31 – Les MOTFILMS

L’information “pure”.

La notion d’information « pure », non physico-chimique, conduit aux remèdes numériques. Cette information émane de toutes les substances médicinales ; le remède homéopathique en haute dilution en est le meilleur exemple : la substance pharmacologique originelle en est absente.

Pour notre part, nous lisons distinctement le Pouls de P. Nogier. D’ailleurs, bien des praticiens pourraient se perfectionner dans cet examen somme toute clinique puisqu’il s’agit d’une palpation.  

Les champs informatifs des remèdes numériques sont transférables, via l’écran de l’ordinateur, vers le patient qui s’y expose. Transférables aussi via des substances porteuses d’une certaine mémoire, les substances inférables. L’eau ou le granule homéopathique fait de saccharose-lactose (85/15 pour cent) sont des substances inférables.

Les Motchamps


L’étude des Motchamps du précédent chapitre est ici renforcée.

Nous avons dit, que les « champs informatifs procèdent de la Vie, mais aussi du Verbe et de chaque « MOT ».
Ceci est une évolution, une mutation, une spiritualisation de notre recherche.

Du point central zoomé au Mot en son entier

Nos précédents Biofilms émanaient d’un point central zoomé.
Ce point représentait le « noyau » d’une Bande passante audio ou de toute photo d’image pathologique. Il était repéré avec un détecteur particulier. Son amplification (zoom) était censée marginaliser l’image environnante au profit de ce noyau. Et il m’apporta des résultats thérapeutiques encourageants mais inconstants…

Puis nous sommes passés au Mot bien cadré. La photo d’une rougeole par exemple fut remplacée par le mot « Rougeole ». Avec étonnement nous avons constaté que ce mot avait lui aussi un foyer, un point central, qui pouvait être exploité comme ci-dessus. Nous avons seulement été intrigués de noter que ce foyer résonnait bien au survol d’un détecteur mais qu’assez souvent, pour d’autres Mots, la résonance se faisait « en halo » comme en regard d’un point en creux (pseudo-résonance) …
Ceci m’amena à m’interroger sur la pertinence de mes stylo-détecteurs.

Détecteur biologique de premier plan : le Médius.

 

J’en revins alors au détecteur biologique universel que j’avais décrit, il y a quelques dizaines d’années, à propos de la division en damier de 32 champs cutanés du corps. Le Médius de ma main D a cette capacité, à son extrémité, de résumer les 4 champs basiques du damier crânien ; il en va de même du Médius G et des médius des orteils.

 

 

                                                                                    

Par survol de mon médius sur les mots-cadrés, je retrouvais deux types de Mots : ceux dont le milieu, initialement, pulse fort (mot B) et ceux dont les extrémités initialement pulsent fort (mot A).

En approfondissant l’analyse, le Mot-cadré B écrit Noir sur Blanc, émet, quatre champs internes : L = pulsation en Long, T = en Travers, ligne supérieure D = pouls en biais, supérieure G en biais inversé.

 

 

Nous avons déjà abordé ce descriptif dans le précédent chapitre « Des Biofilms aux Motfilms » mais de manière incomplète.

Ce mot de type B se caractérise par son état oscillant. Pour l’angle droit inférieur par exemple, les 6 pulsations L (en long) sont suivies de 6 pulsations T (en travers). Les 3 autres angles se métamorphosent simultanément ; puis retour à l’état initial.

En bref, le Mot B pulse fort, via le Médius, au centre dès le début de la mesure, mais après 4 à 8 pulsations, ce sont les deux extrémités qui résonnent ; et l’alternance oscillante se poursuit.

Dans l’exemple donné, « Mot » appartient au groupe B.

Si j’analyse un antiseptique comme Ercéfuryl, je suis en présence d’un Motfilm A : le médius révèle que T, L ou Obliques sont perceptibles aux 4 coins internes du Mot.
Mais les 4 champs internes oscillent encore.

En bref, le Mot A pulse fort, via le Médius, aux extrémités dès le début de la mesure, mais après 4 à 8 pulsations, c’est le milieu qui résonne ; et l’alternance oscillante se poursuiA

 

 

Cet état oscillant et lancinant est un problème que nous avons dû dénouer.

Nous avons dit que chaque mot est divisible en 4 champs internes via le médius.
L’Idée nous est venue alors de transférer au Mot une structure à 4 champs, celle qui correspond au damier cutané, comme celui, vu ci-dessus, représentant le sommet de la tête.

