08 – LA MÉDECINE INFORMATIVE -SES BIOCHAMPS ET SES INSTRUMENTS

La médecine informative a des modes d’expression assez géométriques : les plans et les points d’acupuncture. Elle s’exprime aussi sous la forme de divers champs biologiques.

Ces instruments tentent de mettre en relief les sites des points d’acupuncture du malade et l’intérêt des tests de remèdes. La primauté de la pratique du pouls s’en trouve entérinée.

Les instruments mis au point, à partir du pouls, sont ici passés en revue. Ils se répartissent en détecteurs et résonateurs.

LES CHAMPS INFORMATIFS.

Cette médecine qui englobe l’acupuncture classique et l’auriculo-acupuncture, et que nous pouvons appeler médecine Informative, repose moins sur des champs électromagnétiques que sur les Champs Biologiques et Spirituels.

Les Champs en damier de la peau.

La peau est répartie en 4 champs opposés en damier (gauches – droits) et (avant – arrière) de base (sur le crâne) ; en 32 champs (16+ & 16- sur tout le corps). Chacun de ces 32 champs est séparé des autres par des doubles lignes frontières.

Le point d’acupuncture est représenté par le point orthogonal classique : ponctiforme (point X central) ou sous forme Nulle (Point O en halo).

Comme cela a été dit, chaque homme peut être présenté comme une fusée à 4 étages : le premier va des pieds à l’abdomen sous-ombilical, le second englobe l’abdomen sus- ombilical et le thorax inférieur, le troisième comporte le thorax supérieur le cou et les membres supérieurs, le 4ème étage est représenté par la tête. Chacun de ces étages se subdivise en 4 quadrants : 2 antérieurs et 2 postérieurs caractérisés par une polarité alternée en « damier ».

Les Biochamps numériques

Ils sont affichés par l’écran d’un PC.

Ils sont oscillants comme le Pulsologue qui les examine.

Il y a des Biochamps spécifiques, spirituels, comme ceux que portent les Noms des malades ou des médicaments.

LES RESONATEURS, LES CANALISATEURS DE L’INFORMATION.

Des instruments physiques ont initié nos études sur les résonances entre divers éléments, perçues par le pouls.
Les Détecteurs font partie des canalisateurs.

Les anneaux-test spiralés unipolaires (ATSU) (+) et (–).

Nous connaissons l’origine des ATSU (spires planes unipolaires (blindées sur une face)) et ce qui a motivé leur conception. Ils ont été les premiers à sembler maîtriser le pouls ; ils se sont présentés comme des capteurs-émetteurs.

Les deux ATSU ont mis en relief les informations émanant des 4 types de champs cutanés (antérieurs D et G, postérieurs D et G) du seul sujet auquel ils sont appliqués. Le corps comporte 32 champs (16+ &16-). Ils ont défini les lignes frontières.

Ces champs cutanés sont-ils de nature physique ? Les ATSU, instruments EM, utilisés par les électroniciens, semblent purement physiques. Nous pensons pourtant que les champs cutanés n’ont rien d’EM.  Les ATSU n’ont donc pas de spécificité EM pure.

Les ATSU sont aptes à jouer les résonateurs de champs biologiques.

Les détecteurs.

Le T Or-Argent, le coaxial, le T Blanc-Noir. Les détecteurs en T de Paul Nogier ont été les capteur-émetteurs obligés de nos premières analyses. Ces divers détecteurs offraient des informations variables de sorte que les points d’acupuncture émergeaient de sites variables.

Jusqu’au jour où nous avons découvert que ces différences reposaient, surtout, sur leurs manches en plastique, malléables, influençables. On peut ainsi évoquer l’idée que le plastique des manches s’imprégnait en partie des Biochamps environnants qu’il approchait.

Le T magnétique Nord-Sud est ambivalent, bipolaire. Sa présence dans le champ engendre souvent, selon la direction de son axe, des oscillations lentes.
Il est toujours exclu du champ d’examen. D’ailleurs les champs magnétiques sont les plus polluants. Y compris les oreillettes audios entre autres, qui en sont munis.


La bipolarité de tous ces détecteursa l’inconvénient d’induire des oscillations lentes lors de leur emploi. Ils sont donc obsolètes.

La Labradorite.

