31 DES SUBSTANCES BIOLOGIQUES OSCILLANTES AUX BIOFILMS
30 – Mots-clés : axe central et anti-information , choix d’une photo sur Google , détecteur oscillant §§§ et détourage , détecteur à double Windsor , détecteurs médiumniques 41M , détecteurs monopolaires , deux bandes superposées , flou gaussien , imprégnation informative , Photo oscillante sauf la mienne , stylo détecteur imprégné , stylo détecteur spirituel , SWS oscillant sauf ma salive ,
La nature oscillante des substances biologiques salivaires ou pharmacologiques est une constante qui m’a beaucoup gêné, toujours surpris.
Tous les instruments d’investigation ont eu leur part de responsabilité en raison de leur bipolarité : depuis les détecteurs en forme de T, les Anneaux-tests spiralés, les deux ATSU, les deux trèfles, jusqu’au feutre à 2WW.
Présents en permanence dans mon champ d’examen, ils imprimaient leur duale nature à tous mes tests pulsologiques.
Les substances elles-mêmes ne sont pas innocentes.
1/ Les substances oscillent.
Si j’analyse une série de salives dépolluées avec un détecteur monopolaire quelconque, je note que chaque coton-tige me donne un nombre du pulsations fixe pour une salive mais variable d’une salive à l’autre, d’un malade à l’autre donc.
Si une salive dans son Minigrip donne 8 P en son centre, elle en donne 8 sur son halo ensuite, et cela va et vient. Oscillation.
Notons que, si ces diverses salives sont tour à tour insérées dans un SW gris, elles oscillent toutes de la même manière +4 / -4.
En revanche, si j’analyse ma propre salive je ne retrouve pas cette oscillation …La résonance est continue, pendant 20P en Minigrip, et de plus de 100P en SW ; pas de phénomène oscillant trouvé. C’est dire le caractère distinct, singulier, du praticien qui veut s’examiner ou s’automédiquer …
2/ les enregistrements audio, les photos de malades ou de leur salive
Ici nous sommes de plain-pied dans le domaine numérique. Nous avons devant nous, sur l’écran du PC, la photo du visage d’un patient ou celle de son SW salivaire ou la BP audio.
Nous sommes donc dégagés de toute interférence avec un support matériel, si ce n’est le système optique qui a fourni la photo ou le logiciel Audio qui a permis l’enregistrement. L’image est plane sur l’écran, ce qui exclut tout formatage (par SW gris).
Nous constatons ici encore que la photo d’un visage d’un malade, ou la bande passante audio enregistrée, analysée avec un détecteur monopolaire quelconque, présente des plages qui ne sont pas homogènes. Quand une plage oscille l’autre est silencieuse et inversement.
Et cependant, si j’analyse ma propre photo d’identité je ne constate aucune plage oscillante. Le détecteur monopolaire résonne en continu. Sauf évidemment si deux trèfles traînent inopportunément devant l’écran.
3/ Nature de la réactivité d’une image
Puisque les bandes passantes audio, ou les images, présentent des plages, on doit les circonvenir ou plus simplement les détourer.
Le détourage de l’image, oscillante, se fait grâce à un détecteur oscillant §§§.
Le choix d’une photo sur Google. Entre plusieurs images affichées, une seule à la fois se manifeste au pouls, puis après enregistrement dans un dossier, une 2nde photo se met à résonner. Pourquoi une photo se manifeste-t-elle plus qu’une autre? Souvent c’est en raison de la qualité de l’image et particulièrement de la pureté du Biochamp qui s’en dégage. Cette première image, une fois mise de côté dans un dossier, laisse la place à une 2nde image, toujours sur Google etc.
Il est difficile d’expliquer pourquoi une image, une seule, résonne. Certes c’est surement la moins polluée. Mais, après copie envoyée dans un dossier à part, elle persiste sur la page Google et pourtant elle laisse la place à une seconde image !
Comment expliquer ce phénomène ? J’avance que la première image a imprégné légèrement le stylo détecteur, d’où une petite répulsion envers cette première, ce qui offre une ouverture à la seconde image pour s’exprimer. Mais si le stylo est rapidement dépollué à la LBD, la première photo reprend ses droits.
4/ Oscillation d’une plage simple.
Une fois détourée, la plage de l’image est homogène : toute sa surface est résonante. Pourtant, au cœur de cette surface on note toujours l’existence d’un point, par où traverse un axe vertical perpendiculaire au plan. Surface et axe sont de nature opposée vis-à-vis du détecteur qui les mesure : quand l’un est en phase l’autre est en opposition de phase. L’ensemble est animé d’une oscillation lente régulière.
