05 – MOTFILMS – RÉACTION D’ÉCART SUR PC – TESTS DE REMÈDES NUMÉRIQUES – THÉRAPIE PAR EXPOSITION
STRUCTURE DES MOTFILMS
Ces Motfilms sont une réactualisation des Biofilms.
Dans l’Accueil de « soins-numerises.com », nous avons dit, que les champs informatifs procèdent de la Vie, mais aussi du Verbe et de chaque Mot. Ceci est une transmutation, de notre recherche.
Nos précédents Biofilms émanaient d’un point central zoomé. Ce point apparaissait comme le « condensé inversé » de la Bande passante audio ou de toute photo d’image pathologique. Il était repéré avec un détecteur particulier. Son amplification (zoom) était censée marginaliser l’image environnante au profit de ce point. Et il m’apporta de substantiels résultats thérapeutiques…
Puis nous sommes passés au Mot bien cadré. La photo d’une rougeole par exemple fut remplacée par le mot « Rougeole ». Avec étonnement nous avons constaté que ce mot avait lui aussi un centre et ce point central pouvait être exploité comme ci-dessus. Nous avons seulement été intrigués de noter que ce point central résonnait bien au survol par un détecteur mais qu’assez souvent, pour d’autres Mots, il résonnait en halo comme en regard d’un point en creux (pseudo-résonance)… Ceci m’amena à m’interroger sur la pertinence de mes stylo-détecteurs.
Détecteur universel biologique : le Médius.
J’en revins alors au détecteur biologique universel que j’avais décrit, il y a quelques dizaines d’années, à propos de la division en damier de 32 champs cutanés du corps. Le Médius de ma main D a cette capacité, à son extrémité, de condenser les 4 champs basiques du damier crânien ; il en va de même du Médius G et des médius des orteils.
Le survol de mon médius au-dessus des mots-cadrés, me fit discerner deux types de Mots : ceux dont le centre, au milieu, pulse fort (mot B) et ceux dont les extrémités pulsent fort (mot A).
Et en approfondissant l’analyse, le Mot B écrit Noir sur Blanc, était subdivisé en 4 champs intérieurs : L = pulsation en Long, T = en Travers, ligne supérieure D = pouls en biais, supérieure G en biais inversé.
En revanche, le mot A, qui pulse par ses extrémités, ne se conformait pas à cette subdivision ! Il fallut simplement le modifier, en inversant les couleurs de sa moitié inférieure, pour qu’il exprime cette même dispersion en 4 compartiments. Le Mot Ercefuryl en est une illustration.
Ces Motfilms délivrent la même information, en plus intense, que les biofilms précédents.
Les Motfilms A et B ne sont jamais mélangés dans une même série.
Il faut noter que le mot peut être composé : « générique-spécialité ». Mais si jamais il y a erreur sur l’un d’eux, le médius ne perçoit plus rien.
Si le Médius se trompe, si B est pris pour A, les 4 compartiments disparaissent. Dans l’exemple donné « Mot » appartient au groupe B. Si je le transforme en Motfilm A, tout se détraque : le médius révèle que tout « oscille », signe d’incohérence : T, L ou Obliques ne sont plus perceptibles.
Deux sous-groupes :
Ce sont les deux précédents pivotés de 180°
Particularités des substances médicinales.
Les substances pharmacologiques ne se présentent que sous une seule forme lors de leur analyse initiale.
Les « remèdes à 180° » ne concernent que certaines substances.
Les allergènes respiratoires ou alimentaires ne sont actifs que sous forme pivotée.
Il en va de même des Homéopathiques en 12CH.
Le Mot procède du Vivant
Le Mot procède du Vivant et le Vivant procède du Mot, quelle que soit la langue, dès lors que le mot porte et soutient une entité précise, comme le médicament générique l’est.
Le Nom générique ou celui d’une spécialité médicinale résonne parfaitement avec la photo des gélules du médicament, voire la photo de son emballage qui porte son Nom.
Expérience simple : afficher sur le PC le Nom du médicament à D de l’écran et la photo du même médicament à G, sans contact des images ; le survol à distance avec le Médius D révèle la forte résonance qui unit les deux images ; si l’une d’elles est retirée de l’écran, toute résonance au pouls disparaît ; elle s’évanouit aussi si le Nom ne correspond pas à l’image.
Réaction d’écart sur PC
Pour bien comprendre il faut se reporter à la réaction d’écart bien décrite ailleurs. Quand on tient un médicament réel entre les doigts, si le pouls réagit au contact avec le corps, il est nocif ; inversement quand le pouls réagit à l’éloignement du corps (en tendant le bras devant soi), il est bénéfique.
Une résonance proximale est néfaste, une résonance distale est favorable.
Note : trois exceptions : les Homéopathiques réels en Haute Dilution (>5CH) pour lesquels l’interprétation est inversée, les Allergènes, les Virus.
