18 CHAMPS MORPHIQUES, Bulle MÉDECIN-MALADE

18 – Mots-clés :  autonomie du SWS , Bristol , champ de forme plan , champs morphiques , l’écart pratiqué par le malade , Halo péridermique , interconnexions des péridermes , interférence de contact , l’effet miroir , le mercure , praticien sain , survoler à distance , SW pince ,

Nous inspirant du détecteur en T Noir-Blanc du Dr Nogier, nous avons été conduits à concevoir et à réaliser des damiers noirs et blanc, puis des cocardes à plusieurs épaisseurs noires et blanches pour essayer d’être en adéquation avec les damiers cutanés.

Ces cocardes nous ont dirigés ensuite vers les sandwichs gris isomorphes, lesquels nous ont amenés à la notion de champs morphiques.
Il nous faudra un certain temps pour découvrir que le papier gris moyen de Canson (« Flanelle » 122) peut réaliser d’excellents sandwichs isomorphes afin de diffuser l’information de ce que l’on place au milieu, quel que soit le mode d’émission des informations qui en sortent.

LES SANDWICHS GRIS.

Ces papiers Gris de même morphologie seront déterminants dans plusieurs domaines.

Le SW-pince permet d’abord de manipuler les substances sans qu’elles interfèrent avec les doigts du praticien. Exemple personnel frappant, déjà décrit : au contact cutané le mercure engendre de fortes oscillations de nocivité ; comment donc intégrer le mercure dans une liste en faisant abstraction de cette interaction ? Cet exemple semble caricatural ; en réalité toutes les substances interfèrent peu ou prou au contact de l’analyste (qu’elles lui soient favorables ou nocives).

La clé de ce problème : chaque substance X est prise en sandwich entre deux feuilles Grises isomorphes (qui seules entrent en contact avec les doigts lors de la manipulation). Grâce à cette technique, le mercure, tenu en sandwich gris entre les doigts, perd sa nocivité de contact ; son émanation propre peut alors être étudiée.

LA BULLE MÉDECIN-MALADE.

Définition : quand le praticien prend le pouls de son patient, il y a obligatoirement contact entre la peau de chacun des protagonistes et donc interactions. Ces interactions, positives ou négatives, nous ont amené à parler de « bulle médecin-malade ». Cette bulle est le casse-tête le plus ancien et le plus difficilement contournable que les Pulsologues, que les auriculo médecins, ont dû affronter depuis quarante ans.

Cette notion a été évoquée lors de la définition des « Latéralités ».
Nous devons nous attarder sur le fait suivant : chaque praticien « écrête » sa propre clientèle. Souvent les malades les mieux explorés sont de la même latéralité que le praticien, en phase avec lui…

Mais il faut aller plus loin et convenir que pour bien réussir, le médecin devrait être le plus sain possible pour qu’il reste neutre, qu’il n’interfère pas, par sa propre pathologie, avec celle du malade, qu’il soit une référence de neutralité.
Cette notion de praticien sain est purement théorique. De par sa constitution, toute personne en bonne santé a des relations personnelles avec les substances pharmacologiques.
Bref, le vrai problème est le suivant : il n’existe pas deux personnes saines identiques, hormis les vrais jumeaux en bonne santé. En dépit de cela les vrais jumeaux sains ne sont une référence que pour eux-mêmes.

Comment donc surmonter ces interactions positives et négatives que s’échangent les deux acteurs de la Bulle ? Pour résoudre ce problème nous avons trouvé judicieux de rechercher un système qui empêche ou qui neutralise l’interaction entre ces deux acteurs.

La salive est porteuse de l’information globale, saine et pathologique, du malade. Cette salive est en soi une référence : si elle imprègne un coton-tige, celui-ci peut très bien servir de détecteur direct pour rechercher, en survol, les points d’acupuncture.
Tout sachet salivaire (avec nom et date) est dorénavant placé en « sandwich salivaire » gris pour lui conférer une autonomie très particulière.

 

JUSTIFICATION DU SANDWICH SALIVAIRE.

Entre les deux lames planes isomorphes du sandwich gris se trouve le sachet Minigrip porteur des indications vues et contenant le coton-tige salivaire : c’est le sandwich salivaire.
Ce SWS gris communique en effet une information sous forme de plan et non de volume. L’information qui émane de ce SW est « formatée » ; elle devient un « champ de forme plan ».

