30 LES CHAMPS DE TORSION ET LES TRÈFLES

29 – Mots-clés : Agroglyphes , aimant , axe en CDT inversé , axe du cône du CDT , bâtiments élevés , CDTG fixe , failles telluriques naturelles , Geodd , heptatrèfles ,  instruments « fermés » que sont les trèfles et les nœuds , listes homogènes , morphologies des CDT , mousserons de sorcières , nombre impair de croisements , parallèle à l’axe du corps , prises de terre ,  réseaux de Hartmann , trèfles et nycthémère , tungstène , TV et antennes émettrices ,

 

Introduction

Nous venons de faire connaissance avec la Labradorite (LBD) puis avec les Geodd. Ce cristal et ce dispositif mystérieux ont été analysés avec les trèfles D & G pour en étudier les caractéristiques comparatives. Dans l’ordre chronologique ils ont été des objets de recherche bien avant que les trèfles ne se révèlent comme moyen d’analyse, comme résonateurs majeurs.

Ces trèfles initient en fait le second niveau d’évolution de nos outils de recherche. Jusqu’ici nous utilisions des instruments « ouverts » tels que les détecteurs en T ou les spires non fermées. Maintenant, nous allons nous focaliser sur les instruments « fermés » que sont les trèfles et les nœuds.

Dans ce chapitre, les nœuds de trèfle « Droit et Gauche » sont analysés plus profondément. Ils participent à l’étude des champs de torsion.

 

LE NŒUD DE TRÈFLE ET LES CHAMPS DE TORSION

 

Trèfles D & G

Chacun de ces trèfles est, par définition, un nœud borroméen ; en pratique nous l’assimilons à un plan, au plan d’un « tore ». Les deux faces d’un même trèfle (ex. Gauche) sont identiques ; en revanche les faces des deux trèfles D et G sont différentes. La fabrication du trèfle droit est donc différente de celle du trèfle gauche.

Les deux extrémités du fil de construction doivent être simplement recourbées en crochet (ce qui permet de les accrocher).

D’autres nœuds similaires sont capables de capter les CDT : les nœuds à cinq croisements (pentagramme), à 7 croisements  (heptagramme)… Le nombre impair de croisements est à l’origine de ces capteurs de CDT. D’autres expériences sur des nœuds à nombreux croisements confirment cette observation (infra).

 

Définition de la face d’un trèfle.

Chaque trèfle possède deux faces actives. La face d’un trèfle D entre en résonance avec chacune des deux faces d’un autre trèfle D (sauf en son centre). La face d’un trèfle G entre en résonance avec celles d’un autre trèfle G (sauf en son centre). Ces résonances se font sous formes de VAS longitudinaux.

Signalons que le centre de chaque trèfle est transpercé par un axe en CDT inversé (axe cdtD pour un trèfle G). L’axe central est perpendiculaire au plan du trèfle et le traverse de part en part. Il est fixe.
Cet axe inversé fixe est le contrepoint généré par le trèfle lui-même.

En revanche si les deux trèfles sont dans un même plan, un système oscillant est engendré.

 

Emploi du trèfle

Le plan du trèfle, pour capter une information, doit regarder l’axe du cône du champ de torsion émanant d’un appareil émetteur. Plus simplement le plan du trèfle doit être parallèle au plan de l’écran d’un PC. Un bon écran réagit peu aux trèfles (1ou 2 pulsations) et de manière égale pour chaque trèfle.

Ces champs peuvent être physiques : l’axe central du cône émis par les côtés d’un four à micro-ondes allumé par exemple.
Ces champs peuvent être biologiques, comme certaines eaux minérales ou de simples médicaments.

 

Les CDT des aimants et des piles électriques.

Nous avons vu que le plan nodal du trèfle permet d’analyser la Labradorite, en particulier ses plans vectoriels. Ajoutons que le trèfle ressemble à la Labradorite : il est entouré d’un vecteur circulaire, situé dans le plan torique.

Si nous analysons maintenant le champ émis par un aimant, nous constatons que chaque pôle émet un champ conique de torsion, l’un à cdtG initial côté Nord, l’autre à cdtD initial côté Sud.

