17 HOMEOPATHIE
17 – Mots-clés : champs de forme des pavillons , couleurs neutres , Denis Demarque , effets secondaire d’homéo , réaction d’écart , rebond d’écart , substance réactive , sujets sains et sensibles ,Verbe oscillant ,
La Pulsologie contribue à une meilleure définition et à un meilleur abord de l’homéopathie si dénigrée par les « scientifiques ». Et pourtant, rien n’est si pauvre en matière et si riche en information qu’un granule homéopathique.
La Matière Médicale est la base de l’Homéopathie. La Pulsologie nous permet pourtant de définir une homéopathie autonome, affranchie de cette Matière Médicale.
Cette Matière médicale est la somme des effets secondaires « pathologiques » qu’un remède de Haute Dilution (HD) est capable d’engendrer sur des sujets « sains et sensibles ». Ipso facto elle contredit l’idée reçue selon laquelle le produit homéopathique ne provoque pas d’effet secondaire, et qui sous-entend qu’il n’a pas non plus d’action curative.
Nous nous interrogeons alors sur la définition du sujet sain.
La Pulsologie permet d’entrouvrir la barrière qui sépare Basses et Hautes Dilutions.
Les problèmes de pollution affectent la qualité de l’information homéopathique et contribuent défavorablement à son essor.
INTRODUCTION
Définition de l’homéopathie : « Méthode thérapeutique consistant à administrer au malade des doses infinitésimales d’un produit animal, végétal ou minéral qui, à des doses pondérables répétées ou toxiques, provoque les mêmes symptômes que ceux qui sont observés au cours de la maladie à traiter. » Cette définition très classique est discutable et nous y reviendrons.
Les substances sont diluées et dynamisées, selon les deux procédés en vigueur, dilutions hahnemanniennes et korsakoviennes.
LES SUBSTANCES HOMÉOPATHIQUES EN 9CH
Les souches fournies par les Laboratoires Boiron sont généralement toutes identiques à elles-mêmes après renouvellement des Teintures mères.
Le conditionnement des granules mérite qu’on s’y arrête. Ces granules ne sont plus depuis longtemps livrés dans des tubes en verre ou en métal mais dans des tubes en plastique. Nous savons que ces derniers sont souvent pollués par les champs magnétiques ambiants et il en va de même pour leur contenu.
Beaucoup d’échantillons homéopathiques ont dû être dépollués avant insertion dans des sachets Minigrip, eux-mêmes décontaminés. Cette dépollution par Labradorite tend à remettre à niveau l’information initiale des granules analysés.
Ces remèdes homéopathiques se trouvent sur le site www.remedes-numeriques.com sous la rubrique de gauche « Homéopathiques ».
PROBLÈMES LIES A LA DILUTION DES REMÈDES HOMÉOPATHIQUES.
Nous abordons ici une particularité fondamentale du remède homéopathique : la dilution optimale à laquelle il doit être prescrit. Il s’agit d’une spécificité qualitative. Il n’existe donc aucun rapport avec l’allopathie dont le caractère quantitatif est primordial.
Nous allons découvrir les rapports analogiques qui lient les dilutions et les fréquences, puis les dilutions et les couleurs. Nous allons surtout nous attarder sur la discontinuité qui sépare les hautes dilutions (HD) des basses dilutions (BD).
Dilution des remèdes et fréquences lumineuses intermittentes.
Si les tests nous permettent d’élire les remèdes qualitativement spécifiques pour un malade donné, ils ne nous disent rien sur son aspect quantitatif ou plus exactement sur la dilution à laquelle ils doivent être prescrits.
La première approche pour définir la dilution consista à trouver des équivalences, des accords entre le malade, son remède et des fréquences (lumineuses intermittentes ou couleurs).
A l’instigation du Dr A. de la Brosse, notre attention fut accordée au GIR 56, source de sept fréquences lumineuses, délivrées sous forme de stimulations intermittentes plus ou moins rapprochées. Ce GIR 56 fut construit à la demande du Dr Nogier.
FREQUENCES | U | A | B | C | D | E | F | G |
Valeur (Hz) | 1.14 | 2.28 | 4.56 | 9.125 | 18.25 | 36.5 | 73 | 146 |
La fréquence U est la fréquence universelle et les 7 fréquences fondamentales qui en découlent sont des multiples de 2.
