 – ABRÈGE

 

1/ La Pulsologie

 

Elle relève bien de l’examen clinique, au sens noble du terme, puisqu’elle repose intégralement sur le sens du toucher, sur la palpation du pouls radial qui s’avère être un instrument biophysique de tout premier plan, la pierre de touche qui a permis aux Chinois de concevoir l’Acupuncture.

L’expression du pouls, de type ondulatoire, se traduit en un véritable langage binaire qui s’exprime fortement lors des « résonances ». Le pouls nous renseigne sur les échanges d’informations qui se produisent au sein de l’être vivant.

 

2/ Étapes

Nos exposés mettent en relief les étapes de notre recherche.

La maîtrise du pouls

La première étape fut de maîtriser le pouls, de réprimer son « bruit de fond », son bavardage incohérent.

Les ambigüités

Première ambiguïté : les interférences entre le domaine physique / champs biologiques

La sortie de la sphère électromagnétique a demandé bien du temps en raison des premiers instruments utilisés qui appartenaient à cette sphère (ATSU, détecteurs bimétalliques, piles électriques, aimants).
Mais ces instruments, nous ne le savions pas, étaient ambigus par leur aptitude à capter aussi des informations non EM.
Les détecteurs en plastique purs (T noir-Blanc, stylos divers) sont venus confirmer que nos informations médicinales émanaient de champs biologiques non EM.

Seconde ambigüité : le phénomène des interférences observateur / observé (la Bulle).

L’évacuation de l’observateur, hors du couple « malade-médecin se tenant par la main via le pouls », ne s’est pas fait rapidement.

Les problèmes de pollution

Ils furent à l’origine de nombreuses erreurs.

A cette étape majeure et ancienne est liée la découverte de l’effet dépolluant du cristal de Labradorite qui permit de corriger de nombreux problèmes. En réalité, la pollution artificielle de la majorité des supports des médicaments fut liée aux champs magnétiques ambiants intenses et cette pollution fut une cause supplémentaire de nos errances.

Les problèmes d’oscillations

Que de soucis n’avons-nous pas rencontrés avec ces phénomènes oscillatoires.

Ils ont été attribués d’abord à nos instruments d’investigation : les détecteurs bipolaires (en T Or-Ag) ; les Spirales des ATS et ATSU, les piles électriques ou les champs magnétiques ; puis aux deux Trèfles qui reproduisaient un système oscillant.

Même à l’heure du stylo universel monopolaire, il fallut se rendre à l’évidence que les images pathologiques, les photos étaient aussi oscillantes.

Et finalement découvrir que l’observateur lui-même est oscillant, de manière masquée en raison de son état pluri-polaire.
Multipolaire en raison de ses 32 champs cutanés en damier. Lesquels 32 champs sont réductibles à 16champs basiques (16 Antérieurs & 16 Postérieurs).

Les instruments bipolaires EM ne font que dérégler les Oscillations qui émanent du Pulsologue.

 

3/ La Biologie numérique

La dernière étape de notre recherche aboutit à la Biologie numérique. Sur le plan théorique, la biologie numérique vient confirmer tout ce que nous avons lentement découvert en biologie réelle sur le malade et nous a ouvert de nombreuses voies.
Ainsi, les tests de remèdes, réalisés selon ces deux méthodes, aboutissent à des résultats superposables.

La biologie numérique nous a permis de découvrir qu’au-delà de la pathologie ou de la substance médicinale, il y a son image, sa photo ; et qu’au-delà  de cette représentation en 2D, il y a sa dénomination précise, le Nom de référence de la substance qui porte en lui-même toute son information.
Les tests croisés de ces trois états nous révèlent leurs mutuelles résonances au pouls.


Ce Nom nous a conduit à découvrir, via le médius, sa structure en 4 champs internes mais surtout à concrétiser cette structure en damiers blanc-noir, BN et NB, à 16 cases.

Et ces entités à 16 cases sont aussi singulières et exceptionnelles par leur résonance non oscillante (Chap. 31).

Elle nous a enfin et surtout conduits vers de nouveaux sites : www.remedes-numeriques.com/ et www.soins-numerises.com . Ces sites sont les portes d’une vaste étude exploratoire, qui aboutit au diagnostic informatif voire à la thérapie informative.
Certes, nous ne prétendons pas remplacer les médicaments, mais nous sommes capables de choisir, indiquer les meilleurs remèdes adaptés à un individu malade unique en soi. Bien sûr, l’effet curatif de nos Motfilms ne doit pas être négligé pour autant.

 

4/ Aspect financier

Espérons que l’intérêt de la Pulsologie, en termes financiers, n’échappera à aucun médecin. Les instruments que la Médecine informative utilise n’ont aucune valeur ajoutée. L’antique pharmacopée chinoise savait employer à bon escient les substances que la nature régionale lui offrait.

Puisqu’en ce début du troisième millénaire les pays en voie de développement restent nombreux, il est légitime de penser que la Pulsologie, par ses choix de remèdes, sera source d’économies significatives. Du moins, espérons-le, car les Pulsologues sont encore trop peu nombreux.

 

5/ Le pouls : la pierre d’achoppement

Critique fondamentale, faite par les confrères à l’acuité tactile insuffisante : « Malgré l’essor incroyable des techniques électroniques, le pouls n’est pas enregistrable ! » 

* Pour enregistrer le pouls, les capteurs électroniques les plus fins mesurent quelques mm ; le pouce du praticien est nettement plus performant (1250 capteurs au cm carré) ; de plus ce pouce possède une plasticité d’adaptation aux différentes morphologies des gouttières radiales et aux différentes pressions de l’artère qu’aucun instrument disponible ne peut offrir. Et sa rapidité de mise en œuvre est indépassable.

* Les instruments électroniques, visant à enregistrer le pouls sont électromagnétiques.
Mais ils doivent être assez sophistiqués pour différencier des informations aussi fines, a minima, que les pulsations en long de celles en travers. Les progrès de la technologie dans les nouveaux capteurs flexibles permettent-ils d’espérer ? C’est très incertain.

* L’acupuncture est un art manuel dont la genèse remonte à bien des siècles avant la découverte de l’électronique. Le « pouls dynamique », qu’a recouvré le Dr Paul Nogier et qui nous permet, au-delà des siècles, de renouer avec nos illustres acupuncteurs chinois est donc fondamental. Mais, même à l’époque des Mandarins, les vrais Pulsologues n’étaient-ils pas clairsemés ?

J-C T