38 CHAMPS DE TORSION

38 – Mots-clés : D.C. et A.G , Christian Lorin ,  Elie Cartan , Nicolai A. Kozirev ,  Anatoly Pavlenko , CDT neutre , CDTG non oscillants fixes ,  Chakras , couronne occipito-maxillaire , écran QLED , fil torsadé (toron) ,  Geodd miroir , inversion horizontale ,  point axial d’un trèfle D ,  propagation longitudinale , publication d’Alain Gesbert , 8 pulsations par phase ,   Spinor 2 , Spins , Supports vierges pollués ,  tungstène , Zéro Point Energy (ZPE) ,

Introduction

Nous décrivons d’abord ce que sont les Champs De Torsion (CDT) du point de vue « physique ». Nous mentionnons les premiers dispositifs censés les observer.

Nous les étudions ensuite, via le pouls de Nogier et les trèfles, sur le plan biologique. Ces trèfles sont les premiers instruments qui nous permettent de décrire et de concevoir ce qu’est un Champ de Torsion. Et à rebours, les CDT nous permettent de bien définir les trèfles. Chaque trèfle peut être tenu entre les doigts ; on peut aussi mettre les trèfles + et (-) en rapport, en résonance, avec les CDT d’autres éléments.

Notre étude s’attache surtout aux CDT (-) ou « Gauches initiaux » parce qu’ils accompagnent les CEM artificiels et puissants qui forment le milieu ambiant, lequel est source de bien des pollutions.

Notre investigation s’étend à nombre de CDT spécifiques et faibles : ceux qui émanent des médicaments et ceux qui émanent des points d’acupuncture.

Nous montrons leur malléabilité et leur capacité à être formatés.

Je remercie d’abord ceux qui m’ont apporté leur concours pour clarifier cet exposé sur les champs de torsion : D.C. et A.G.

APPROCHE PHYSIQUE

Les champs de torsion sont d’abord des entités mathématiques étudiées par Elie Cartan à partir de sa notion de « spineur » (en 1910) ; ce sont ensuite des entités d’astrophysique (Einstein 1913) et de physique quantique. Ces champs accompagnent toujours les ondes électromagnétiques (EM). On les appelle aussi « champs de torsion » ou « champs scalaires ». Une question de physique : les champs EM sont-ils moins puissants que les champs de torsion qui les accompagnent ? Ce n’est pas impossible.

Ces champs de torsion, non EM, sont en relation avec les « spins » ou rotations des particules élémentaires sur elles-mêmes. Ces champs de torsion correspondent à des tourbillons qui émanent de « l’Energie du vide quantique », Zéro Point Energy (ZPE) ; dans celui-ci les photons et les corpuscules réels et virtuels interagissent sans cesse entre eux ; ces transformations sont inobservables car elles se feraient dans un temps inférieur au temps de Planck (tP = 5×10 puissance -43 sec).

http://www.matierevolution.fr/spip.php?article38

Comme la rotation de chaque particule sur elle-même, au sein d’un noyau atomique, est permanente, les champs de torsion provenant de toutes les particules ne cessent jamais.

Il existe des champs de torsion (+) Droits et des champs de torsion (-) Gauches dont les sigles sont cdtD et cdtG. Ces champs de torsion sont spécifiques des atomes ou des molécules dont ils portent l’information.

Sur le plan physique, ces CDT, contrairement aux champs EM, ne sont pas arrêtés par les cages de faraday ni par la distance. Leur propagation serait de nature longitudinale (comme les ondes sonores), contrairement aux ondes EM qui sont transversales.

Les CDT ont été étudiés par les physiciens russes Kozirev (académicien, astrophysicien), Anatoly Pavlenko (références infra). L’étude théorique de ces champs trouve une certaine limite : ils ne peuvent être identifiés par des appareils électroniques.

Les Russes ont montré le pouvoir délétère des cdtG intenses en biologie (embryologie, cultures bactériologiques sur boîtes de Pétri, production laitière). Au vu de ces résultats, ils pensent que les cdtG intenses contrarient le bon fonctionnement de tous les ADN de la biosphère. Ils ont mis au point un dispositif anti-cdtG, le Spinor II, vendu en France sous le nom de Geodd (site Internet : http://www.geodd.com).

Même si aucun appareil de mesure des champs de torsion n’existe, les CDT sont objectivables de manière indirecte.

La méthode de Jean Uguen et Alexandre Rusanov. Elle repose à la fois sur un dispositif à CDT et sur un Geodd inverseur de CDT. Lors de la découverte d’un cdtG initial très nocif à la campagne, ils placent sur la source du cdtG un dispositif X (à cdtG !) et le Geodd par-dessus. Cette méthode est cliniquement efficace sur le cheptel qu’ils ont à protéger mais physiquement peu claire. Quand les deux instruments sont empilés, on note, au repos, que les CDT de chacun est neutralisé par l’autre, aussi bien en avant qu’en arrière de la pile.

