20 – AUTOTESTS PERSO
Nous le savons, l’autotest est pratiqué par le médecin sur lui-même, sur son propre pouls.
Il vise à sélectionner pour le praticien lui-même des remèdes.
L’information émanant du praticien est amplifiée, accrue par son propre Nom (en damier à 4 cases intérieures)
1/ affiché à gauche de l’écran en micro-zoom.
2/ ou bien autour de son cou via une cordelette en circuit fermé. Ici, le Nom, écrit en noir sur Blanc est placé sur le sternum et regarde l’écran. Il est de taille normale car éloigné de l’écran.
Il est donc seul devant l’écran qui affiche la liste des médicaments à « scanner », à survoler, situés à droite de l’écran ; un espace sépare la liste du Nom.
Le stylo universel U sert initialement de médiateur. Il précise quelle liste de médicaments doit être analysée prioritairement : A ou B, dans la spécialité vers laquelle sa pathologie l’oriente.
Placé devant la liste des substances médicinales et, via le stylo A ou B, il décèle le remède N°1 avant qu’un second se manifeste … jusqu’au N°4 le plus sélectif.
Les tests peuvent être pratiqués sans sélection préalable. Un premier remède résonne et l’on maintient la pointe du stylo sur lui. Après 5 ou 6 pulsations la résonance cesse ; c’est alors que le stylo peut survoler les autres substances à la découverte d’un second remède ; la résonance éteinte, un troisième remède est décelé…puis le quatrième.
Ceci réalise un quatuor, significatif de chacun des remèdes indiqués. Et chacun est apte à effacer un des 4 coins intérieurs du Nom (en damier virtuel).
Réunis ensemble et en « petites icônes », une capture d’écran fera un tout de ces 4 remèdes devant lequel l’exposition pourra se faire.
Précisons les modalités « d’écart » du patient vis-à-vis de l’écran.
1/ Cette « image » captée devra être petite sur l’écran et avoir une largeur idoine :
5 cm de large si le sujet-praticien est à 50 cm de l’écran,
20 à 25 cm de large s’il s’éloigne à 2 mètres de l’écran.
Ces modalités reposent sur la « réaction d’écart » qui caractérise un remède bénéfique.
2/ Mais, pour éviter ces « mises au point » dignes d’un photographe ancien, un subterfuge, un artifice s’offre à nous. On peut convertir la petite image de l’écran, via Paint, en image grand format, pivotée de 180°. Dans ce cas, le patient reste tout près de l’écran pour bénéficier correctement de l’exposition.