Revenons aux substances-Mots. Si nous balayons les listes de médicaments à proximité, avec le détecteur A ou B, nous constatons une résonance. Mais cette résonance « auprès » est-elle signe de nocivité ou bien est-elle signe de bienfaisance ? Pour en avoir la certitude, une résonance « à l’écart » est nécessaire…
Comment procéder avec le PC ?
Nous savons que le Nom du malade est inscrit – via Paint – sur la gauche de l’écran, la liste des médicaments étant à droite. Or ce Nom du malade est capital, et Paint aussi qui permet des Zoom extrêmes. Si le zoom est au minimum, presqu’à zéro, le Nom du Malade se comporte comme s’il était loin et les remèdes résonants sont favorables. Inversement, si le Zoom est au maximum, le Nom très gros se comporte comme une grande proximité, presqu’un contact, et les substances médicinales résonantes sont néfastes.
L’usage du détecteur A ou B doit être précisé. Le A convient pour les listes A et le B pour les séries B.
Pour mémoire : le détecteur B ne convient à la liste de médicaments B que si le Nom du malade est micro-zoomé (au minimum).
Particularité de certaines spécialités
Dans le cas des Homéopathiques HD, des Allergènes, des Virus, c’est la forme à 180° qui est favorable.
On peut aussi avoir recours à la Maladie induite comme « allergie-aux-plumes » dans ce cas la maladie induite se présente directement, sans rotation de 180°.
Ceci montre qu’il faut dissocier l’agent pathogène, de la maladie induite par cet agent.
A cet égard, les produits phytosanitaires sont significatifs, ils illustrent cette distinction. Le Nom du produit à l’état brut « Roundup » par exemple traduit son état « contre biologique » par son état oscillant entre B/B et B/N, le Nom est inexploitable. En revanche, le Mot « Intoxication-par Roundup » devient B/N de manière fixe et utilisable.
Idem pour les Entérobactéries ou Endovirus. A l’état brut ils oscillent aussi entre B/B et B/N, non pas en raison de leur nature (ils sont biologiques) mais du fait qu’ils sont des noms de famille et non une bactérie ou un virus intestinal précis.
Un Pulsologue averti décèle, au sein d’une liste, le remède favorable.
Ceci est réservé aux médecins expérimentés ayant une bonne acuité tactile pour lire le pouls.
Ils verront que les pathologies (soins-numerises) et les médicaments (remedes-numeriques) sont listés en groupes A et B.
Choisir la liste idoine, A ou B, avec le Stylo S.T.B.Roublev
En raison des interactions qui lient les détecteurs-stylos A et B, nous choisissons ce Stylo S.T.B.Roublev pour les départager. Ce dernier nous permet d’opter pour la liste de remèdes A ou B d’une même spécialité, au regard du Nom du malade situé à gauche de l’écran. Ce stylo résonne nettement avec la bonne liste. Et, selon celle-ci, le stylo A ou B est engagé.
Deux stylos détecteurs A et B (N° 4 et 5) sont trouvés sur le site (00 Labradorite).
Chaque stylo est induit par le Mot même : « Bout de Médius à 4 champs » zoomés.
En balayant les listes de remèdes avec la pointe du stylo (ou même en utilisant son propre médius), on obtient une résonance devant certains remèdes favorables.
Malade et praticien côte-à-côte
Le malade (dépollué par LBD) est placé devant l’écran. Le praticien est situé en retrait, en arrière-plan, et il est neutralisé (par un Bristol à son Nom regardant son sternum – schéma ci-dessous).
Son pouls décèle par la force de ses battements le remède nécessaire ou la pathologie dont souffre le malade.
Une curiosité étonnante. Si la pointe du médius balaye le titre d’une liste, le pouls signale qu’elle contient ou non des remèdes ou des maladies impliquées. Il ne reste qu’à ouvrir la liste et à détecter la maladie ou le remède responsable de la résonance du titre. Le remède favorable a donc propagé sa résonance au Titre lui-même. Quelle spécificité informative !
Tests de remèdes en l’absence du patient
La subtilité de la Pulsologie est telle que le malade peut être remplacé autant par sa photo micro-zoomée que par son « Prénom-Nom », en noir sur fond blanc. On peut ainsi afficher à G de l’écran ce prénom et à D la liste à scanner. Le détecteur survole la liste à la recherche de résonances, spécifiques au malade.
Impératif : le praticien est neutralisé par son Bristol sternal (supra).
Les Quatuors de remèdes
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La liste analysée est survolée par le stylo-détecteur-médius A ou B.
On découvre une première résonance sur laquelle on place le pointeur de la souris ; le stylo en survol se fixe pendant 5 à 6 P sur ce premier remède, puis on part à la recherche du second sur lequel le pointeur de la souris vient se replacer ; on retrouve ensuite un troisième remède qui, pointé à son tour décèle un quatrième et dernier remède. Le tout forme un quatuor.