Prenons la gamme des dilutions, en centésimales hahnemanniennes, 5CH, 6, 7, 9, 12, 15 et 30CH de plusieurs substances homéopathiques, et étudions les liens qui unissent ces diverses dilutions avec les 7 fréquences du GIR 56 du Dr Nogier, sur un sujet non impliqué par ces substances. Nous constatons que la lumière de fréquence A, balayant les 7 dilutions, ne déclenche une résonance que sur la 5CH, et qu’à chaque fréquence ne correspond qu’une seule dilution. Ainsi A=5CH, B=6CH, C=7CH, D=9CH, E=12CH, F=15CH, G=30CH (en continuant de multiplier par 2 la fréquence précédente on pourrait poursuivre à 60CH, et plus, mais la législation française n’y consent pas).
Rebonds d’écart ressentis au pouls.
Définition : le rebond d’écart est la réaction du pouls à l’éloignement de l’oreille (face antérieure) d’une substance quelconque(selon Paul Nogier).
Reprenons ces 2 entités : les substances homéopathiques en 7 dilutions différentes et les 7 fréquences du GIR. Etudions les distances de rebond de chacune de ces 7 dilutions ou de ces sept fréquences à l’éloignement d’une oreille. On note que la 5CH « rebondit » à peu de distance du pavillon, que la 9CH rebondit plus loin… alors que la 30CH le fait à 80 cm. Idem pour les 7 fréquences du GIR. Il y a bien correspondances entre dilutions et fréquences
Les couleurs analogiques des hautes dilutions homéopathiques.
Nous avons été conduits à chercher 7 fréquences-couleurs, en résonance avec les sept dilutions homéopathiques d’une douzaine de remèdes différents.
Méthode : 3 ou 4 remèdes W, X, Y, Z (tous en 7CH par exemple) sont empilés et placés en sandwich.
Les films de couleurs choisies sont neutres : leurs deux faces résonnent autant en regard des deux trèfles. Ils résonnent aussi sous le stylo à Labradorite. Aucun détecteur de Biochamp ne les fait réagir.
Les couleurs sont placées au centre de la table. Une résonance s’établit entre la pile de remèdes 7CH en SW et une des couleurs étalées ; il suffit de survoler les couleurs avec le SW 7CH tenu entre les doigts.
Cette « couleur 7CH » entre en résonance avec les dilutions 7CH des divers remèdes pris séparément.
Voici le détail de ces couleurs qui ont été modifiées suite à la dépollution de leurs supports (film et Minigrip) :
5CH = Rosco 366 ; 7CH = Rosco 248; 9CH = Rosco 105 ; 12CH = Lee 353 ; 15CH = Rosco 201 ; 30CH = GramColor 915.
Chacune de ces couleurs, définissant une dilution, est mise à l’intérieur d’un sachet Minigrip propre.
Ces six couleurs sont en effet en permanence dans le champ proche en raison de leur neutralité biologique.
Si l’on veut connaître la dilution X d’une substance homéopathique quelconque, il suffit de la prendre en sandwich (SW) gris et de survoler les 6 couleurs de dilution ; s’il y a résonance entre une couleur 12CH et la substance, on peut dire qu’X = 12CH.
Couleurs et très hautes dilutions.
L’expérience montre que, pour certaines salives, aucun remède homéopathique n’entre en résonance : remède inexistant ? dilution inappropriée ?
Entrons cependant dans le domaine des très hautes dilutions (THD) qui semblent appartenir plus particulièrement aux dilutions korsakoviennes.
Le mode de préparation de ces dernières est différent :
Pour les hahnemanniennes un volume de teinture mère (TM) mélangé à 99 volumes de solvant donnent après dynamisation dans un premier flacon = 1CH = 1/100 ; un volume de 1CH pour 99 volumes d’alcool à 70° dans un second flacon = 2CH = 1/10 000 ; 3CH = 1/1 000 000 etc. Chaque dilution a son flacon.
Dans le cas des korsakoviennes, la TM dans son flacon, avant toute dilution, subit une dynamisation. Puis le flacon est vidé et rempli avec 99 parties d’eau ; la dynamisation donne la 1K ou 1ère K. Le flacon est vidé et rempli de 99 parties d’eau, ce qui donne, après dynamisation la 2 K etc… C’est toujours le même flacon qui sert. La méthode est donc bien plus empirique que la première.