La géométrie plane de l’information est capitale. Elle participe à imprimer sur les protagonistes de la Bulle une même information planifiée, sur un revêtement cutané partout partiellement plan.

Ce champ informatif de forme, induit par le SW gris, concourt au progrès de la maîtrise de l’effet Bulle. Le malade et le praticien afficheront sur eux-mêmes, sur leurs peaux, les mêmes points d’acupuncture induits.

Mais les deux protagonistes travaillent en contact via leurs poignets et non de manière séparée. Ce point affiché n’est-il pas la résultante de l’information du malade, de sa salive…et un peu d’une information provenant de l’observateur ?

CONCLUSION

Nous avons abordé, de manière primaire, le problème fondamental de la Bulle Médecin-Malade dont la prise de pouls est responsable. Il y a communication d’informations positives et négatives par conduction au niveau des peaux des deux acteurs et ce dans les deux sens. Nous révélons l’importance des sandwichs gris qui permettent à la fois de formater et d’isoler en partie l’information salivaire puis de la projeter (sous forme de points d’acupuncture).
Le problème de la Bulle n’est pas encore parfaitement réglé mais le caractère incontournable du SW gris ne s’est jamais démenti au cours des années (depuis 2007, et nous sommes en 2021).

Actualisation du problème de la Bulle MÉDECIN-MALADE

Introduction.

On ne peut palper le pouls du malade sans le contacter. Seule échappatoire : le médecin peut prendre son propre pouls s’il réagit en parallèle avec celui du patient : ceci se réalisera dans certaines circonstances – en Acupuncture par exemple –

Le phénomène de la bulle.

Les faits sont assez nombreux. Mais focalisons-nous sur la réaction d’écart de « l’oreille » d’un produit pharmacologique. Le décompte d’une réaction d’écart varie avec le Pulsologue qui fait l’examen, et c’est la raison pour laquelle nous donnons la palme de la meilleure méthode à l’écart pratiqué par le malade et non par le praticien.

Supposons que, lors de l’écart pratiqué par le malade, un remède favorable donne 40P (Pulsations ou VAS).

Si le praticien, tout en tenant le pouls G du malade, réalise cet écart avec sa main D il joue le rôle d’intermédiaire entre la substance médicinale et le patient. Si ce remède est paradoxalement nocif pour le médecin, le remède ne donnera à l’écart que deux ou trois VAS ; il sera sous-évalué. Si, à rebours, ce même médicament est aussi favorable au praticien, ce n’est pas 40 mais 50 ou 60 P qui seront obtenues ; il sera surévalué.

Problème majeur : comment lutter contre cette bulle ?

Premier procédé : le sandwich gris pour les filtres.

Un filtre est un support qui contient une substance pharmacologique ou biologique : Anneau-test ou sachet Minigrip.

Pour limiter l’influence du praticien, nous avons tenté de manipuler les supports des substances biologiques « avec des pincettes ». Et pour ce faire, au lieu de les prendre entre les doigts, nous les avons placés dans un sandwich de papier Canson gris 122 épais. Et le SW gris isole le praticien de l’anneau-test ou du sachet qu’il manipule. Ce procédé apporta des améliorations techniques encourageantes mais insuffisantes.

Second procédé : le sandwich salivaire.

Pour renforcer l’information provenant du malade, nous avons très vite fait appel à sa salive. Celle-ci, prélevée avec un coton-tige dépollué, est enfermée dans un sachet Minigrip® lui aussi dépollué (par Labradorite). Et, pour mieux en extraire l’information, nous l’avons placé entre les deux valves du sandwich (SW) gris.

Le point sur lequel il faut surtout insister est le suivant : les deux lames du SW gris qui entourent le sachet salivaire doivent être de morphologie et de dimension absolument identiques mais également situées dans des plans parallèles (posé sur un champ cutané du patient). Ce faisant, le SW formate la salive. L’information qui émane de la salive subit un champ de forme singulier, impropre à toute interférence avec une autre salive (celle du praticien comprise).