L’étude d’une pile électrique cylindrique avec deux pôles opposés ne permet pas de découvrir les mêmes champs de torsion. Nous observons dans ce cas, sur les côtés de la pile (posée verticalement sur sa base (-)), deux plans de torsion très minces. Ces deux plans verticaux, qui passent par le grand axe de la pile, sont, latéralement, alignés dans le prolongement l’un de l’autre. Certes la pile n’a pas de côté, mais c’est ainsi, un seul plan traverse la pile.

Cette observation vient donc éclairer la notion de faille tellurique plane ou cruciforme, liée à une prise de terre ou à tout autre phénomène électrique prédominant. Elle vient aussi asseoir notre vieille habitude d’éloigner au plus loin aimants et piles. Ajoutons que cet éloignement n’est pas un gage complet de sécurité car le plan de torsion d’une pile s’étend à distance. Certes ces CDT n’ont pas de spécificité biologique en soi mais ils peuvent cependant perturber le pouls et engendrer des oscillations lentes si l’axe de la pile n’est pas parallèle à l’axe du corps du patient en cours d’examen.

 

Failles telluriques et Prises de terre électriques.

Ce plan nodal d’un trèfle possède une autre capacité, celle de déceler les failles telluriques naturelles émettant des CDT. Il suffit que le plan nodal soit parallèle au plan de la faille et survole cette faille. Cette faille tellurique, analysée avec le plan nodal, montre qu’elle se présente sous forme de dièdre (et non de cône) et l’écartement entre les deux lèvres du dièdre varie d’un site à un autre ; cet écartement dépend de la profondeur de la source du CDT.

Le plus souvent, pour les prises de terre, on décèle les croisements orthogonaux des failles telluriques à CDT et l’on place un dispositif anti-CDT (Géodd) juste au croisement. Il est curieux de noter l’analogie de ce croisement avec le point d’acupuncture orthogonal…

L’impact biologique des CDT s’est révélé important. Alors que les CDT naturels sont ordinairement faibles, les CDT artificiels, plus intenses, semblent se montrer plus pernicieux à l’égard du vivant car ils émanent souvent de sources électriques actives.

Les CDT émanent, certes du sol, mais aussi des installations électriques puissantes telles que les antennes-relais, les pylônes électriques et leurs paratonnerres. D’une manière générale, tous les bâtiments élevés favorisent les CDT.

Il n’est pas une maison qui n’ait pas sa prise de terre et son CDT.

La rencontre fortuite entre failles telluriques et prises de terre peut avoir un impact sur les biosystèmes et engendrer des troubles pathologiques par anti biorésonance pour certains sujets électrosensibles. L’exposition de jeunes pousses, l’exposition d’animaux de ferme à des CDT intenses montre ceci : leurs croissances respectives sont inhibées par ces champs. Rendons hommage ici aux travaux de Jean Uguen et d’Alexandre Rusanov, hommes de terrain.

Au plan médical, un Pulsologue doit rechercher, et préciser l’emplacement d’une faille ou d’un croisement de faille à cdtG dans son domicile et en particulier dans sa salle d’examen. La pose d’un dispositif, d’un Geodd, juste à ce croisement lui permettra d’améliorer ses expériences et ses recherches.

Nous avons, nous-mêmes, été perturbés par une prise de terre enfouie en sous-sol et émetteur de CDT à plans verticaux passant dans notre demeure et l’avons corrigée. C’est le Geodd qui la neutralisé.

 

Champs telluriques favorables ?

Il serait réducteur de ne voir, dans les failles telluriques que des émanations de CDT malsains, même si beaucoup sont d’origine artificielle. Il existe des champs de torsion naturels et disséminés dans la nature que la pratique du pouls de Nogier nous a permis d’étudier. D. C. m’a conduit dans les forêts ou les prés de Franche Comté pour les localiser et les mesurer.

Ils se présentent d’abord sous différentes formes. Souvent un puits de dix cm de large émane du sol ou bien une plus grande surface circulaire de quelques mètres. Le plus souvent, des failles sont rencontrées ; les unes sont linéaires, les autres plus larges avec une légère inclinaison de leurs lèvres par rapport à la verticale. De grandes failles de centaines de kilomètre de longueur existent entre la Franche Comté et la Bourgogne et, curieusement, des monastères du 12ème siècle se trouvent alignés dessus. On pourrait suggérer que les CDT de ces failles sont bénéfiques…Mais ne sont-ils pas porteurs d’autres Biochamps bien plus favorables ?