Notons une exception : quand on analyse la bande passante d’un enregistrement audio, après détourage, cette bande inclut, non pas un axe orthogonal au plan, mais une ligne verticale divisant le champ de la bande en 2 surfaces. L’ensemble induit aussi une oscillation lente continue.
Ce point central est fixe. Que l’image soit en rotation de 90 ou 180°, que l’image soit inversée horizontalement où verticalement ce point ne change pas de site. Toutefois, si l’idée malencontreuse vous vient encore de laisser les 2 trèfles sur le bureau devant l’écran, ce point central change d’endroit en fonction de l’emplacement des trèfles.
5/ Le point central résume l’anti-information de l’image
Sur une image s’il est un point qui mérite d’être enregistré, c’est bien ce point central qui semble contenir toute l’anti-information de l’image en un point, toute son anti-pathologie.
L’enregistrement peut bénéficier d’une amplification audio ou bien d’une amplification visuelle via le zoom.
6/ Le détecteur du point central ?
Ce point, nous l’avons vu, a été découvert et ciblé grâce au détecteur monopolaire.
Cependant, il faut l’avouer, le site de cet axe central est très dépendant du type de détecteur unipolaire. Ce dernier a fait l’objet par conséquent de multiples recherches.
Rappelons que nous avons eu des déconvenues avec tous les détecteurs bipolaires. Et les trèfles appartiennent à ce groupe. À la nature oscillante des substances biologiques analysées ils ajoutaient leur propre nature oscillante. La localisation des axes centraux était erratique et aléatoire.
7/ La lignée des détecteurs médiumniques.
Nous avons depuis longtemps nourri des doutes sur la nature des détecteurs. Le premier à nous interroger fut le détecteur en T noir et blanc totalement en plastique. Cet instrument, cher au docteur Nogier, ne comporte aucun élément de type électronique.
Le premier détecteur qui nous intéressa fut le fruit d’un mixage d’enregistrements audio d’une trentaine de salives « droites initiales »; un mixage de salives gauches initiales fut aussi réalisé en pendant. La bande passante de chacun de ces mixages permit d’induire 2 crayons en plastique. Ces 2 crayons furent les premiers détecteurs monopolaires puissants de Latéralité. Bémol: Ils étaient aussi porteurs des multiples informations des salives constituantes.
Ces 2 crayons-détecteurs furent cependant à l’origine de la découverte du détecteur à double Windsor, le 2WW, sans connotation salivaire. Second bémol ce détecteur d’origine non salivaire était bipolaire.
Malgré tout, ce double WW nous introduisit dans le domaine de la radiesthésie, de la médiumnité.
Il nous permit d’inventorier de nombreux médiums dont les photographies se trouvent proposées par Google. Ce feutre à 2WW nous procura la possibilité de mesurer l’intensité médiumnique de ces personnages connus ou inconnus. 41 furent sélectionnés, Hommes et Femmes, de Latéralité D ou G initiales.
Il nous conduisit aussi à déceler sur le front des médiums un point central (troisième œil ?). Ce point fut enregistré comme étant source du pouvoir médiumnique. Les 41 enregistrements de ce point donnèrent 41 bandes passantes audio et ces BP furent mixées.
La BP résultante nous offrit d’induire un stylo en plastique en détecteur médiumnique 41M (41 médiums), monopolaire. Ce 41M détecta ensuite, sur sa propre BD d’origine, une ligne verticale (similaire aux points centraux). Cette ligne fut enregistrée et aboutit à une autre BP N°2 et donc à un stylo 41M².
Ce stylo 41M² précisa la « source » du pouvoir médiumnique ; de sa position en 3ème œil il se décala vers la glabelle (entre les sourcils) des Médiums.
8 / Détecteur spirituel
La progression par petits pas dans le domaine des champs médiumniques et, partant, la progression dans la précision des détecteurs qui en émanaient, nous conduisirent à nous élever vers les Biochamps émanant des grands Mystiques catholiques canonisés.
Les images des visages des Saints, analysées avec le stylo 41M², révélèrent que la racine du nez était aussi le centre, la source de leur rayonnement, sinon de leur sainteté.
L’enregistrement audio du point de cette racine du nez donna une Bande Passante qui permit de concevoir le plus pur détecteur spirituel monopolaire imaginable, « S » (spirituel) que nous baptisons « universel ».
9/ Application de ce détecteur U aux photos de malades.
