31 – Les MOTFILMS

L’information “pure”.

La notion d’information « pure », non physico-chimique, conduit aux remèdes numériques. Cette information émane de toutes les substances médicinales ; le remède homéopathique en haute dilution en est le meilleur exemple : la substance pharmacologique originelle en est absente.

Pour notre part, nous lisons distinctement le Pouls de P. Nogier. D’ailleurs, bien des praticiens pourraient se perfectionner dans cet examen somme toute clinique puisqu’il s’agit d’une palpation.  

Les champs informatifs des remèdes numériques sont transférables, via l’écran de l’ordinateur, vers le patient qui s’y expose. Transférables aussi via des substances porteuses d’une mémoire, les substances inférables. L’eau ou le granule homéopathique fait de saccharose-lactose (85/15 pour cent) sont des substances inférables.

Les Motchamps


L’étude des Motchamps du précédent chapitre est ici renforcée.

Nous avons dit, que les « champs informatifs procèdent de la Vie, mais aussi du Verbe et de chaque « MOT ».
Ceci est une évolution, une mutation, une spiritualisation de notre recherche.

Du point central zoomé au Mot en son entier

Nos précédents Biofilms émanaient d’un point central zoomé.
Ce point représentait le « noyau » d’une Bande passante audio ou de toute photo d’image pathologique. Il était repéré avec un détecteur particulier. Son amplification (zoom) était censée marginaliser l’image environnante au profit de ce noyau. Et il m’apporta des résultats thérapeutiques encourageants mais inconstants…

Puis nous sommes passés au Mot bien cadré. La photo d’une rougeole par exemple fut remplacée par le mot « Rougeole ». Avec étonnement nous avons constaté que ce mot avait lui aussi un foyer, un point central, qui pouvait être exploité comme ci-dessus. Nous avons seulement été intrigués de noter que ce foyer résonnait bien au survol d’un détecteur mais qu’assez souvent, pour d’autres Mots, la résonance se faisait « en halo » comme en regard d’un point en creux (pseudo-résonance) …
Ceci m’amena à m’interroger sur la pertinence de mes stylo-détecteurs.

Détecteur biologique de premier plan : le Médius.

 

J’en revins alors au détecteur biologique universel que j’avais décrit, il y a quelques dizaines d’années, à propos de la division en damier de 32 champs cutanés du corps. Le Médius de ma main D a cette capacité, à son extrémité, de résumer les 4 champs basiques du damier crânien ; il en va de même du Médius G et des médius des orteils.

 

 

                                                                                    

Par survol de mon médius sur les mots-cadrés, je retrouvais deux types de Mots : ceux dont le milieu, initialement, pulse fort (mot B) et ceux dont les extrémités initialement pulsent fort (mot A).

1/ Mot de type B


En approfondissant l’analyse, le Mot-cadré B écrit Noir sur Blanc, émet, quatre champs internes : L = pulsation en Long, T = en Travers, ligne supérieure D = pouls en biais, supérieure G en biais inversé.

 

 

Nous avons déjà abordé ce descriptif dans le précédent chapitre « Des Biofilms aux Motfilms » mais de manière incomplète.

Ce mot de type B se caractérise par son état oscillant. Pour l’angle droit inférieur par exemple, les 6 pulsations L (en long) sont suivies de 6 pulsations T (en travers). Les 3 autres angles se métamorphosent simultanément ; puis retour à l’état initial.

Dans l’exemple donné, « Mot » appartient au groupe B.

2/ Passons au Mot de type A

 

 

 

 

Si j’analyse un antiseptique comme Ercéfuryl, je suis en présence d’un Motfilm A : le médius révèle que T, L ou Obliques sont perceptibles aux 4 coins internes du Mot.



Mais les 4 champs internes oscillent encore.

 

Cet état oscillant et lancinant est un problème que nous avons dû réétudier.

 

Nous avons dit que chaque mot est divisible en 4 champs internes via le médius.
L’Idée nous est venue alors de transférer au Mot une structure à 4 champs, celle qui correspond au damier cutané, comme celui, vu ci-dessus, représentant le sommet de la tête.

 

 

 

 

 

 

Cette conformation nous offre deux damiers dont les surfaces internes sont spéciales.
En partant en haut à gauche et dans le sens horaire, nous avons un aspect BNBN (blanc-noir-blanc-noir).