La Labradorite (LBD) est une pierre irisée, un système cristallin de la famille des Silicates. Elle a des plans axiaux. La LBD s’utilise aussi en poudre, on peut la mouler.
Propriétés de ce cristal : Il émet des champs physiques mais également des champs spirituels neutres.
Le cristal de Labradorite fut le premier dépollueur des substances pharmacologiques, du malade ou du médecin ; et sous forme numérique amplifiée, il reste le meilleur.

Le Geodd.

Le Geodd est l’instrument indispensable pour inhiber un champ tellurique artificiel issu de la prise de terre…Ce champ, proche d’un lit, peut induire de l’insomnie.

Les nœuds de trèfle.

Les trèfles sont des résonateurs. Le glissement de l’un par rapport à l’autre, sur un plan horizontal, détermine les positions de résonance vraie ou de pseudo-résonance d’un ensemble d’éléments occupant le champ d’examen (remède, champ cutané…).

1/ Les Trèfles ont des qualités intéressantes.

Le trèfle « D » révèle plutôt les chakras.
Le trèfle « G » est à l’origine de la définition des points de Lentz spontanés, fixes eux-mêmes.

Mais les trèfles travaillent surtout par paire.
Les trèfles sont placés devant l’écran du PC en parallèle. La position G-D ou D-G permet les tests d’homogénéité des listes de remèdes.
Quand une liste de médicaments est affichée sur l’écran, activée, sélectionnée, l’écartement des trèfles ou leur rapprochement doit être silencieux ; ceci atteste l’homogénéité des substances affichées.

En revanche, si lors de l’écart, une résonance se produit au pouls, c’est qu’un intrus se trouve au sein de la liste. Le détecteur adapté à sa recherche, scannera et détectera le responsable qui sera exclu.
Bien sûr, cette vérification se fait en présence du praticien neutralisé.

2/ Les trèfles ont un inconvénient majeur.

Posés séparément sur le bureau, ils constituent un ensemble bipolaire source d’oscillations lentes. Hors service, ils doivent donc être superposés ou éloignés du champ d’analyse.

LE POULS.

Le pouls est l’instrument biologique vivant par excellence. Un Pulsologue doit disposer non seulement d’une assez bonne acuité tactile mais également acquérir, avec un peu de temps, une bonne perception pour définir ce qu’il ressent.

Il doit pouvoir sentir une différence entre les binômes actifs qui pulsent en long de ceux qui pulsent en travers.

Il doit être apte à déceler une oscillation iatrogène d’intensité fixe, constante et être apte à repérer des oscillations ondulantes typiques des « oscillations lentes » ; ceci est facile à dire mais je suis passé à côté de nombreuses oscillations très lentes, d’apparence fixe. !

Il devra différencier les résonances centrales des résonances en halo. Il reconnaîtra non seulement les points « Oscillants » centraux mais également les points « Nuls », faits d’un silence au milieu d’un halo oscillant.

Il devra dénombrer les pulsations, doucement décroissantes avant de cesser, lors d’un test de remède utile pour juger de la valeur de son indication, de sa pertinence.


Lire son propre pouls

Surtout il sera apte à lire son propre pouls pour réaliser les autotests qui sont à la base de presque toutes nos analyses.

Ce langage pulsologique subtil repose sur l’instrument méta biologique hors pair qu’est le pouls radial. Ce langage est malheureusement insuffisamment disséqué par les « auriculo médecins » dans la description des phénomènes qu’ils rencontrent et ressentent.

La perception du pouls progresse avec le temps. Mais il est surtout bon de le capter dans les conditions techniques que nous avons à maintes reprises soulignées.


Les exercices.

Il est intéressant d’aborder le pouls en travaillant sur des tests donnant de fortes réponses comme le survol de deux remèdes identiques via un stylo-plastique.

Un simple repas ou un exercice physique vif (montée d’escalier) favorise l’éréthisme artériel : le pouls parle plus fort mais pas plus vite. Eréthisme est synonyme d’excitation motrice active de la paroi artérielle, d’amplitude accentuée et non de rythme plus rapide.

Enfin, l’accès aux remèdes numériques offre la possibilité d’obtenir de fortes réactions du pouls, quand un remède réel est placé en regard du même remède numérisé et émis par le visuel de l’écran du PC.