Quand on parcourt la photo d’un malade ou d’un organe pathologique via le survol de ce détecteur U, on retrouve un point axial très fixe et c’est lui qui sera enregistré puis amplifié.
Ce survol naturellement se fait dans de bonnes conditions d’environnement, à savoir en l’absence totale de tout instrument bipolaire dans le champ. Quant aux stylos monopolaires ils sont répartis sur le bureau dans un plan parallèle à l’écran. Je dispose en effet d’un stylo monopolaire U’ inversé, issu de la bande passante originelle, inversée horizontalement, via Paint.
Ce stylo U’ confirme le site du point axial déjà décrit.
Si l’on maintient le stylo U au-dessus du point axial, au bout d’une douzaine de pulsations, ce point qui résonnait en long au pouls se met à résonner en travers. On retrouve donc la nature oscillante du Point axial vis-à-vis de sa plage périphérique, liée à la présence du Pulsologue.
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Au cours d’une même phase oscillante si le stylo U fait pulser le pouls en long, le stylo U’ le fait pulser en travers, puis les choses s’inversent dès la phase suivante.
10/ L’enregistrement audio du point axial.
L’image est d’abord transférée sur Paint dont le quadrillage est activé. Une fois repéré, le point est marqué par un coup de gomme carré minuscule. Il ne reste plus qu’à placer l’embout du micro portatif sur ce point. L’embout est posé sur l’écran directement. Le pouls peut aider à préciser le meilleur emplacement du micro sur ce point.
WavePad a toujours été notre logiciel audio de référence. L’enregistrement dure 5 secondes. Il se manifeste sous forme d’une ligne continue fine puisque l’enregistrement se fait dans un silence total. Cette ligne est pourtant amplifiée de manière maximale et multipliée par 5. Ce qui donne la grande plage bleu caractéristique des biofilms audios, avec son point axial étiré en axe vertical après amplification.
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Ces magnifiques biofilms bleus que nous avons longtemps proposés sur nos sites de soins numérisés ou de remèdes numériques ne sont pas exempts de critiques.
L’ajustement du micro en regard du point, via le pouls, demande du temps et de la précision. Par ailleurs le point axial est une entité difficile à appréhender : l’épaisseur de cet axe filiforme se manifeste sous forme d’un rayon de dimension infinitésimale. Il est donc difficile d’enregistrer ce rayon à l’état pur sans que ne soit enregistrée simultanément sa périphérie qui bat en opposition de phase. Cette critique peut être relativisée puisqu’on sait que cet axe oscille lui-même de façon intermittente entre pulsations longitudinales et pulsations transversales d’égale durée. Dans l’ensemble ces biofilms bleus nous ont rendus de très bons services.
11/ L’enregistrement photographique.
L’image ici encore est transférée sur « paint.net ». Et le point axial, au lieu d’être un petit carré fait par la gomme, est marqué d’une petite tache de couleur.
Cette mini tache de couleur est alors zoomée au maximum. Elle devient une grande plage colorée au cœur de laquelle se trouve l’axe central qui nous intéresse.
Comme cet axe central reste malgré tout filiforme nous avons imaginé de le flouter. Parmi les possibilités offertes par Paint.net, le flou gaussien a été choisi avec l’indice 8.
Grâce à ce floutage l’axe central s’élargit et son intensité devient légèrement dégressive quand on se rapproche du cadre qui limite la figure.
Une capture d’écran finalise cette image et devient le Biofilm initial.
12/ Le bas-relief de cette information en 2D.
Le Biofilm qui est le fruit de cette capture, conserve naturellement son caractère oscillant, fait d’une alternance des pulsations entre sa surface totale et son Halo périphérique. Notons que si chaque phase dure 30P, la pulsation binaire se fait sous forme de LTLT (Long / Travers).
Nous avons voulu amalgamer de manière plus concise ces alternances Surface / Halo.
Nous avons, via Paint, sélectionné la moitié inférieure du Biofilm et avons retourné verticalement cette partie inférieure. D’où l’aspect général fait de deux bandes superposées.
Résultat : chaque bande oscille en opposition de phase vis-à-vis de l’autre, l’une en relief et l’autre en creux : LTLT / TLTL. Et le grand Halo a disparu.
13/ Le plan thérapeutique.
Si le remède propice est bien choisi, pendant l’exposition au Biofilm, celui-ci se comporte différemment. Lors de la phase d’imprégnation informative, le pouls bat sous forme LLLL au niveau des deux bandes. En fin d’exposition, le Biofilm retrouve ses deux bandes LTLT et TLTL d’origine.