Ces champs telluriques sont même vivifiants comme le montrent les observations suivantes. Nous avons constaté que les arbres, bordant une surface circulaire de 5 ou 6 mètres de diamètre, poussaient non seulement en cercle mais que leurs troncs étaient multiples (trois à cinq) partant de la base, du sol.

Sur les bords des chemins, nous avons rencontré des cercles parfaits plus ou moins grands (de 1 à 3 mètres de diamètre) sur lesquels poussaient de très petits champignons et qui décrivaient les ¾ du cercle ou moins ou plus ; un pharmacien botaniste me précisa qu’il s’agissait de « mousserons de sorcières ». En réalité on peut répertorier une bonne demi-douzaine de champignons divers capables de cet exploit ; de plus le diamètre des cercles est très variable : le plus connu (voir Google) décrit un cercle de plus d’un km de diamètre. Au pouls, avec un trèfle D, dont la face active est orientée vers le sol, on trouve vraiment ce cercle de CDT et rien au centre.

Nous avons aussi rencontré des cercles sans champignon qui se repéraient ainsi : l’herbe était bien plus drue, verte et haute sur tout le cercle plus qu’ailleurs.

Autre exemple biologique. Voulant mesurer l’intensité d’une surface circulaire dont le CDT était très puissant, j’ai dû compter au moins pendant cinq minutes les pulsations, en restant bien sûr debout et immobile au-dessus de l’émanation la plus intense. Je fus troublé, en partant, d’être pris d’une curieuse torpeur. Etait-ce l’effet du CDT ou des Biochamps qui s’élevaient de ce lieu ?

En forêt cette fois, nous avons étudié une demi-douzaine de terriers de blaireaux. Tous étaient centrés sur des tumuli d’où émanaient des CDT assez forts, particulièrement aux sorties de terriers ; un petit chemin d’un mètre de long, un peu spiralé, prolongeait les trous de sortie.

Dans un jardin se trouvaient trois pruniers qui surabondaient en fruits délicieux. Prenant mon trèfle en main, j’observai que ces trois arbres étaient alignés et chevauchaient une faille bien intense. Depuis, quand j’observe des arbres somptueux, isolés au cœur d’un désert de sable ou de la savane ou d’un immense champ de céréales, je constate la présence d’un puits de CDT juste en dessous, au niveau des racines. En revanche ces CDT ne se retrouvent pas au pied des arbres en forêt…

J’ai eu l’occasion d’étudier un dolmen en couloir, situé en Touraine. J’y ai retrouvé les CDT montant du sol… mais aussi des CDT horizontaux, s’éloignant du dolmen, et qui s’étendaient à plus de cent mètres en périphérie. Je me suis demandé si les dolmens n’étaient pas des lieux favorables aux habitants du voisinage, dans des temps très anciens où l’homme ressentait ce que les herbes, les champignons et les animaux captent toujours ?

 

Mandalas telluriques à CDT : Agroglyphes.

Depuis le 22 08 1678, les Agroglyphes ou « crop circle » ou « méga dessins géométriques » situés au milieu des champs de blé (ou autres) sont apparus en Europe ; en Angleterre plus précisément et le fermier qui découvrit ce dessin incrimina le diable…

Ce sont en effet des sortes de Mandala ‘’diaboliques’’, des champs de forme, à CDT. Leur intensité est assez forte ; les plus forts atteignent 130P (ce qui est énorme) et sont souvent les plus complexes ; les moins forts tournent autour de 30 à 40P.

Ils ont tous un point commun : ils sont centrés par un ou plusieurs axes perpendiculaires au sol et cet axe très fin émet un fort CDT de nature opposée.

Anecdote : leur mesure prolongée m’a aussi causé un certain malaise…

Leur genèse : ces figures sont presque toutes faites au milieu des champs de céréales en une seule et très courte nuit d’été ; avec parfois une retouche la seconde nuit ; il y a donc des imperfections. Leurs dimensions sont souvent très grandes (plusieurs centaines de mètres).