Le centre du mot, qui est défini par le croisement des deux lignes, ne résonne plus sous la pointe du Médius, il est silencieux, Nul, de manière stable.

Les cadres internes du Mot et leur Halo externe entrent en résonance continue. Et cette résonance va croissant au fur-et-à-mesure que l’on s’éloigne du point central.

Les quatre champs et leur halo procèdent de manière subtile : le pouls pulse, dans chaque champ, selon 32 axes qu’il faut certes être apte à appréhender… Ceci évoque les points stellaires décrits il y a très longtemps sur le site de Pulsologie (cf. PROJECTIONS ACUPUNCTURALES).
Les deux champs noirs sont synchrones et les deux blancs aussi ; les blancs sont en opposition axiale par rapport aux noirs.

Finalement ces Motfilms ont un centre NUL très stable et une périphérie très pulsante.

Leur damier est en harmonie avec les champs cutanés de la pointe du Médius et plus généralement avec les 32 champs du malade.

 

Le Damier inversé

 

 

Le Mot BNBN est devenu NBNB grâce à Paint.
En regard du Médius, ce Mot révèle plusieurs choses. C’est le centre du Mot qui pulse le plus fortement. Et il pulse de manière transversale continue.
Quand on s’éloigne latéralement du centre, la force des pulsations transversales décline très rapidement de sorte que le Halo est très vite assez silencieux.

Cette transversalité des pulsations est présumée nocive par sa fixité, de plus elle va à l’encontre des 32 axes vus précédemment.

A rebours, le Mot en BNBN quant à lui est , par hypothèse, supposé comme biologique et donc favorable.

 

 

LE MALADE ET SES 2 REPRÉSENTATIONS

 

Il peut se manifester via sa photo (tête et cou) envoyée par mail ou WhatsApp.

Il est aussi possible de le mettre en mot : « Prénom-N. »

Prénom-N.

Pour être en harmonie avec les listes de médicaments en damier, ce Prénom-N. doit subir, via Paint, une « mise en damier » NBNB lui-même :

 

En Théorie, la forme BNBN est celle qui résonne avec les substances biologiques BNBN agonistes (ou NBNB antagonistes ?) . Il doit y avoir une harmonie entre les 4 champs du « Remède », et les 4 champs du malade, ce qui favorise les tests de résonance.

La Photo

La photo directe « visage-cou » est naturellement sous forme de 4 champs basiques. Elle est réversible via Paint. Sera retenue la forme directe ou inverse, selon le type de liste affichée en regard.

 

Le malade réel

Il n’a pas sa place dans nos tests devant écran car il n’est pas en 2D mais en 3D, ce qui favoriserait des interférences avec le Pulsologue. En revanche il trouve sa place dans le contrôle du résultat des tests (pendant l’exposition).

 

Le malade Audio fait exception

Le malade peut en effet vous téléphoner. Et votre haut-parleur émet un message Mono en 1D. Tant qu’il est au bout du fil, même sans parler, la présence du patient devant son microphone suffit à vous transmettre l’information biologique, pathologique de tout son être. C’est assez prodigieux. En cette circonstance, le Pulsologue 3D n’interfère pas.

Il devient ainsi possible de mesurer à distance l’effet d’un traitement via le pouls.

 

 

Spécificité de la résonance entre une photo et une substance

 

Spécificité du Mot en soi : il peut être composé : « générique-spécialité ». Si jamais il y a erreur sur l’un d’eux, mésalliance, le médius ne perçoit rien, inouï !

 

 

Expérience simple : afficher sur le PC le Nom du médicament à G de l’écran (Salbutamol) et la photo du même médicament à D (Ventoline), sans contact des images ; le survol à distance avec le Médius D révèle la forte résonance qui unit les deux images ; si l’une d’elles est retirée de l’écran, toute résonance au pouls disparaît ; elle s’évanouit, aussi, quand le Nom ne correspond pas à l’image.

 

 

 

 

Les Organes du corps

 

Une branche de l’homéopathie se dénomme Organothérapie.
Nous avons ainsi établi une liste des Organos en 30CH qui comporte 137 éléments.

Nous les avons, au départ, tous présenté sous la forme damier BNBN. Mais des disparités se sont fait jour à l’analyse de chacun : les uns résonnaient  normalement en Halo et beaucoup résonnaient au centre via le Médius.