En revanche, quand les deux appareils empilés sont devant ou sur une forte source EM sous tension, riche en cdtG, le Geodd émet un fort cdtD, conique. Naturellement via le pouls.

Nous savons cependant que ces CDT artificiels sont oscillants (50Hz), que CDT G et D s’alternent régulièrement et sans procéder de l’horaire, indépendamment de l’observateur, dans ce domaine artificiel ; ce n’est pas le cas des CDT naturels, telluriques.

Quelle explication donner ? Les constituants, du cdtG du dispositif et du cdtG de la face postérieure du Geodd, aboutiraient à induire un CDT neutre. On peut concevoir que le Geodd joue un rôle « d’effet miroir »

Pour ceux qui désirent approfondir le sujet, nous vous conseillons de vous référer aux travaux des auteurs suivants :

Dr Nicolai A. Kozirev :

http://www.conspirovniscience.com/ondestorsion.php

http://divinecosmos.com/index.php/start-here/books-free-online/20-the-divine-cosmos/95-the-divine-cosmos-chapter-01-the-breakthroughs-of-dr-na-kozyrev

Anatoly Pavlenko:

http://eesystem.com

http://www.holger-d-klein.de/pdf/Anatoliy%20Pavlenko%20Elektrosmog.pdf

Christian Lorin

http://www.conspirovniscience.com/ondestorsion5.php

Alexandre Rusanov dans le Revue du GREF,

http://www.prosantel.net/

La source de liens la plus riche est ici :

http://www.matierevolution.fr/spip.php?article38

http://www.matierevolution.fr/spip.php?article46

http://www.eskimo.com/~billb/freenrg/tors/

APPROCHE PHYSIQUE & PULSOLOGIQUE

 

Voir la publication d’Alain Gesbert dans les Annales du GLEM 2008-2009 : Présentation générale, Champs de Torsion et Pulsologie Biophysique.

APPROCHE PULSOLOGIQUE.

Ces CDT ont bénéficié de l’instrument biologique qu’est le pouls qui confirme nettement leur existence.

Un intermédiaire majeur a dû cependant être trouvé. Cet instrument est le « nœud de trèfle » que nous avons largement décrit et que nous avons emprunté à Christian Lorin (références supra). Il existe deux nœuds de trèfle (constructions différentes), le Droit et le Gauche.

Insistons un peu sur la construction de ces trèfles ; ils doivent être faits d’un fil métallique ; les miens sont en fil laqué (trouvé en jardinerie). On peut les faire avec du gros fil électrique de cuivre, mais il ne faut pas employer de fil torsadé (toron). Le trèfle est en effet un ruban de Moebius et un Tore.

J’emploie autant le trèfle D que le trèfle G. Chacun possède deux faces identiques.
Personnellement, j’utilise des trèfles en cuivre gainés, nus, sans étui.

Détection des CDTG non biologiques.

Le trèfle G nous a permis d’avancer dans l’étude des CDT oscillants, en particulier ceux qui sont cdtG initialement, les plus courants et les plus intenses, en particulier pour décrire leur diffusion selon plusieurs modes : sous forme de tunnels ou de cônes ou de plans ou dans toutes les directions.

Le trèfle G permet de déceler toutes les sources artificielles de cdtG, sous tension électrique, tels les tubes cathodiques, les Wi-Fi, les Micro-ondes, les antennes-relais, les champs des prises de terre.

Il existe aussi des CDTG non oscillants, fixes. J’en ai peu rencontré, parmi eux se trouvent le Tungstène (W) et une météorite que je me suis procurée qui émet un CDTG fixe.

Parmi les métaux qui m’ont semblé les plus « pernicieux » se trouve le W, le tungstène, dont les filaments sont au centre de toutes nos ampoules électriques, celle de la lampe de Heine incluse, et celle de nos Halogènes. Ces ampoules électriques sont une bonne source pour obtenir une bonne résonance et définir le trèfle G : en regard du tungstène allumé, le trèfle « G » anime le pouls de bonnes pulsations.

La nocivité du tungstène est nettement surpassée par les LBC lampes basse consommation (à base de mercure) sources de forts CDTG

Nature des CDT

Les champs de torsion ne sont pas de nature ondulatoire. Dans certaines conditions expérimentales, à partir de deux trèfles D et G placés horizontalement sur une table et agissant en synergie, on obtient, par glissement d’un trèfle, des sites de résonance au pouls. Les distances qui séparent les sites sont très variables ; ce ne sont pas des points d’interférence régulièrement répartis en réseau. Si ce trèfle horizontal est glissé, surélevé sur un axe vertical, la résonance perdure. Le site de résonance n’est donc pas un point mais un axe vertical.