 

 

 

 

 

Cette conformation nous offre deux damiers dont les surfaces internes sont spéciales. En partant en haut à gauche et dans le sens horaire, nous avons un aspect NBNB ou BNBN.

Ces deux Mots, opposés de damier, ont un point commun : le centre du mot, qui est défini par le croisement des deux lignes, résonne sous la pointe du Médius en continu ; mais c’est également toute leur périphérie, leur Halo qui entre en résonance.

En revanche, les quatre champs ne sont ni stables ni oscillants sous le Médius ; ils ne sont pas  L ou T ou obliques, comme décrits pour les premiers mots A et B oscillants.
Ils procèdent de manière subtile : le pouls pulse, dans chaque champ, selon 32 axes qu’il faut certes être apte à appréhender… Ceci évoque les points stellaires décrits il y a très longtemps sur le site de Pulsologie (cf. PROJECTIONS ACUPUNCTURALES).
Les deux champs noirs sont synchrones et les deux blancs aussi ; les blancs sont en opposition axiale par rapport aux noirs.

Mais finalement ces Motfilms ont un centre très stable et leur damier est en harmonie avec les champs cutanés de la pointe du Médius et avec les 32 champs du malade ou de son support-photo.

 

Le damier NBNB représente la Norme majoritaire des Motfilms en Pathologie (soins-numerises.com).

Le damier BNBN en revanche caractérise tous les Allergènes, les Huiles-Essentielles, les Homéopathiques en HD, les Organo en 30CH, les substances Ayurvédiques, les antiviraux ; les gènes (ceux de l’autisme), les antigènes suppresseurs (cancers) et nombre d’anticorps.

Certes, parmi les substances pharmacologiques d’une même spécialité, les NBNB peuvent dominer les BNBN mais l’inverse existe aussi.

 

 

LE MALADE ET SES 2 REPRÉSENTATIONS

 

Il peut se manifester via sa photo (tête et cou) envoyée par mail ou WhatsApp.

Il est aussi possible de le mettre en mot : « Prénom-N. »

Prénom-N.

Pour être en harmonie avec les listes de médicaments en damier, ce Prénom-N. doit subir, via Paint, une « mise en damier » NBNB lui-même :

Paint offre du même coup, la possibilité d’inverser les couleurs en BNBN selon ce que l’on recherche, une pathologie ou des remèdes NBNB ou BNBN.

 

La Photo

La photo directe « visage-cou » est déjà sous forme de 4 champs basiques. Elle est réversible via Paint. La directe convient mieux aux listes BNBN et l’inversée aux listes de pathologies ou de médicaments NBNB.

Il y a donc une harmonie totale des 4 champs du « Remède », et des 4 champs du malade, ce qui favorise les tests de résonance.

Le malade réel

Il n’a pas sa place dans nos tests devant écran car il n’est pas en 2D mais en 3D, ce qui favoriserait des interférences avec le Pulsologue. En revanche il trouve sa place dans le contrôle du résultat des tests (en cours d’exposition).

Le Mot procède du Vivant et le Vivant procède du MOT, quelle que soit la langue, dès lors que le mot porte et soutient une entité précise, comme le médicament générique l’est.

 

Spécificité de la résonance entre une photo et une substance

 

Spécificité du Mot en soi : il peut être composé : « générique-spécialité ». Si jamais il y a erreur sur l’un d’eux, mésalliance, le médius ne perçoit rien, inouï !

Le Nom générique ou celui d’une spécialité médicinale résonne parfaitement avec la photo des gélules du médicament, voire la photo de son emballage qui porte son Nom.
Expérience simple : afficher sur le PC le Nom du médicament à D de l’écran et la photo du même médicament à G, sans contact des images ; le survol à distance avec le Médius D révèle la forte résonance qui unit les deux images ; si l’une d’elles est retirée de l’écran, toute résonance au pouls disparaît ; elle s’évanouit, aussi, quand le Nom ne correspond pas à l’image.

Commentaires. La résonance s’établit immédiatement, sans le moindre délai ; le survol à distance signifie que le médius ne s’est pas laissé imprégné (comme un stylo) par l’info émanant du Nom ou de l’image ; enfin que le Nom soit écrit noir sur blanc ou en forme de damier, le résultat est identique.