Nous avons alors inversé en NBNB ces derniers, qui se mirent à résonner en Halo à leur tour selon la norme.

Cette analyse nous permit de découvrir que tous les organes antérieurs du corps (les seins) relevaient des damiers BNBN et que tous les organes postérieurs (les reins) relevaient des damiers NBNB.

A la réflexion, il existe une réelle opposition des 16 damiers cutanés antérieurs et des 16 postérieurs.

 

Damier 32 champs cutanés

Cette observation est cruciale.
Elle résulte du fait que mes mesures, via le médius droit, se font toujours face à l’écran. La partie postérieure de mon corps, qui ne regarde jamais l’écran est cependant informée par les Infochamps émis par les Organes postérieurs (le rein par exemple), mais ils ne sont bien informés que sous la forme inversée NBNB.

Cette distinction dans l’espace des Mots d’organes avant et arrières nous conduit vers une extension plus générale : toutes les pathologies et toutes les substances médicinales doivent être scindées en pathologies antérieures  et postérieures, en médicaments antérieurs et médicaments postérieurs.
Ceci nous a donc conduit à une inversion de toutes les substances BNBN résonnant au centre, en damier NBNB qui résonnent en halo. Ces Mots NBNB comportent toutes les pathologies postérieures (coliques néphrétiques, pancréatites) ou la majorité des médicaments postérieurs (en rhumatologie par exemple).

Ceci explique pourquoi, sur les sites de « soins » ou de « remèdes », les spécialités formèrent un duo : BNBN et NBNB.

Mais cette distinction est encore trop simpliste.

 

Les Damiers

 

Damier à 4 champs

 

 

Notre premier damier à 4 champs persistait à osciller sous la pointe du  médius : alternativement entre le point central et les 4 cases (et leurs Halos) une résonance

se produisait à chaque fois (en 8 pulsations).

 

 

 

Le Damier à 8 champs s’est invité

 

Nous avons eu l’idée de juxtaposer ce damier BNBN avec son alter égo NBNB (par inversion de couleur). La finalité de cette cohabitation était de voir les oscillations s’autoneutraliser, leurs oscillations étant en opposition de phase.

 

Ce fut un progrès. Le centre cessa de pulser en alternance avec la périphérie.

Mais le halo n’était pas fixe pour autant. Dans le cas du Lomudal, l’alternance oscillatoire se faisait entre les halos supérieur & inférieur (4pulsations) puis les halos latéraux D & G (4 pulsations).

 

Le damier à 16 champs BN

 

Constatant cette accalmie oscillatoire, nous avons sauté le pas en faisant cohabiter les damiers à 8 cases ave leur homologue inversé de couleur. Ceci réalise un damier à 16 cases.

Et, miracle, ce damier n’oscille pas, il est vraiment fixe.

Nous évoquons donc l’hypothèse qu’il y a congruence entre ces 16 cases et les 16 champs cutanés antérieurs du corps du Pulsologue qui fait face à l’écran du PC.

 

 

 

Ce damier à 16 cases, ou à 4 Mots, peut être abrégé en BN :de haut en bas, côté G, il débute par une case Blanche et se termine par une Noire.

Ce damier peut être « manipulé ». Il peut être inversé de couleur.et devient NB .

 

Contrairement au damier BN, le NB n’est pas « silencieux ». En sa présence, le pouls bat en continu et transversalement.

Est-ce un signe de nocivité ? Eh bien non. Il signifie que ce damier représente la face postérieure du corps, il correspond à la « face cachée de la lune ».
Il suffit de se reporter aux Organes pour comprendre ce phénomène : les damiers des organes antérieurs sont inversés pour les organes postérieurs (reins, vertèbres…).

Démonstration : devant un damier NB pulsant de travers en continu, il suffit de présenter son dos à l’écran pour que le damier NB devienne silencieux à son tour.

 

Les pathologies et les médicaments essentiellement postérieurs.

 

Nous nous sommes attachés à mettre en lumière ces éventuels particularités.

Il s’est avéré que les pathologies purement postérieures sont minoritaires ; les néphrites ou les sciatiques en font partie.

Mais globalement les pathologies sont antéro-postérieures si bien que la forme BN convient le plus souvent.