Discussion : il va de soi que le produit qui reste sur les parois du verre du flacon après chaque dilution ne représente pas 1/100 du volume de ce dernier, mais sûrement moins (1/1 000 ?), d’autant plus que certaines molécules accrochées à ces parois resteraient inutilisées…
Quoi qu’il en soit, certains homéopathes ont établi une sorte de tableau d’équivalence H/K : 4CH = 6K, 5CH = 30K, 7CH = 200K, 9CH = 1000 ou MK, 12CH = 10.000 ou DMK, 18CH = 50000 ou LMK, 30CH = 100.000K ou CMK (d’après H. Voisin), mais il y a d’autres tableaux. Comment a-t-on pu établir de telles correspondances ? Les impressions cliniques à l’origine de ces équivalences reposent sur quoi… ?
Notre recherche d’une couleur équivalente donne ceci :
200K = R#25 ; 1 000K ou MK = Lee 203 ; 10 000K ou DMK = Lee 136 ;
50 000K ou LMK = Lee 115 ; 100 000K ou CMK = Rosco # 398.
Ces couleurs sont dans un sachet individuel noté à l’encre Bic. Cette gamme de couleurs adaptée aux korsakoviennes a été établie à partir de quatre remèdes homéopathiques différents Boiron, comprenant pour moitié des substances végétales et pour moitié des minérales, chacun délivré aux cinq dilutions sus citées.
Lors de l’éloignement de l’oreille de chacune de ces couleurs, la distance des rebonds d’écart va croissant, au-delà des 7 rebonds du GIR (sauf pour la 200K) et au-delà de la couleur 30CH. Ceci conforte donc l’hypothèse que le mode préparatoire des korsakoviennes aboutit à des dilutions beaucoup plus élevées que les hahnemanniennes.
Note : ne pas confondre rebond d’écart (vrai ou pseudo) obtenu avec toutes les substances médicinales et réaction d’écart qui caractérise les seuls remèdes favorables.
Basses dilutions homéopathiques.
Comment les définir ? S’il a servi de référence pour les hautes dilutions, le GIR reste muet dans les BD. Or ces remèdes ont été de tous temps très employés par les homéopathes.
Les remèdes de BD, contrairement aux HD, ont la particularité de donner des « faux rebonds » d’écart. Qu’est-ce qu’un faux rebond ? Lors de l’écart du remède (en partant de la peau) se manifeste au pouls une bande d‘oscillations entrecoupée, en son milieu, par une discontinuité silencieuse (tel un point Nul). Ainsi classons-nous parmi les BD les remèdes dilués entre 1CH et 4CH.
Voici les couleurs de référence qui ont été trouvées.
4CH = Lee 441 ; 3CH = Rosco 363 ; 3DH = Lee 214.
Problème de la dilution inversante.
Rappelons la définition de l’homéopathie : « Méthode thérapeutique consistant à administrer au malade des doses infinitésimales d’un produit animal, végétal ou minéral qui, à des doses pondérables répétées ou toxiques, provoque les mêmes symptômes que ceux qui sont observés au cours de la maladie à traiter. » Autrement dit, à dose pondérale la substance est nocive et en HD elle est bénéfique. A quelle dilution bascule-t-elle d’un état à l’autre ?
Que dit la littérature homéopathique en ce domaine ? Les « indications » proposées par la Matière Médicale reposent sur la pathogénésie (les effets iatrogènes et réactionnels) de substances ingérées par des « sujets sains et sensibles ». Ces substances sont ingérées 1/ à dose toxique ou 2/ à doses diluées répétées ou 3/ à doses très diluées et répétées. Dans le premier cas nous avons une description des effets iatrogènes ; dans le second cas, celui des BD (souvent 3 ou 4CH), les homéopathes classiques nous offrent peu de descriptions précises ; dans le 3ème cas nous est donnée une description des effets réactionnels liés aux informations des HD (7CH ou 30CH).
Les effets iatrogènes et réactionnels sont assez divers d’un sujet à un autre (qu’est-ce qu’un sujet sain et sensible ?). Il suffit de consulter le dictionnaire Vidal pour noter le nombre impressionnant et toujours enrichi d’effets secondaires d’un grand nombre de médicaments allopathiques ; mais chaque effet négatif est réparti sur des milliers de sujets différents ; et minoritaires sont les sujets qui n’en éprouvent pas : les sensibilités sont donc très variables. Si ceci est vrai en allopathie, est-ce vrai en homéopathie ? Rien ne nous autorise à faire un parallèle entre les effets iatrogènes des médicaments de synthèse et les effets réactionnels des HD homéopathiques.
