17 – FAILLES TELLURIQUES ET BIOCHAMPS NATURELS VIA LES TRÈFLES
Introduction.
Nous avons décrit la structure de la Labradorite (LBD). Ce cristal et ce dispositif mystérieux ont été analysés avec les trèfles D & G pour en étudier les caractéristiques comparatives.
Nous allons maintenant faire une incursion dans les Biochamps naturels et artificiels car ils peuvent avoir un impact sur la santé.
Mais commençons par revenir sur les Trèfles qui sont les intermédiaires avec ces Biochamps.
LE NŒUD DE TRÈFLE
Chacun de ces trèfles est, par définition, un nœud borroméen ; en pratique nous l’assimilons à un plan, au plan d’un « tore ». Les deux faces d’un même trèfle (ex. Gauche) sont identiques ; en revanche les faces des deux trèfles D et G sont différentes. La fabrication du trèfle droit est donc différente de celle du trèfle gauche.
Note : les deux extrémités du fil de construction doivent être simplement recourbées en crochet (ce qui permet de les accrocher).
D’autres nœuds similaires sont capables de capter les Biochamps : les nœuds à cinq croisements (pentagramme), à 7 croisements (heptagramme)… Le nombre impair de croisements s’impose.
Failles telluriques et Prises de terre électriques.
Failles telluriques
Ce plan nodal d’un trèfle possède une autre capacité, celle de déceler les failles telluriques. Il suffit que le plan nodal du Trèfle soit parallèle au plan de la faille et la survole. Le plan nodal, montre que cette faille tellurique se présente sous forme de dièdre et l’écartement entre les deux lèvres du dièdre varie d’un site à un autre.
Prises de terre à effet biologique négatif
Alors que les Biochamps naturels sont ordinairement faibles, les Biochamps artificiels, plus intenses, semblent se montrer plus pernicieux à l’égard du vivant car ils émanent souvent de sources électriques actives.
Les Biochamps artificiels émanent, certes du sol, mais aussi des installations électriques puissantes telles que les antennes-relais, les pylônes électriques et leurs paratonnerres.
Il n’est pas une maison qui n’ait pas sa prise de terre.
En surface, le trèfle indique le site de l’origine profonde du champ de prise de terre. Il se manifeste d’ailleurs sous forme d’un croisement orthogonal.
Les Biochamps artificiels négatifs issus des installations électriques puissantes perturbent les biosystèmes et engendrent des troubles pathologiques par anti biorésonance pour certains sujets électrosensibles. L’exposition de jeunes pousses, l’exposition d’animaux de ferme à ces Biochamps négatifs montre ceci : leurs croissances respectives sont inhibées par ces champs.
Champs telluriques favorables
Les failles telluriques ne sont pas toujours à l’origine d’émanations malsaines. Il existe des champs biologiques naturels et disséminés dans la nature que la pratique du pouls de Nogier nous a permis d’étudier. D. C. m’a conduit dans les forêts ou les prés de Franche Comté pour les localiser et les mesurer.
Ils se présentent d’abord sous différentes formes. Souvent un puits de dix cm de large émane du sol ou bien une plus grande surface circulaire de quelques mètres. Le plus souvent, des failles sont rencontrées ; les unes sont linéaires, les autres plus larges avec une légère inclinaison de leurs lèvres par rapport à la verticale. De grandes failles de centaines de kilomètre de longueur existent entre la Franche Comté et la Bourgogne et, curieusement, des monastères du 12ème siècle se trouvent alignés dessus. Il est légitime d’insinuer que ces failles sont bénéfiques…
Ces champs telluriques sont même vivifiants comme le montrent les observations suivantes. Nous avons constaté que les arbres, bordant une surface circulaire de 5 ou 6 mètres de diamètre, poussaient non seulement en cercle mais que leurs troncs étaient multiples (trois à cinq) partant de la base, du sol.
Sur les bords des chemins, nous avons rencontré des cercles parfaits plus ou moins grands (de 1 à 3 mètres de diamètre) sur lesquels poussaient de très petits champignons et qui décrivaient les ¾ du cercle ou moins ou plus ; un pharmacien botaniste me précisa qu’il s’agissait de « mousserons de sorcières ». En réalité on peut répertorier une bonne demi-douzaine de champignons divers capables de cet exploit ; de plus le diamètre des cercles est très variable : le plus connu (voir Google) décrit un cercle de plus d’un km de diamètre. Au pouls, avec un trèfle D, dont la face est orientée vers le sol, on trouve vraiment ce cercle biologique et rien au centre.