 

Quelques exceptions majeures parmi les médicaments ou autres substances biologiques : les gènes-suppresseurs, les anticorps, et un certain nombre de produits inattendus, qu’il a fallu dépister, sont NB.

 

Dépistage des éléments NB postérieurs.

 

Pour ce faire nous devons recourir encore à l’irrationnel.

Nous avons fait un Motfilm « Médicaments-Postérieurs », en damier à 16 cases de type NB. Et devant ce Motfilm, nous avons exposé une tige en métal gainée de plastique, en parallèle à l’écran : elle s‘est informée du concept et fut prête à l’emploi.

Application. Devant la liste des médicaments BN (ou des pathologies BN), la tige est tenue horizontalement entre mes doigts D et parallèlement à l’écran et à 40 cm de distance de celui-ci. En descendant lentement devant la liste des médicaments, quelques-uns résonnent et sont analysés de près ; ils redeviennent silencieux après inversion en NB.

Cette inversion qui rend silencieux les médicaments postérieurs est indispensable pour que, dans une même liste, les BN et les NB puissent cohabiter de façon homogène, silencieuse, rendant ainsi les tests possibles.

Nous avons également fait un Motfilm « Pathologie-Postérieure » en damier à 16 cases afin d’induire une autre tige horizontale.

 

 

Comment procéder avec le PC

 

Avertissement : Le praticien, que je suis, dispose d’un PC dont le clavier et l’écran sont filaires. Aucun test avec une souris ou un clavier sans fil de connexion avec le PC n’a été fait jusqu’ici.

 


Diagnostic de Pathologie en l’absence du patient

 

La subtilité de la Pulsologie est telle que le malade peut être remplacé autant par sa photo que par son « Prénom-Nom ».

1/ Nous savons que le Nom du malade est inscrit – via Paint – sur un côté de l’écran.

On peut ainsi afficher à D de l’écran ce prénom et à G la liste des maladies, ce qui convient bien avec les « soins-numerses.com » : les maladies s’y trouvent ainsi complètement à G de l’écran. Le détecteur survole en parallèle la liste à la recherche de résonances, spécifiques au malade.

Avec les pathologies et médicaments à 16 champs, globalement BN, nous sommes conduits à opter pour les Prénom à 16 champs. Mais les tests nous montrent que pour tous ces remèdes BN, le Prénom doit être NB : les remèdes sont des compléments des malades.

Réaliser un Prénom-N. (à 16 cases) NB est facile, via Paint ; un peu d’habitude suffit.

Mais on peut aussi se servir de la photo du visage-cou antérieur du malade et en inverser les couleurs avec Paint.

2/ On Choisit la liste des pathologies selon le type de maladie (la spécialité). La liste des maladies ou des remèdes est affichée de manière controlatérale à l’écran.

Une règle à respecter, pour obtenir une bonne résonance : faire ces tests sur un grand écran afin que prénom et listes de maladies soient bien latéralisées. La ligne médiane (LM) du Pulsologue doit être au centre de l’écran, à équidistance de ces deux champs.
Ici encore on retrouve l’influence du praticien-testeur et de la LM de son visage.

 

 

Le choix du stylo détecteur

Le stylo universel S.T.B.R. (Sainte Trinité de Boris Roublev) est devenu notre référence majeure.

Particularité nouvelle, les substances en lice ne sont pas survolées avec la pointe du stylo mais avec le stylo tenu en parallèle à l’écran. Ceci est plus logique : Photo ou Prénom et liste de remèdes sont planes, étalées sur l’écran et le stylo est lui-même dans un champ de survol plan devant l’écran, horizontal et glissant de haut en bas (ou l’inverse).

 

 

Diagnostic de Pathologie en l’absence du patient

 

Le praticien ne peut pas tester des remèdes directement sur le malade en 3D car, dans ce cas, des interférences informatives se produiraient avec lui-même en 3D.

Si le Pulsologue recherche un Diagnostic pour lui-même, il doit entrer lui aussi son Prénom-N en 2D, par cohérence, pour respecter la liste des pathologies en 2D.

 

Le mystère du Prénom

 

Comme nous venons de le voir, le malade peut être remplacé autant par sa photo que par son « Prénom-Nom ».