Ils sont antis biologiques ; ils peuvent polluer et produire des OGM, ils sont nocifs envers le biotope (modification structurelle des nœuds des plantes tressées) (plantes pliées à 1 pouce du sol et à croissance normale) ; des graines n’ayant pas germé pousseraient 5 fois plus vite, d’autres plantes seraient stérilisées en raison de codes génétiques très dégradés.

Beaucoup d’observateurs souffrent de céphalées, de nausées ou d’étourdissements dans ces champs. Les animaux les évitent.

Leurs sites : surtout le sud de l’Angleterre et en Hollande mais aussi quelques-uns en France et en Allemagne. L’Amérique du sud (civilisations précolombienne) présente un certain nombre de Géoglyphes en plein désert dont l’origine ancienne n’a pas été élucidée : les mystérieuses lignes de Nazca au Pérou, la fameuse image du Colibri.

Des appareils électroniques (boussoles, portables) seraient défaillants sur ces sites. Certains physiciens auraient décelé des radiations (isotopes rares) ; il faut noter leur aspect esthétique et ultra mathématique (complexité et perfection selon le radioastronome Gerald S Hawkins).

En 1678, le premier fermier qui l’observa en Angleterre incrimina donc le diable. Est-il permis d’évoquer, la signature d’entités maléfiques négatives ? En faveur de cette hypothèse plaident l’anonymat de ces œuvres, leur hermétisme …mais également ces CDT qui perturbent la vie et dont les effets ne durent pas que le temps des moissons mais perdurent au long des siècles.

Ces « entités seraient douées d’intelligence »; les différents niveaux d’Agroglyphes seraient adaptés aux niveaux intellectuels des gens qui les perçoivent ; ils sont plus fréquents dans les contrées de haut niveau intellectuel et de bas niveau spirituel (civilisations précolombiennes comprises).

Ces Mandala diaboliques saluent-ils notre vie spirituelle en berne ?

http://www.les-ovnis.com/rubrique,photos-de-crop-circle,414222.html

http://www.les-ovnis.com/rubrique,crop-circle-agroglyphe,414200.html

http://www.crop-circles.eu/pages/auteurs_agroglyphes.php +++

 

Que penser de tous ces CDT ?

Les CDT semblent favorables à la vie ou néfastes. Le côté maléfique des CDT tient bien plus, apparemment, à leur intensité qu’à leur qualité.

 

Les trèfles et la radiesthésie.

Bien que les trèfles soient en mesure de déceler des champs de torsion droits ou gauches émis par le sol et en particulier par les failles telluriques, nous devons avouer qu’ils ne permettent pas de découvrir les sources d’eau. La majorité de ces sources n’émettent aucun champ de torsion parce que leur eau est neutre.

L’eau de Vittel en revanche émet un CDT et ceci se vérifie facilement : toute bouteille de cette eau en émet.

Autre phénomène qui semble propre aux radiesthésistes : les réseaux de Hartmann. Ce maillage tellurique (carrés de 21 cm de côté et hauts de 2,50m) couvrirait la terre entière (non mesurable au niveau des océans). Ces mailles sont mesurées avec le pendule ou « l’antenne de Lécher » ; à noter que cette antenne est tenue entre les mains des géobiologistes de manière identique à celle adoptée depuis la nuit des temps par les sourciers avec leurs branches de coudrier en forme de Y.

Les trèfles ne sont pas parvenus à mettre en évidence ces réseaux et ces sources d’eau qui n’appartiennent pas aux champs de torsion.

 

LES TRÈFLES EN BIOLOGIE

 

Applications des trèfles.

Notre étude s’attache surtout aux CDT qui accompagnent les CEM artificiels et puissants qui forment le milieu ambiant, lequel est source de bien des pollutions.

  • CDT D ou G selon le trèfle employé.

En réalité, ces Champs de torsion sont oscillants : c’est la phase initiale qui conduit à la définition de CDT G ou D. En réalité, cette phase initiale dépend de l’heure à laquelle votre mesure a lieu.