Nous avons aussi rencontré des cercles sans champignon qui se repéraient ainsi : l’herbe était bien plus drue, verte et haute sur tout le cercle plus qu’ailleurs.
Autre exemple biologique. Voulant mesurer l’intensité d’un cercle biologique très puissant, j’ai dû compter au moins pendant cinq minutes les pulsations, en restant bien sûr debout et immobile au-dessus de l’émanation la plus intense. Je fus troublé, en partant, d’être pris d’une curieuse torpeur. Était-ce l’effet des Biochamps qui s’élevaient de ce lieu ?
Mandalas telluriques : Agroglyphes.
Depuis le 22 08 1678, les Agroglyphes ou « crop circle » ou « méga dessins géométriques » situés au milieu des champs de blé (ou autres) sont apparus en Europe ; en Angleterre plus précisément et le fermier qui découvrit ce dessin trouva cela maléfique…
Ce sont en effet des sortes de Mandala. Leur intensité est assez forte ; les plus forts atteignent 130P (ce qui est énorme) et sont souvent les plus complexes ; les moins forts tournent autour de 30 à 40P.
Ils ont tous un point commun : ils sont centrés par un ou plusieurs axes perpendiculaires au sol.
Anecdote : leur mesure prolongée peut causer un certain malaise…
Leur genèse : ces figures sont presque toutes faites au milieu des champs de céréales en une seule et très courte nuit d’été ; avec parfois une retouche la seconde nuit ; il y a donc des imperfections. Leurs dimensions sont souvent très grandes (plusieurs centaines de mètres).
Ce sont des Biochamps négatifs ; ils peuvent polluer et produire des OGM, ils sont nocifs envers le biotope (modification structurelle des nœuds des plantes tressées) (plantes pliées à 1 pouce du sol et à croissance normale) ; des graines n’ayant pas germé pousseraient 5 fois plus vite, d’autres plantes seraient stérilisées en raison de codes génétiques très dégradés.
Beaucoup d’observateurs souffrent de céphalées, de nausées ou d’étourdissements dans ces champs. Les animaux les évitent.
Leurs sites : surtout le sud de l’Angleterre et en Hollande mais aussi quelques-uns en France et en Allemagne. L’Amérique du sud (civilisations précolombienne) présente un certain nombre de Géoglyphes en plein désert dont l’origine ancienne n’a pas été élucidée : les mystérieuses lignes de Nazca au Pérou, la fameuse image du Colibri.
Des appareils électroniques (boussoles, portables) seraient défaillants sur ces sites. Certains physiciens auraient décelé des radiations (isotopes rares) ; il faut noter leur aspect esthétique et ultra mathématique (complexité et perfection selon le radioastronome Gerald S Hawkins).
Ces « entités seraient douées d’intelligence »; les différents niveaux d’Agroglyphes seraient adaptés aux niveaux intellectuels des gens qui les perçoivent ; ils sont plus fréquents dans les contrées de haut niveau intellectuel et de bas niveau spirituel (civilisations précolombiennes comprises).
http://www.les-ovnis.com/rubrique,photos-de-crop-circle,414222.html
http://www.les-ovnis.com/rubrique,crop-circle-agroglyphe,414200.html
http://www.crop-circles.eu/pages/auteurs_agroglyphes.php +++
BIOCHAMPS TÉLÉVISUELS NÉGATIFS
Il s’agit d’un phénomène dont je suis la victime.
Certains films télévisés sont aptes à me provoquer une sorte de conjonctivite avec prurit et larmoiement. Des Biochamps négatifs en sont la cause.
Parfois aussi c’est une chaîne particulière la responsable…
J’en suis venu à incriminer les caméras des studios ou bien les antennes de diffusion ?
Autre curiosité. Voulant voir un film intéressant mais puissant en Biochamp négatif, j’eus l’idée de l’enregistrer sur le disque dur lié à la Box. Et, à mon grand étonnement, la lecture le lendemain de cet enregistrement ne me déclencha aucune conjonctivite… ?
Je suis dans l’incapacité de comprendre ces phénomènes