 Corrections des CDT non biologiques

L’instrument de référence visant à contrer le CDTG assez intense n’est pas le Geodd inerte. Un Biofilm du point axial d’un trèfle D fait mieux l’affaire.

La Labradorite (cristal), enregistrée numériquement et amplifiée (Biofilm à LBD), émet un CDT D & G puissant et simultané et non spécifique, via l’écran d’un PC. L’exposition à ces champs permet de purifier les supports des médicaments pollués.

Les CDT actifs comme ceux qui émanent des PC, postes de télévision, Wi Fi, téléphones sans fil ne peuvent pas être corrigés. S’ils sont puissants, ils peuvent porter une information biologique, et c’est parfois malheureux : c’est le problème des télévisions et peut-être de l’antenne qui achemine le programme. Quelle parade à cette heure ? Un cristal de Labradorite tenu en main…Un écran de TV spécial QLED.

Autre CDT importun : la prise de terre provenant du sol qui traverse notre salle d’examen. La faille se présente sous forme de deux droites orthogonales (comme un point d’acupuncture). Il suffit de repérer avec un trèfle ces lignes et de trouver le point d’intersection sur lequel un Geodd sera posé, ce qui est suffisant. Il ne faut pas oublier qu’un tel CDT, issu de la terre, monte dans un plan cruciforme, sous ou tout près d’un lit et peut rendre insomniaque certains sujets. Ce n’est donc pas anodin !

Un cdtG insolite perturbait certains examens ; il se trouvait devant mes yeux. Je portais en effet des verres de lunette Varilux. Et ces verres, qui sont des polycarbonates, normalement neutres, se révélèrent, à la suite de tests erronés, pourvoyeurs de CDT. Il y a deux générations de Varilux ; ceux de seconde génération, à champ visuel élargi, sont pires que les premiers. La question majeure est la suivante : comment des substances neutres peuvent-elles, à la suite d’une empreinte X (secret de fabrication Essilor) perdre leur neutralité ? Il est probable que le CDT serait le fruit de l’usinage de ces verres faits de polycarbonates ; ils peuvent en effet être dépollués par la labradorite numérisée.

Nous savons que cette dépollution doit être accompagnée de la pose d’une cordelette entre les deux branches de lunette pour réaliser un circuit fermé autour de la tête du praticien. D’ailleurs, ces CDT oscillants sont horaires-dépendants donc quasi biologiques.

Ainsi donc, grâce aux trèfles, nous avons traqué toutes les sources de cdtG non biologiques qui peuvent, ou non, se trouver gênantes.

SUBSTANCES MEDICINALES A CDT

Détection des CDT biologiques.

Les trèfles permettent aussi de capter les CDT naturels qui sont Neutre, comme les champs telluriques. S’ils semblent oscillants D/G c’est en raison de l’expérimentateur.

Le trèfle permet aussi de déceler les CDT endogènes provenant des substances biologiques elles-mêmes.

Chaque substance pharmacologique possède un CDT. Qu’ils soient naturels ou de synthèse, les médicaments émettent des cdtD et G de manière oscillante.

Les substances biologiques et médicinales émettent des CDT et ce sont eux qui portent l’information interagissant avec l’organisme.

Les remèdes homéopathiques sont basés sur des substances diverses : animales (venins), le plus souvent des plantes mais aussi beaucoup de minéraux, des sels ou des métaux. Quels qu’ils soient, ces substances médicinales émettent des CDT.

Ce survol par un trèfle de toutes les substances révèle ceci : les CDT sont émis de deux façons, soit ils émanent initialement du centre de la substance (X), soit ils émanent initialement de son halo (O).

SUPPORTS A CDT.

  • Supports vierges pollués.

Nous les avons évoqués.

Sur 100 sachets Minigrip vierges, il y en a 20 dont émane un CDT ; et la répartition de ces sachets défectueux, bien que vierges, est totalement aléatoire et la puissance du CDT est très variable de l’un à l’autre.

Sur 100 Anneaux-Tests (AT), il y en a 30 / 100 en CDT aussi variables. Les Anneaux-Tests sont en effet constitués de trois éléments : les plaques transparentes et la rondelle plastique de contention ; il suffit qu’un des 3 éléments soit pollué pour que l’ensemble en pâtisse. Cette notion de pollution intrinsèque s’étend à tous supports tels que les Blisters ou bien les tubes en plastique de remèdes homéopathiques (10/100 pollués). Beaucoup de ces pollutions sont consécutives aux techniques de fabrication et au transport par voitures ou autres moyens électriques.

