37 TESTS DE REMÈDES AVEC BIOCHAMPS VISUELS

37 – Mots-clés : dossier sélectionné » et non ouvert , Évolution du traitement , Musiques spirituelles , musicament , phase de charge d’imprégnation LLLL ,  Pulsologue en damier , remède pressenti activé , schéma corporel , SWS inhibé par Biofilm , Télévision , transférer sur du Fructose , Varin Mme ,

Le principe consiste à mettre en résonance : 1/ un SW Salivaire ou une photo pathologique, voire le Nom du malade en précisant la date et 2/ toute une liste de substances médicinales numérisées appartenant à une spécialité médicale en regard de 1/.

Contrôle d’un seul remède favorable.

Il suffit de sélectionner, d’activer seul le remède numérique et de placer le SW salivaire dans l’angle inférieur droit de l’écran ; le SWS est maintenu par une cordelette verticale contournant tout l’écran à son extrémité droite.

Méthode la plus simple si les Biofilms des remèdes sont affichés, il suffit de constater que SWS et le remède pressenti activé résonnent ensemble lors du survol du stylo Universel.
Le remède résonne en son centre, les SWS en son Halo.

N’oublions pas que le Nom du Pulsologue en damier est en bas d’écran pour faire miroir.

Evidemment, si le remède favorable est désélectionné, désactivé, aucune résonance n’est obtenue.

Rajoutons une autre curiosité informatique. Un « dossier sélectionné » et non ouvert équivaut à une “lecture activée” de son contenu, de sorte que cette sélection est informative et autorise la résonance. Nous devons concevoir que le dossier favorable sélectionné diffuse l’information de son contenu. Chaque information est fascinante par sa spécificité, elle n’interfère pas avec les autres de sa liste (si celle-ci est pure).

Recherche de remèdes au sein d’un ensemble de médicaments.

La méthode est semblable à ce que nous venons de décrire pour un seul remède.

Ici, tous les Biofilms sont activés « Ctrl A ». Et bien sûr tous les éléments de la spécialité sont cohérents. Les Pseudo-médicaments ont été exclus.

Nous avons donc : à droite le SWS maintenu par sa cordelette, à gauche la liste de maladies ou des remèdes activés, SWS et liste se jouxtent sans se superposer. Le Nom du Pulsologue est en bas de l’écran.

Le simple survol lors du balayage des médicaments ou des maladies génère une résonance au pouls qui indique que le médicament est propice à la salive et donc à son donneur. Pour ce faire, la Latéralité du SWS et celle de la liste médicinale doivent être identiques (via le trèfle) ; le plus souvent G.

Quand on décèle un remède bénéfique dans une liste, on le désactive. C’est alors qu’un second remède s’exprime, qu’on désactive à son tour pour en trouver un autre. En général, l’intensité » de la résonance décroît d’un remède à l’autre, c’est donc le premier le meilleur.

TEST THÉRAPEUTIQUE

Un remède réel X favorable répond positivement à la réaction d’écart faite par le malade.

Si ce malade est placé devant l’écran émettant X, via son Biofilm, son pouls réagit pendant une à deux minutes puis se tait ; l’exposition est stoppée.

Deux heures plus tard, l’exposition est réitérée mais son pouls ne répond plus ; le sujet est saturé. Bref, le malade a enregistré l’information du remède comme s’il avait ingéré la substance réelle X.
Le malade revient en salle d’examen et le « médicament réel X » est de nouveau testé ; on constate alors qu’il ne répond plus à la réaction d’écart.

Évolution du traitement. Vingt-quatre heures après, il peut de nouveau réagir, certes plus faiblement, et le patient peut être traité de nouveau. Après 4 ou 5 jours d’exposition, X réel ne répond plus du tout à l’écart.

Application rétroactive des remèdes numériques à l’égard des médicaments réels livrés par les pharmaciens. Ces médicaments subissent lors de leur transport et via les champs magnétiques des alternateurs de voiture, une assez forte pollution : ils perdent parfois jusqu’à 30 à 50/100 de leur potentiel thérapeutique.
L’exposition de chaque boîte d’abord à la Labradorite numérisée les dépollue et l’exposition au médicament numérisé, pendant 2 minutes peut les revitaliser.

En raison de sa forte émission par l’écran sous tension l’information numérique émise est renforcée, boostée. Et cette information numérique peut rétroagir sur le SW salivaire réel accolé ; ce dernier se retrouve désinformé temporairement. En réalité, grâce au Biofilm de LBD en fond d’écran, le SWS se réinforme spontanément et progressivement revient à son état initial pathologique.