On peut aussi survoler la liste B avec le stylo B sans utiliser le pointeur. On maintient la pointe du stylo sur le premier remède qui résonne ( 5P) et c’est alors que le second remède se dévoile et ainsi de suite, toutes les 6 pulsations, jusqu’au 4ème remède.
L’analyse topologique de la projection de ces 4 remèdes montre que chacun corrige un des 4 quadrants que le « Nom du malade », affiché à G de l’écran, comporte. Ces 4 remèdes sont donc en cohérence avec le damier qu’est le malade – via son Prénom et nom.
Ces quatre remèdes peuvent être transférés dans un dossier personnel et tous activés simultanément ; l’affichage « petite icone » est préconisé. Le Mur d’inversion sera bien plus rapproché.
Différences entre les remèdes A (B/N) et B (B/B)
Pour un Nom de malade BB, les remèdes BB et BN peuvent être indiqués.
Exemple. Recherche d’un quatuor de remèdes BN cardiovasculaires pour un malade BB.
Devant la liste BN on utilise le détecteur-stylo BN.
Le Nom du malade BB est à gauche de l’écran et zoomé au minimum à « zéro ».
Le stylo révèle les uns après les autres, de pointeur en pointeur, les 4 remèdes cherchés.
Ainsi, si le patient présente une insuffisance cardiaque, on trouve : Bisoprolol, Sotalex, Galanga, Triatec par exemple.
La Thérapie par exposition aux Biofilms.
Les Motfilms envoient des messages A ou B adaptés à tous les malades.
Le Mot-Remède B est émis par l’écran. Compte tenu de la « Réaction d’écart », le malade doit se trouver, non pas près de l’écran mais à une distance de trois mètres de celui-ci. En deçà, il existe une Discontinuité qui inverse l’action du Biofilm.
Si le Mot-Remède B émis par l’écran est micro-zoomé, la distance à l’écran est nettement plus proche. On peut le constater au pouls : la meilleure distance est celle qui donne la plus forte résonance.
Problème : la distance optimale varie avec la grandeur de l’écran : un moniteur diffère d’une tablette ou d’un portable. Et sans surveillance pulsologique, il est difficile de s’y retrouver !
Pour contourner cet obstacle il convient de remplacer le remède micro-zoomé par son homologue, le Macro-zoomé avec rotation de 180°. Ce faisant, l’exposition au Motfilm du remède peut se faire à proximité de l’écran.
Si le thérapeute ; non Pulsologue, envisage un éventuel médicament utile, il peut le trouver via la fenêtre de recherche. Il s’oriente alors vers la liste globale précédée d’un 00 qui le contient.
Il expose son patient à toute la liste miniaturisée. Seuls les remèdes favorables entreront en résonance avec son patient. La distance entre le patient et l’écran sera d’environ 70 cm.
Tout praticien sachant prendre le pouls radial est apte à apprécier la force des pulsations. Il pourra ce faisant, en faisant un peu varier la distance patient-écran, trouver la position qui donne le plus fort battement.
Principe de convenance
Il va sans dire qu’il serait hasardeux d’utiliser les remèdes présentés sans avoir d’abord recours à une prescription médicale. Il serait, bien sûr, hautement préjudiciable et peu fiable d’utiliser des remèdes oncologiques pour traiter un cancer sans l’aval d’un Pulsologue éprouvé qui pourrait orienter le choix thérapeutique.
Toutefois l’Oncologue sera hostile à toute suggestion thérapeutique, étant assujetti aux protocoles qui lui sont imposés….
Il va de soi que les pathologies oncologiques (cancers) sont peu de notre ressort ; nous osons cependant proposer, sur le site « remedes-numeriques.com » des « Motfilms » de nombreux médicaments oncologiques afin de pouvoir choisir, via le pouls, les remèdes les mieux ciblés, les plus adaptés pour l’individu atteint, avant de passer à leur chimiothérapie réelle.
En revanche, nous ne pouvons qu’inciter les malades souffrant de bobologie à expérimenter ces remèdes dès lors qu’ils savent d’expérience ce qui leur convient. La fenêtre, en haut à gauche, permet de trouver immédiatement la substance recherchée.
Les Motfilms rétablissent l’équilibre des malades en neutralisant leur déséquilibre pathologique. Certes dans les cas chroniques, la nature pathologique reprend ses droits et une nouvelle exposition aux Biofilms favorables s’impose. Nous ne prétendons pas guérir les maladies mais simplement aider les malades à se guérir.
Grâce aux Motfilms pouvons-nous dire comme Lamartine « Objets inanimés avez-vous donc une âme ? » Nous nous contenterons de dire qu’ils ont surtout une Ame informative et que c’est elle que nous captons.
Grâce à la Pulsologie et via l’électronique, nous sommes passés de la Science dure à la l’approche spirituelle de la connaissance.