  • Supports pollués occupés par un médicament 

Les médicaments subissent les mêmes contraintes lors de leur préparation et transfert.

Ils sont donc pollués eux aussi.

Leur insertion dans un support ne fait qu’additionner ces pollutions.

  • L’exposition à la Labradorite numérisée amplifiée.

La Labradorite est venue à notre secours. La Labradorite est un cristal émettant, de façon équilibrée, de nombreux champs et Biochamps. En particulier un CDT D&G simultané, stables et non spécifiques. Sous forme numérisée, il nous permet de neutraliser les CDT induits extrinsèques, sans altérer les CDT naturels intrinsèques.

La dépollution de chaque « médicament-support-SW » est nécessaire de manière systématique et isolée avant tout examen ou enregistrement Audio.

  • Tous les obstacles techniques, liés à l’Audio, nous ont poussé vers les substances numérisées à partir de photos.


CARACTÉRISTIQUES DES CDT DES SUBSTANCES MEDICINALES

 

  Orientation initiale du CDT

Après dépollution de l’ensemble devant un Biofilm de Labradorite, on peut alors mesurer si la salive ou SWS, en son centre, émet un cdtD ou G initial.

Bien qu’ils soient tous oscillants, 20/100 des salives en SWS sont initialement cdtD et 80/100 sont initialement cdtG.
Dans une liste de Biochamps de substances médicinales, une cohérence initiale, un synchronisme oscillatoire est nécessaire pour que les tests de remèdes se fassent dans l’harmonie. Quand un Biofilm n’est pas synchronisé en sa phase initiale, il doit subir une inversion horizontale.

Mentionnons encore que ces CDT initiaux s’inversent au mi-temps du nycthémère 02 h ou 14 h l’hiver à Paris.

Le caractère Homogène des CDT

Toute substance oscille : après avoir été initialement cdtD elle devient cdtG en seconde phase… Bref ces deux CDT alternent régulièrement, la substance est en oscillation.

Nous avons mis en avant que les substances listées devaient être synchrones dans leur phase initiale. Mais pour que cela soit homogénéisé, il faut aussi que la durée de chacune des phases des diverses substances soit la même.
En s’autoneutralisant, l’expérimentateur observe que toutes les substances ont, chacune en soi,  8 pulsations par phase. Et cette caractéristique est déterminante pour que les tests de remèdes soient harmonieux.

POINTS DE TORSION CUTANÉS.

  • Points d’acupuncture.

Les pathologies s’affichent sur la peau sous forme de points d’acupuncture, certes souvent détectables par une différence de potentiel cutané ; mais il s’agit aussi de ‘’points de torsion‘’ révélés par des détecteurs universels. On le sait, CEM et champs de torsion vont de pair.

  • Points de torsion purs.

Ce sont des points qui ne sont révélés que par les trèfles.

Les Chakras représentent des CDT purs et naturels.

Les points de la couronne occipito-maxillaire représentent des CDT purs et naturels de nature opposée, en opposition de phase.

Les points CDT pathologiques sont affichés par le SWS de cancéreux métastasés.
En dehors des points d’acupuncture et des zones organiques pathogènes mis en évidence par les détecteurs de Biochamps, il existe chez les cancéreux avancés, des points de torsion, révélés par le survol cutané rapproché de la face d’un trèfle ou d’un stylo Oscillant.

Ces points CDT, rapprochés, d’où émergent des cônes qui fusionnent entre eux, engendrent des zones de torsion à distance. Les sites de ces points ou de ces zones sont assez stéréotypés : les aires ganglionnaires sous-maxillaires, axillaires et de l’aine mais aussi le sternum. Ils traduisent le débordement, la sidération de tout le système immunitaire.

 

POUR CONCLURE.

Ce nouveau paradigme biophysique que sont les Champs de Torsion est important.

Non seulement la Pulsologie nous permet de vérifier l’existence théorique des champs de torsion, mais aussi de leur assigner un rôle :  Ils s’appuient sur les CEM et nous élèvent vers les Biochamps dont ils sont porteurs.

Tous les médicaments distribués par les pharmacies modernes subissent fortement les champs magnétiques des voitures lors de leurs transports. Ces CM corrompent semble-t-il la régularité des oscillations des CDT et donc des Biochamps. Les CDT trop puissants exogènes polluent de nombreuses substances.

Il convient de ne travailler qu’avec des salives ou des remèdes dépollués par les Biofilms de LBD. Ceci est d’autant plus important que l’information des substances pharmacologiques est « influençable » ; certes cette plasticité est réversible, elle peut être réinitialisée.

Ne doutons pas que toutes ces sources de pollution sont sûrement à l’origine des problèmes rencontrés par J. Benvéniste et L. Montagnier au cours de leurs expériences répétées dans des milieux saturés d’appareils électroniques.