LES DEUX ÉTATS DU BIOFILM EN COURS D’EXPOSITION

Si un Biofilm est favorable à un Malade, pendant son exposition il pulse en Long LLLL. Le pouls du praticien qui est proche du malade lors de l’exposition, pulse en Long à l’unisson, ce qui témoigne de la phase de charge, d’imprégnation. S’il pulse en travers TTTT, c’est qu’il y a erreur sur la Latéralité, soit du remède soit du malade.

Une fois « informé » « chargé » le pouls cesse de pulser spontanément.

Nous avons vu (20) que les pseudo médicaments sont à l’origine de distorsion LTLT. Si ce phénomène se produit, c’est que la liste est parasitée par un pseudo ; il doit m’être signalé.
Une fois la liste épurée de ces Pseudo, tous les autres pulsent sous forme LLLL ou TTTT.

AFFICHAGE DES POINTS D’ACUPUNCTURE SUR LA PEAU

Il est possible d’afficher un visuel, un « schéma corporel » sur l’écran en regard d’un SWS.
Ici encore, le Pulsologue est neutralisé par effet miroir.
Prenons le cas d’une sciatique : les points d’acupuncture classiques, projetés par le SWS s’affichent de manière ponctiforme sur le schéma en L4/L5 sur la ligne médiane, sur la fesse en V50, VB30, sur pli fessier inférieur, V54 (au creux poplité), 57, 59, 62, 67. D’un côté les points sont centrés, du côté controlatéral les points sont symétriques et Nuls, ce qui signifie que les points centrés doivent être dispersés (sont vite corrigés) et les points Nuls tonifiés (corrigés lentement).

Si l’on examine les points projetés sur la peau du malade réel par ce même procédé, nous constatons que ces points sont identiques à ceux que le schéma corporel avait évoqué.

Note : via le stylo universel et via l’effet miroir pour le praticien.

Affichage sur l’oreille.

Un point auriculaire s’affiche aussi sur un schéma d’oreille, ou directement sur la peau pavillonnaire : celui que Mme Varin cautérisait (appelé point 13 par le Dr P. Nogier) se situe vers la partie postérieure de l’anthélix.

INFÉRENCE D’UN REMÈDE NUMÉRISÉ SUR UN SUPPORT

Les supports naturels qui sont les mieux inférés (induits) sont l’eau déminéralisée très pure, les corps gras (huile d’olive) ou le fructose en poudre. Les oses purs (le sucre roux de canne ou le fructose) sont propices car neutres.

Notes. L’inférence informative n’est pas une mise en mémoire mais l’intégration d’un champ informatif.
Le mélange eau + alcool semble être le meilleur mélange pour bien inférer et pour réactiver par succussion cette inférence.

Bref, il est possible de transférer sur du Fructose une information provenant de n’importe quel médicament numérisé.
Il faut savoir que le fructose inféré se décharge lentement sous l’effet des champs ambiants ; mais il est possible de le réactiver à partir du remède numérisé.

Modification d’une inférence sur du fructose

On peut, à partir d’un sachet de fructose chargé d’une information X, inférer une autre information Y en raison même de sa labilité informative.
Ce transfert d’info se fait en trois phases. La première voit le fructose se décharger (oscillations décroissantes) ; la seconde phase, silencieuse et assez courte, correspond à la phase du fructose neutre (ce retour à la pureté est contrôlable à partir d’un sachet de fructose originel) ; la troisième est la phase de nouvelle inférence. En général, pour être sûr que le transfert d’information soit complet, il convient d’exposer le fructose à l’écran pendant cinq minutes.

« MUSICOTHÉRAPIE »

Il y a longtemps, sur Internet,  A .G. est tombé sur une publicité prônant le pouvoir bénéfique de certaines musiques. La Bande passante de quelques extraits de ces mélodies fut affichée. Et nous fûmes surpris de constater que ces airs n’étaient accompagnés d’aucun CDT…

Etendant notre étude, nous nous sommes alors aperçus que la musique sacrée (plain-chant grégorien) émettait de forts champs de torsion, que le pouls captait via un trèfle ; musique généralement admise comme bénéfique à l’équilibre spirituel.

Mais que mesure ce trèfle ? Est-ce le niveau de spiritualité du compositeur ou celui de l’interprète ? Il semble que c’est celle de l’interprète qui est mesurée car, pour une même mélodie, le nombre de pulsations du pouls varie, via le trèfle, d’un interprète à l’autre. En réalité le trèfle mesure la Latéralité de l’interprète.