 

Dissocier l’agent pathogène et la maladie

Prenons le cas des allergènes : il est plus pertinent, en phase aiguë, d’avoir recours à la Maladie induite comme « allergie-aux-plumes » ; en revanche, « Plumes » ne sera réservé qu’à la maladie chronique visant une certaine désensibilisation.

Ceci montre qu’il faut dissocier l’agent pathogène et la maladie, induite par cet agent.

 

Comment procéder avec le PC

 

Avertissement : Le praticien, que je suis, dispose d’un PC dont le clavier et l’écran sont filaires. Aucun test avec une souris ou un clavier sans fil de connexion avec le PC n’a été fait jusqu’ici.

Nous savons que le Nom du malade est inscrit – via Paint – sur la gauche de l’écran (en damier NBNB)

On Choisit la liste des pathologies selon le type de maladie (la spécialité) NBNB (ou BNBN pour les addictions) et le détecteur Universel (S.T.B.R), en général. La liste des maladies est à droite de l’écran.

 

Diagnostic de Pathologie en l’absence du patient

 

La subtilité de la Pulsologie est telle que le malade peut être remplacé autant par sa photo que par son « Prénom-Nom », sous forme NBNB, zoomé. On peut ainsi afficher à G de l’écran ce prénom et à D la liste des maladies. Le détecteur Universel survole la liste à la recherche de résonances, spécifiques au malade.

Le Prénom-N. en damier NBNB est réalisé, via Paint.

Le Prénom-N. peut subir une inversion de couleur, sous forme BNBN.

De même, la photo naturelle peut aussi être inversée de couleur.

Rappel d’avertissement : les tests avec une souris ou un clavier sans fil de connexion avec le PC n’ont pas été expérimentés

 

Mode d’emploi des remedes-numeriques

 

Election des remèdes

Le Patient

Il est représenté par son Prénom-et l’Initiale de son Nom de manière cadrée – via Paint. Sous forme NBNB ou BNBN.

Le patient peut aussi être remplacé par la photo de son visage et de son cou (ils forment un damier élémentaire, sous forme directe ou inversée de couleur).

Le NOM du patient ou sa Photo doivent être zoomés, agrandis (3 à 4 cm).

 

La liste des médicaments qui sont envisagés

L’élection repose sur la liste des substances médicinales proposées dans un domaine particulier (cardio-vasculaire par exemple). Cette liste est au centre droit de l’écran.

Les listes médicinales appartiennent assez souvent au groupe NBNB ou BNBN; mais généralement les listes sont mixtes ; la structure en damier avec résonance de chaque remède en son milieu, via le médius, permet la cohabitation de ces deux types de damier et justifie leur mixité.

En raison de la longueur des listes, nous séparons chaque spécialité en deux listes distinctes 1 et 2.

Et avec le détecteur-stylo Universel (S.T.B.R), nous survolons les diverses médecines de la spécialité incriminée pour cibler le remède résonant apte à soulager le malade.
Très souvent, le Titre de la spécialité résonne déjà ; quelle subtile spécificité ; c’est hallucinant !

Il va sans dire qu’aucune résonance ne se produit en cas d’absence de remède spécifique dans la liste survolée. Mais certains remèdes apparentés peuvent s’élire par défaut.

 


Le Praticien

Il intervient via son pouls et son stylo. Deux « stylos Universel (S.T.B.R), sont trouvés sur le site (00 Labradorite). L’Universel 1 NBNB est optimal ; le second 2, inversé BNBN, repère surtout les substances nocives.
A l’origine ce sont des Motfilms qui permettent d’induire les stylos en plastique
Note : contrôler une fois tous les 2 jours le stylo Universel car une désinformation se produit au cours des multiples tests.

Le praticien ne peut pas expérimenter les remèdes directement sur le malade en 3D car des interférences informatives se produiraient avec lui-même en 3D.

Si le Pulsologue recherche un Diagnostic pour lui-même, il doit entrer lui aussi son Prénom-N en 2D, par cohérence, pour respecter la liste des pathologies en 2D.



Election des Remèdes en l’absence du patient


La subtilité de la Pulsologie est telle que le malade peut être remplacé autant par sa photo que par son « Prénom-Nom », soit sous forme NBNB zoomée soit selon la forme BNBN pour certaines spécialités ; c’est une question de savoir-faire.

On affiche à G de l’écran ce prénom et à D la liste des médecines. Le détecteur Universel 1 survole la liste à la recherche de résonances, spécifiques au malade.