Ce qui interpelle vivement, c’est ceci : le Prénom-N. n’est pas daté ! Tout se passe comme si le temps n’existait pas ! A trois mois d’écart, un même patient peut être porteur de deux affections différentes ; or les remèdes élus seront en phase avec l’état sanitaire actualisé du patient représenté par son Prénom-N sur lequel le Pulsologie se concentre.
Elle va à l’encontre de la démarche scientifique qui exige la répétitivité de toute expérience pour qu’elle soit irréfutable.

Ceci n’est pas une expérience de pensée ; j’’évoquerais plutôt une expérience, transcendante car celle-ci ne peut réussir que si le porteur du Prénom-N est vivant : en effet le damier du Prénom-N ( à 4 ou à 16 champs). d’une personne décédée reste muet en regard du médius ! Bref, on peut toucher du doigt la Transcendance, donc les deux Mondes.

 

 

Particularismes

 

Les intoxications phytosanitaires

 

Pour le malade intoxiqué ou l’agriculteur imprudent, ce n’est pas le produit causal qui peut le soulager mais le groupe « Intoxication-par-organophosphoré » par exemple, groupe qui perd son état oscillant. On trouve les principales Intox phytosanitaires en « soins-numerises.com » / 09.

Une exposition des plantes à des Motfilms du produit phytosanitaire incriminé serait plus souhaitable que l’application réelle de ces vraies substances chimiques. Elle pourrait agir sur le sol ou sur les plantes en culture. Même sur une grande surface. Mais à quel bon moment de la pousse ? Quoi qu’il en soit ces produits phytosanitaires à l’état brut ne sont pas proposés sur nos sites de soins ni de

 

Les Virus

 

Ils sont souvent en cause, ils initient bien des maladies.

Leur mise en évidence réclame une similitude de présentation du Prénom et de la liste virale : ils doivent être BN tous les deux.

Le premier virus qui résonne est généralement le fautif car il pulse en travers en continu et à proximité « au contact ». du stylo.

Peut-on le neutraliser ?

L’hypothèse, la supposition que d’autres virus pourraient être des « contre virus » au virus pathologique causal peut être évoquée : au virus causal s’opposeraient d’autres virus. La méthode est assez simple : le Prénom doit être inversé de couleur, il se présente sous la forme NB vis-à-vis des virus BN.

Incise : dans le cas du dernier coronavirus KP2, 4 virus résonnent dont Coronavirus-MERS et Coronavirus-omicron-BA.5-L452. Tout se passe comme si une évolution en opposition s’était produite entre les premiers virus du Covid et les derniers mutants…

Cette méthode peut s’appliquer aux bactéries.

Cette méthode thérapeutique ne convient cependant pas aux allergènes.

 

Une piste de recherches concerne les virus: s’ils sont aptes à modifier certains génomes, ne sont-ils pas aptes aussi à les réparer ?

 

Dissocier l’agent pathogène et la maladie

Prenons le cas du Coronavirus X : il est pertinent, en phase aiguë, d’avoir recours à la Maladie induite tel que « Covid X », le d signifiant disease . Mais le virus lui-même aggraverait ; il pourrait seulement être suggéré comme vaccin du sujet sain.

Ceci montre qu’il faut dissocier l’agent pathogène et la maladie, induite par cet agent.

 

 

L’Exposition thérapeutique

 

Election des Remèdes en l’absence du patient

La subtilité de la Pulsologie est telle que le malade peut être remplacé autant par sa photo que par son « Prénom-Nom ».

 

Ce qui interpelle vivement, c’est ceci : le Prénom-N. n’est pas daté ! Tout se passe comme si le temps n’existait pas ! A trois mois d’écart un même patient peut être porteur de deux affections différentes ; or les remèdes élus seront en phase avec l’état sanitaire actualisé du patient représenté par son Prénom-N sur lequel le Pulsologie se concentre.
Elle va à l’encontre de la démarche scientifique qui exige la répétitivité de toute expérience.

Ceci n’est pas une expérience par la pensée ; j’’évoquerais plutôt une expérience, transcendante car celle-ci ne peut réussir que si le porteur du Prénom-N est vivant : en effet le damier du Prénom-N. d’une personne décédée reste muet en regard du médius ! Bref, on peut toucher du doigt la Transcendance, donc les deux Mondes.