En revanche, le détecteur stylo Universel, issu d’une Icône spirituelle, mesure le niveau spirituel du compositeur et ce niveau, en nombre de pulsations, est assez fixe pour l’ensemble de son œuvre.
Le pouls réagit et nous comptons le nombre de pulsations. Ainsi le chant grégorien donne 110P.

Musiques spirituelles

Si on affiche la piste sonore d’une cantate de Bach sur un logiciel Audio, la surface de la BP résonne pendant 60 pulsations via le stylo Universel ; on peut qualifier de « Spirituelle » cette cantate.

Toute composition musicale se manifeste au pouls comme étant en relation avec le compositeur lui-même ; ses interprètes divers influent peu.
Note : il semble que les interprètes de Latéralité D  (20/100 des sujets) favorisent, confortent la spiritualité du compositeur : les « petits chanteurs à la croix de bois » sont majoritairement « droitiers » sur les photos de groupe (Google).

On peut établir une classification des compositeurs selon leur « indice de spiritualité », selon le nombre de pulsations que dégagent leurs mélodies. Si de Vivaldi ou Mozart émanent 40P via le stylo U, si de Bach ressortent 60P, Claudio Monteverdi en émet 80, Tomás Luis de Victoria et Grégorio Allegri 98 et le chant grégorien 110. Rien ne semble dépasser le chant grégorien.

Même si la musique n’a pas d’action thérapeutique, elle “adoucit les mœurs”, elle soigne l’esprit.
La musique est généralement aussi nécessaire à la vie qu’une bonne nourriture. Bref c’est d’abord un « musicament ». L’effet spirituel qui peut s’en dégager possède en revanche un effet que seuls les méditatifs peuvent bien percevoir, apprécier, et goûter.

Note : Il est bien sûr qu’une musique au tempo assez calme (un Andante ou un Adagio) est favorable à la relaxation. Certaines mélodies peu rythmées, à sons continus, sont aussi favorables. La musique aiguë (violons) est plus tonifiante que la musique grave (violoncelle).

Musiques neutres

Beaucoup de bandes passantes musicales n’émettent aucune spiritualité, les Beatles par exemple.

Les chants et chansons modernes qui manquent de spiritualité foisonnent…

Musiques anti-spirituelles.

J’ai même aperçu des pistes sonores inversées : c’est le Halo de la bande passante qui résonne sous le stylo U.  La musique de Barry White, par exemple, semble donc plutôt négative voire polluante sur le plan spirituel.

TELEVISION

L’incursion dans ce domaine est assez brève.

En appliquant les mêmes critères que ceux de la musique, on peut dire que la plupart des films sont négatifs. Les documentaires et talkshows aussi.

Les débats sont en général neutres.

Et les films religieux, vraiment très peu nombreux, sont positifs.

CONCLUSION

L’information qui émane d’un remède numérique ne possède pas l’effet thérapeutique incisif d’un vrai médicament bio ou chimique de synthèse, mais elle détient un effet curatif pour de nombreuses pathologies fonctionnelles.
N’étant présenté que sous forme de Biochamp, elle évacue ce faisant les effets secondaires des médicaments réels et perpétue aussi les substances pharmacologiques, introuvables en pharmacie, « déclassées » pour des raisons autant commerciales que sanitaires.

L’information, qui émane d’une liste de pathologies, permet d’établir un diagnostic.

Il serait en effet stupide de penser que cette information numérique puisse guérir une carence alimentaire ou vitaminique, remplacer un béta bloquant ou un béta-stimulant… Déceler les limites de cette Biologie numérique est une affaire de tous les jours.

La Biologie numérique n’en reste pas moins intéressante sur certains points. Elle permet d’enregistrer toute une pharmacothèque et ceci de manière stable : les substances médicinales numérisées ne peuvent être périmées. De plus, les médicaments réels ayant tous été dépollués préalablement, la plupart des remèdes numérisés peuvent servir d’étalons.

Les élèves en Pulsologie auront la chance d’exercer leur pouls à partir d’informations très renforcées et donc très résonantes simplement en confrontant la substance numérique en diffusion et la substance réelle source (dépolluée).

Dans le monde numérique, la présence du malade est moins nécessaire que celle de sa salive. Cette dernière suffit à découvrir les pathologies et indiquer les remèdes favorables qui conviennent à son donneur.