Rappel d’avertissement : les tests avec une souris ou un clavier sans fil de connexion avec le PC n’ont pas été expérimentés

 

 

Particularismes

 

Les intoxications phytosanitaires

Les phytosanitaires appartiennent au damier BNBN. Ils ont la particularité d’être oscillants ; toutes les 6 Pulsations (par ex) le Médius résonne, au milieu du Mot, alternativement en Long et en Travers.

Cet état oscillatoire, assez rare, témoigne de la nature chimique des phytosanitaires qui agissent en bloquant, en inhibant des mécanismes biologiques. Une exposition sur les plantes est plus souhaitable que les vraies substances chimiques. Elle pourrait agir sur le sol ou sur les plantes en culture. Même sur une grande surface. A quel moment de la pousse ?

Mais pour le malade ou l’agriculteur imprudent, ce n’est pas le produit causal qui peut le soulager mais le groupe « Intoxication- par- organophosphoré » par exemple.

 

Les Virus

Ils sont souvent en cause, ils engendrent bien des maladies.

Le premier virus qui résonne est généralement le fautif car il pulse en travers en continu. Le stylo Universel N°2 le confirme. Comment le neutraliser ?

On peut soutenir que d’autres virus pourraient être des « contrepoisons » au virus pathologique causal : on doit rechercher les Virus-anti dans la même liste avec le même détecteur Souvent 3 ou 4 virus-anti peuvent émerger.

Signalons que les listes de Virus se trouvent sur le site de www.remedes-numeriques.com

Dissocier l’agent pathogène et la maladie

Prenons le cas du Coronavirus X : il est pertinent, en phase aiguë, d’avoir recours à la Maladie induite tel que « Covid X », le d signifiant disease .
« Coronavirus X » ne servira qu’au diagnostic mais ne pourra être contré que par 3 ou 4 virus-anti qui pourront être réservés à la phase chronique.
« Coronavirus X » pulse en travers, signe de nocivité, et en expo il aggraverait la phase aigüe.

 
Ceci montre qu’il faut dissocier l’agent pathogène et la maladie, induite par cet agent.

 

Quatuors de remèdes.

 

La liste de médicaments analysée est survolée par le stylo-détecteur.

On découvre une première résonance sur laquelle on place le pointeur de la souris ; après extinction de cette première résonance, le survol se prolonge et découvre un second remède sur lequel le pointeur de la souris vient se déplacer ; on retrouve ainsi un troisième remède qui, pointé à son tour décèle un quatrième et dernier remède. Le tout forme un quatuor.

L’analyse topologique de la projection de ces 4 remèdes montre que chacun corrige un des 4 quadrants du « Nom du malade », affiché à G de l’écran. Ces 4 remèdes sont donc en cohérence avec le damier qu’est le malade – via son Prénom et nom.

 

 

L’Exposition thérapeutique

Le Motfilm Remède, adapté au malade, s’affiche de manière visuelle.

Il est statique, immobile ; il envoie, via les champs EM porteurs de l’écran, une information spécifique.

Pour chaque médicament ou principe médicinal, un Motfilm est proposé qui cible le Malade atteint.
Plusieurs Motfilms sont souvent nécessaires (cas du Covid). Infectiologie et complications : pathologies Cardio-vasculaires, Système nerveux central, Rhumato.

Dès le début de l’exposition le pouls bat fortement (si le Motfilm est bien ajusté). Pendant la durée d’imprégnation de l’organisme, de forts battements du pouls se manifestent ; quand le pouls est calmé, l’expo peut être arrêtée.

En pratique, le malade se place devant l’écran et s’expose à chaque Motfilm, deux minutes au début, puis une min voire 30 secondes ensuite, à raison d’une fois par jour.

Si aucune amélioration clinique ne se produit à l’issue d’une cure de cinq jours, on peut tout suspendre, le Motfilm n’est pas adapté.

La thérapie établie par le Pulsologue

En raison des interférences entre les sujets réels en 3D, les élections thérapeutiques ne se font qu’en 2D.

En survolant les listes médicinales avec la pointe du stylo idoine, il obtient une résonance avec le Prénom-N du malade.

 

La thérapie surveillée par le Pulsologue.


Cependant, sur le plan thérapeutique, le praticien peut évaluer, sur son propre pouls,  l’effet du Motfilm sur le malade en 3D et sa durée informative.
Son propre pouls décèle par la force et le nombre de ses battements la justesse de l’indication du remède ; ceci suppose que le praticien est à peu près neutre, qu’il n’interfère que peu avec son patient.