 

Particularismes

 

Les intoxications phytosanitaires

Les phytosanitaires ont la particularité d’être oscillants ; toutes les 6 Pulsations (par ex) le Médius résonne, au milieu du Mot, alternativement en Long et en Travers.

Cet état oscillatoire, assez rare, témoigne de la nature chimique des phytosanitaires qui agissent en bloquant, en inhibant des mécanismes biologiques. Par ailleurs ces produits phytosanitaires résonnent tous avec le « Stylo détecteur de substance cancérigène ou oscillante ».

Une exposition des plantes à ces Motfilms serait plus souhaitable que l’application réelle de ces vraies substances chimiques. Elle pourrait agir sur le sol ou sur les plantes en culture. Même sur une grande surface. Mais à quel bon moment de la pousse ?

Pour le malade intoxiqué ou l’agriculteur imprudent, ce n’est pas le produit causal qui peut le soulager mais le groupe « Intoxication-par-organophosphoré » par exemple, groupe qui perd son état oscillant.

 

Les Virus

Ils sont souvent en cause, ils initient bien des maladies.

Le premier virus qui résonne est généralement le fautif car il pulse en travers en continu. Peut-on le neutraliser ?

L’hypothèse, la supposition que d’autres virus pourraient être des « contrepoisons » au virus pathologique causal peut être évoquée : au virus causal NBNB s’opposerait un virus BNBN en résonance. Mais que vaut cette résonance ?

Cette méthode en effet ne convient pas aux bactéries : deux bactéries opposées qui résonnent révèlent plutôt une analogie de structure ce qui conduirait, après exposition, à une aggravation des troubles pathologiques.

Ce procédé est donc encore à l’étude. En l’occurrence, les listes de virus, bactéries, allergènes ne visent que le diagnostic mais non la thérapie. Une piste de recherches concerne les virus: s’ils sont aptes à modifier certains génomes, ne sont-ils pas aptes aussi à les réparer?

 

Dissocier l’agent pathogène et la maladie

Prenons le cas du Coronavirus X : il est pertinent, en phase aiguë, d’avoir recours à la Maladie induite tel que « Covid X », le d signifiant disease . Mais le virus lui-même aggraverait ; il pourrait seulement être suggéré comme vaccin du sujet sain.

 
Ceci montre qu’il faut dissocier l’agent pathogène et la maladie, induite par cet agent.

 

 

L’Exposition thérapeutique

 

Le Motfilm Remède, adapté au malade, s’affiche de manière visuelle au centre de l’écran.

Il est statique, immobile ; il envoie, via les champs EM porteurs de l’écran, une information spécifique.

Pour chaque médicament ou principe médicinal, un Motfilm est proposé qui cible le Malade atteint.
Plusieurs Motfilms sont souvent nécessaires (cas du Covid). Infectiologie et complications : pathologies Cardio-vasculaires, Système nerveux central, Rhumato.

Dès le début de l’exposition le pouls bat fortement (si le Motfilm est bien ajusté). Pendant la durée d’imprégnation de l’organisme, de forts battements du pouls se manifestent ; quand le pouls est calmé, l’expo peut être arrêtée.

En pratique, le malade se place devant l’écran et s’expose de face à chaque Motfilm, deux minutes au début, puis une min voire 30 secondes ensuite, à raison d’une fois par jour.

Si aucune amélioration clinique ne se produit à l’issue d’une cure de cinq jours, on peut tout suspendre, le Motfilm n’est pas adapté.

La thérapie établie par le Pulsologue

En raison des interférences entre les sujets réels en 3D, les élections thérapeutiques ne se font qu’en 2D.

En survolant les listes médicinales avec le stylo universel, horizontal et parallèle à l’écran, il obtient une résonance d’écart avec le Prénom-N du malade.

 

La thérapie surveillée par le Pulsologue.


Cependant, sur le plan thérapeutique, le praticien peut évaluer, sur son propre pouls,  l’effet du Motfilm sur le malade en 3D et sa durée informative.
Son propre pouls décèle par la force et le nombre de ses battements la justesse de l’indication du remède ; ceci suppose que le praticien est à peu près neutre, qu’il n’interfère que peu avec son patient ; cela étant, si le Motfilm est très indiqué, très propice au malade, la présence du praticien est négligeable.