Le résultat pratique de ces champs de forme est le suivant : la salive affiche avec force et précision les mêmes points d’acupuncture ou d’auriculo sur le patient et le praticien. Comme si le médecin prenait sur lui la pathologie du malade via sa salive. Comme si Malade et thérapeute étaient en parallèle. Mais encore une fois le praticien est-il évacué de la bulle ?

Cette méthode a rendu de nombreux services pendant de longues années, tant pour soigner les malades que pour faire de la recherche hors malade à partir de simples salives adressées par courrier postal. Actuellement, le SW salivaire est toujours incontournable.

Troisième procédé : la prise du pouls sans contact. 

Nous avons évoqué cette échappatoire : le médecin prend son propre pouls qui réagit en parallèle avec celui du patient.

Ce procédé très étrange a pris bien du temps à s’imposer. Car il n’y a aucun contact avec le malade…Mais il y a interconnexions des péridermes, des « halos » des deux sujets.

Au départ se trouve l’observation déjà signalée au précédent chapitre ; le Médius de la main ou du pied est le seul élément effilé qui comporte en réduction, et au bout du doigt, les quatre champs cutanés du corps. C’est un détecteur assez neutre souvent très utile.

Ayant pratiqué l’ostéopathie durant ma carrière, j’ai noté que pour localiser un « blocage » vertébral, il suffit de survoler à distance (20 cm) avec le bout du médius droit, tout le rachis, toute la colonne vertébrale. Au moment où le médius survole sans aucun contact le blocage, mon propre pouls droit sursaute. Et cette localisation est très précise. Cette méthode n’a jamais failli.

Elle s’étend aussi à l’acupuncture. Le bout du médius est apte à déceler tous les points patents d’acupuncture pathologiques, spontanés évoqués par la peau du malade. Certes le survol se fait rapidement si l’on connaît le site des principaux points d’acupuncture.

Et ce procédé sans contact vaut pour les tests de remèdes ou de nocivité – lors de la « réaction contact / écart ». Le médius ne joue plus de rôle ici. Le patient prend un remède favorable entre ses doigts. Il commence par plaquer sa main porteuse contre son thorax. Le pouls reste silencieux. Puis il écarte sa main (et le remède) loin de lui, devant lui. Le pouls réagit assez fortement pour qu’on puisse dénombrer le nombre de pulsations jusqu’à l’extinction. Au-delà de 15 pulsations le remède est indispensable, en manque ou très sous-dosé.
Inversement si c’est contre le thorax que les pulsations se manifestent, la substance, le médicament indiqué est nocif.

Bien noter que le praticien, qui est à un ou deux mètres du malade, palpe son propre pouls et que c’est lui qui fait les décomptes. Il est presque hors Bulle, mais puisqu’il mesure, c’est qu’il participe encore au Halo péridermique.

 Quatrième procédé : Labradorite et recherche numérique.

L’enregistrement de nombreuses substances médicinales m’a conduit à différentes observations concernant notre propos. Devant l’écran d’un PC, il ne semble pas y avoir d’effet bulle.

Nous avons alors amélioré les choses en ajoutant un arrière-plan d’écran : un Biofilm de Labradorite enregistrée. Celui-ci permet de dépolluer le SW salivaire, souvent pollué par son séjour dans la filière postale quand il vient de loin.

Accolé à la droite de l’écran du PC et parallèle à lui se trouve le SW salivaire dépollué. A gauche de l’écran se trouvent listées les spécialités pathologiques ou pharmacologiques.

Mais si l’écran du PC n’a pas de Halo, le SWS qui y est accolé en a un et il interfère avec le praticien qui lit cette salive…

Cinquième procédé : l’effet Miroir.

Il revient à bien neutraliser le praticien, à annihiler son propre Halo.
Pour ce faire, nous l’avons dit ailleurs, il se neutralise en affichant son selfie ou sa photo d’identité (10), contre le bas de l’écran, en se regardant lui-même, sans prise de photo. * Curieusement ce miroir neutralise son Halo.

De cette méthode dérivent des procédés plus « énigmatiques ». Le Prénom-Nom du praticien qui étudie le SWS : « prénom-Nom—aujourd’hui » retourné horizontalement et qui est affiché en bas d’écran. Le procédé du Bristol qui décline l’identité du praticien, comme précédemment, également retourné horizontalement, posé sur et vers le sternum et maintenu en circuit fermé autour du cou par un lien.