– Parmi les objets, nous avons découvert que la pointe Bic présente un CDT ; idem pour la pointe Argent oxydée du T Or-Ag.

– Le tungstène qui est contenu dans toutes les ampoules électriques à filament, lampe halogène et lampe de Heine comprises émettent un CDT G puissant et fixe;
– Ajoutons que certaines « ampoules à basse consommation » (tubes en forme de U) ont un CDT bien plus intense.

  • Favoriser la recherche de points cutanés Cdt

Les trèfles seront utiles pour déceler d’éventuels points de torsion cutanés purs, souvent présents dans certains cancers évolutifs.

  • Nature et Diversité des champs de torsion.

On ignore leur nature. Ils ne sont pas électromagnétiques mais ils accompagnent toujours les CEM. Ils traversent allègrement les boîtes en fer. Ils ne sont pas constitués d’ondes. Ils n’ont pas de portée limitée. Ils n’envahissent pas tout l’espace.

Que nous enseigne le pouls, aidé du trèfle ? Les Cdt ont des morphologies variables.

Nous avons vu les champs coniques émis par les tubes cathodiques, les fours à micro-ondes.

Nous avons vu les plans de torsion telluriques ou les plans des piles électriques.

Il existe aussi des champs qui semblent partir dans toutes les directions de l’espace ; c’est le cas des champs émanant des antennes-relais hertziennes.

La diversité des CDT se manifeste aussi par leur évolution dans le temps, par la durée spécifique de leurs phases oscillantes.

 

Résonances entre trèfles D et G.

La grande application actuelle est de soumettre des listes de pathologies ou de médicaments, affichés sur l’écran du PC, aux écarts progressifs des deux trèfles alignés en parallèle devant l’écran. Si cet écart se fait silencieusement au pouls, la liste est homogène. Si une ou deux résonances se produisent, c’est qu’une ou deux substances sont incohérentes, en opposition de phase avec les autres. Et ceci contrarierait les tests de remèdes. Il faut les corriger, souvent en réalisant une inversion horizontale en miroir des Biofilms intrus.

 

VARIANTE DU TRÈFLE : L’« HEPTATREFLE »

 

L’étude des nombreux nœuds qui existent en mathématique nous a conduits à constater que tous ceux qui possèdent un nombre impair de croisements disposent des mêmes qualités que les trèfles ; ils réagissent face aux CDT.

Une étude plus minutieuse montre qu’il n’y a pas égalité de puissance entre ces nœuds. Ainsi le trèfle à 5 croisements réagit plus fortement que celui à 3 croisements, celui à 7 croisements encore plus fortement et celui à 9 croisements un peu moins intensément. Nous avons donc opté pour le « trèfle à sept croisements ». Nous avons réalisé deux « trèfles 7 », un D et un G avec un fil de cuivre électrique de 2,5 mm. Et nous pouvons garantir que les glissements de résonance se produisent même pour des remèdes peu expressifs.

Retenons que les heptatrèfles D et G forment, entre eux et divers éléments biologiques, d’incomparables résonateurs. Je m’en sers constamment quand leur présence se justifie.

 

 

 

CHAMPS DE TORSION EN BIOLOGIE

 

Prenant conscience de l’importance des CDT vis-à-vis de la sphère biologique, via le pouls, nous en sommes arrivés à penser que ces CDT étaient parties prenantes des informations que nous manipulions.

Au début de nos recherches, il nous a fallu du temps pour parvenir à distinguer ce qui, dans ces informations, relevait des champs électromagnétiques ou des CDT.

Dans le cadre des substances médicinales, ces CDT sont toujours présents et porteurs des champs biologiques.

Observation sur les CDT et l’écran de TV.

Dans notre environnement, les ondes électromagnétiques règnent en maître, elles sont puissantes, elles vont même jusqu’à perturber la santé des sujets électrosensibles. Exemple de cette nocivité : devant un écran plat à cristaux liquides de télévision allumé, une émission peut déclencher des troubles conjonctivaux et une autre émission ne nuit en rien : toute la surface de l’écran nocif inonde de CDT alors que la bonne émission ne transmet rien. C’est assez mystérieux.
Les antennes émettrices sont-elles responsables ?