Tout praticien sachant prendre le pouls radial est apte à apprécier la force des pulsations.

Tout médecin évoquant une thérapie peut contrôler par là même son intuition.

 

Thérapeute non Pulsologue


S’il envisage un éventuel médicament utile, il peut le trouver via la fenêtre de recherche.
Il s’oriente alors vers celui-ci et y expose son patient. Et si le pouls bat avec force, il a la preuve que son intuition était bonne. Ces forts battements doivent durer une demi-minute pour que ce médicament soit bien ciblé ; s’ils ne durent que six à 10 secondes, le remède est secondaire, accessoire.

 

Les causes d’échecs.

a/ Un diagnostic inexact.

b/ Un Pouls toxique (pulsations actives en travers et continuelles). Un patient qui arrive en voiture est pollué par le champ magnétique de l’alternateur du moteur. Je l’expose en priorité, dès son arrivée, à la Labradorite, pour calmer son pouls, avant de poursuivre tout examen.

Une intoxication alimentaire ou médicamenteuse : dans ce cas il faut exposer aussi le patient à la Labradorite dépolluante (en tête des rubriques) avant d’entamer l’exposition au programme principal.

Ces dépollutions s’imposent quand on veut déterminer la pertinence des remèdes que le patient apporte ; via la réaction d’écart (pulsologie.com) les uns sont favorables, les autres inutiles voire nocifs (à proscrire).

Assez souvent, le remède bien choisi par le Pulsologue est le bon. Mais certains malades préfèrent qu’il soit prescrit et délivré par le pharmacien.

c/ Le seul Motfilm d’une maladie a presque toujours besoin d’autres Motfilms pharmacologiques d’appoint : voir site de remedes-numeriques.com.

 

Effets secondaires.

Un Biofilm mal indiqué serait-il apte à induire des effets secondaires ? Si l’indication est mauvaise, l’exposition-test ne donne aucune résonance.

Certes, l’exposition à un virus causal en phase aigüe aggrave, les pulsations en travers en témoignent ; mais en prévention il vaccine.

In fine, ne sont reconnues et captées que les bonnes informations thérapeutiques. Et cette résonance ne vaut que pour le malade et non pour son entourage.

 

Principe de convenance


Il serait hautement préjudiciable et peu fiable d’utiliser des remèdes oncologiques pour traiter un cancer sans l’aval d’un Pulsologue éprouvé qui pourrait orienter le choix thérapeutique.
Toutefois l’Oncologue sera hostile à toute suggestion thérapeutique, étant assujetti aux protocoles qui lui sont imposés….

Il va de soi que les pathologies oncologiques (cancers) sont peu de notre ressort ; nous osons cependant proposer, sur le site « remedes-numeriques.com » des « Motfilms » de nombreux médicaments oncologiques afin de pouvoir choisir, via le pouls, les remèdes les mieux ciblés, les plus adaptés pour l’individu atteint, avant de passer à la chimiothérapie réelle.
Cette approche pourrait-elle se concevoir dans le cadre d’un Staff ? Elle n’a aucune  chance de voir le jour, les protocoles internationaux ayant le soutien des laboratoires pharmaceutiques ont une approche statistique et non individuelle ; une approche scientifique et non spirituelle.

En revanche, nous ne pouvons qu’inciter les malades souffrant de troubles fonctionnels intermittents à expérimenter ces remèdes dès lors qu’ils savent d’expérience ce qui leur convient.

Ces remèdes peuvent aussi pallier les médicaments réels en rupture de stock.

La fenêtre, en haut à gauche, permet de trouver immédiatement la substance recherchée.

Les Remèdes rétablissent l’équilibre des malades en contrant leur déséquilibre biologique. Certes dans les cas chroniques, la nature pathologique reprend ses droits et une nouvelle exposition aux Motfilms appropriés s’impose.

« Guérir parfois, soulager souvent, consoler toujours » a dit Ambroise Paré. C’est ce que nous essayons de faire.

Grâce aux Motfilms pouvons-nous dire comme Lamartine « Objets inanimés avez-vous donc une âme ? » Nous nous contenterons de dire qu’ils ont surtout une Ame informative et que c’est vers celle-ci que nous nous empressons.

Grâce à la Pulsologie, via l’électronique, nous sommes passés de la Science dure à la l’approche Spirituelle des choses.