Tout praticien sachant prendre le pouls radial est apte à apprécier la force des pulsations.

Tout médecin évoquant une thérapie peut contrôler par là même son intuition.

 

Thérapeute non Pulsologue


S’il envisage un éventuel médicament utile, il peut le trouver via la fenêtre de recherche.
Il s’oriente alors vers celui-ci et y expose son patient. Et si le pouls bat avec force, il a la preuve que son intuition était bonne. Ces forts battements doivent durer une demi-minute pour que ce médicament soit bien ciblé ; s’ils ne durent que six à 10 secondes, le remède est secondaire, accessoire.

 

Les causes d’échecs.

a/ Un diagnostic inexact.

b/ Un Pouls toxique (pulsations actives en travers et continuelles). Un patient qui arrive en voiture est pollué par le champ magnétique de l’alternateur du moteur. Je l’expose en priorité, dès son arrivée, à la Labradorite, pour calmer son pouls, avant de poursuivre tout examen.

Une intoxication alimentaire ou médicamenteuse : dans ce cas il faut exposer aussi le patient à la Labradorite dépolluante (en tête des rubriques) avant d’entamer l’exposition au programme principal.

Ces dépollutions s’imposent quand on veut déterminer la pertinence des remèdes que le patient apporte ; via la réaction d’écart (pulsologie.com) les uns sont favorables, les autres inutiles voire nocifs (à proscrire).

Assez souvent, le remède bien choisi par le Pulsologue est le bon. Mais certains malades préfèrent qu’il soit prescrit et délivré par le pharmacien.

c/ Le seul Motfilm d’une maladie a presque toujours besoin d’autres Motfilms pharmacologiques d’appoint : voir site de remedes-numeriques.com.

 

Effets secondaires.

Un Biofilm mal indiqué serait-il apte à induire des effets secondaires ? Si l’indication est mauvaise, l’exposition-test ne donne aucune résonance.

Certes, l’exposition à un virus causal en phase aigüe aggrave ; mais en prévention il vaccine.

In fine, ne sont reconnues et captées que les bonnes informations thérapeutiques. Et cette résonance ne vaut que pour le malade et non pour son entourage.

 

Principe de convenance


Il serait hautement préjudiciable et peu fiable d’utiliser des remèdes oncologiques pour traiter un cancer sans l’aval d’un Pulsologue éprouvé qui pourrait orienter le choix thérapeutique.
Toutefois l’Oncologue sera hostile à toute suggestion thérapeutique, étant assujetti aux protocoles qui lui sont imposés….

Il va de soi que les pathologies oncologiques (cancers) sont peu de notre ressort ; nous osons cependant proposer, sur le site « remedes-numeriques.com » des « Motfilms » de nombreux médicaments oncologiques afin de pouvoir choisir, via le pouls, les remèdes les mieux ciblés, les plus adaptés pour l’individu atteint, avant de passer à la chimiothérapie réelle.
Cette approche pourrait-elle se concevoir dans le cadre d’un Staff ? Elle n’a aucune  chance de voir le jour, les protocoles internationaux ayant le soutien des laboratoires pharmaceutiques ont une approche statistique et non individuelle.

En revanche, nous ne pouvons qu’inciter les malades souffrant de bobologie à expérimenter ces remèdes dès lors qu’ils savent d’expérience ce qui leur convient.

Ces remèdes peuvent aussi pallier les médicaments réels en rupture de stock.

La fenêtre, en haut à gauche, permet de trouver immédiatement la substance recherchée.

Les Remèdes rétablissent l’équilibre des malades en contrant leur déséquilibre biologique. Certes dans les cas chroniques, la nature pathologique reprend ses droits et une nouvelle exposition aux Motfilms favorables s’impose.

« Guérir parfois, soulager souvent, consoler toujours » a dit Ambroise Paré. C’est ce que nous essayons de faire.

Grâce aux Motfilms pouvons-nous dire comme Lamartine « Objets inanimés avez-vous donc une âme ? » Nous nous contenterons de dire qu’ils ont surtout une Ame informative et que c’est vers celle-ci que nous regardons.

Grâce à la Pulsologie, via l’électronique, nous sommes passés de la Science dure à la l’approche Spirituelle des choses.