Approfondissons ce sujet. La méthode qui a présidé à la description de la Matière Médicale est imprécise ; elle dit simplement que la 7CH est la dilution la plus « parlante ». Les produits expérimentés par S Hahnemann étaient, avec les années, de plus en plus dilués, entre 3DH et 30CH (entre 1/1000 et 1/10 puissance – 60), ce qui est certes « infinitésimal » mais peu clair : une T.M. nocive, peut être utile en 3DH ou 3CH ; sommes-nous ici dans une allothérapie très diluée ou en homéopathie ? Les derniers protocoles retenus par les expérimentateurs homéopathes semblent limiter leurs études entre 6 CH et 30CH (Dr Denis Demarque); pourquoi à partir de 6 CH ? Une fois encore, à quoi servent les BD ?
En outre, le sujet en bonne santé, expérimentalement sensible et réactif aux HD d’un remède, doit-il bénéficier de ce même remède en cas de maladie à la symptomatologie analogue ? Ou bien est-ce un sujet de constitution opposée, un sujet « miroir », « en creux » qui doit en bénéficier ? C’est ici que la définition académique de l’Homéopathie reste imprécise.
L’inversion homéopathique entre 4CH et 5CH : les arguments.
A quelle dilution une Teinture Mère inverse-t-elle son action en phase homéopathique, c’est-à-dire en haute dilution ? Ce renversement dépend-il de la substance ? Et de fait, la première dilution délivrée par les laboratoires homéopathiques évoque une variabilité d’un remède à l’autre : certains peuvent être prescrits en TM et d’autres ne peuvent pas l’être avant la 4 CH et tous les intermédiaires sont possibles.
Que répond le Pulsologue à ces diverses questions ?
A/ Un remède homéo, utile en 5CH, se montre « nocif » au pouls en 4CH et inversement. Il existe donc une frontière pulsologique.
B/ Absence de correspondance entre les BD et le GIR.
C/ Etude des réactions d’écart. Nous avons vu que l’écartement du GIR, sur l’axe passant par les 2 oreilles, provoquait 7 rebonds concordant avec ses 7 fréquences et avec les 7 HD de remèdes. De même que la couleur « 5CH » rebondit près du pavillon, de même tout tube de remède en 5 CH en fait-il autant. Qu’en est-il des remèdes en 4CH, 3CH ? Il y a cette fois-ci 2 faux-rebonds : le 3CH est proche du pavillon, celui du 4CH est plus distant.
Cet antagonisme des rebonds et des pseudo-rebonds entre les remèdes de HD et les remèdes de BD semble bien signifier qu’entre la 4CH et la 5CH se situe la frontière, l’inversion homéopathique.
D/ Si nous superposons la « couleur dilution » 5 CH et la « couleur dilution » 4CH une oscillation permanente (non lente) d’incompatibilité s’installe.
Les collections de remèdes de HD et de BD ne peuvent donc être mélangées dans une même boîte ; idem pour les HD et les Oligo-éléments.
E/ Enfin, au plan clinique et thérapeutique, nous verrons qu’un remède favorable en 5CH devient nocif en 4CH ; l’inverse est aussi vrai.
La frontière HD-BD paraît donc bien se situer entre la 4ème et la 5ème CH. Nos observations actuelles nous font constater que l’inversion homéopathique s’accompagne d’une inversion de la nature du point d’acupuncture projeté : si la 4CH d’un remède s’affiche sous forme de point Nul (en halo), la 5CH de ce même remède s’inscrit en point Oscillant (central).
En résumé, comme nous l’avons dit au début, l’allopathie se termine en 4DH, l’homéopathie en basse dilution s’étend de la 3CH à la 4 CH, celle de haute dilution va de 5 CH à 100 000K.
Si l’on emploie les couleurs dilutions BD à quelles substances s’appliquent-elles ?
Elles s’adressent aux allergènes ; ces couleurs BD permettent de préciser, par exemple, la dilution optimale à laquelle un allergène doit être employé pour procéder à une désensibilisation.
La dilution optimale.
D’où vient cette autre dimension de l’homéopathie qui se situe au sein d’une même gamme de dilutions ? Une substance hautement diluée, dématérialisée, ne laissant qu’une empreinte, qu’une information, qu’une signature sur son support, pourquoi exige-t-elle un certain niveau de dilution pour être en résonance avec le malade qui la réclame ? Ce phénomène pulsologique, certes curieux, est une réalité : un remède favorable en 12 CH l’est moins en 9 ou en 15 CH (décompte au pouls). Pour en rendre compte, on ne peut qu’évoquer une image ; un même concert peut être émis à la radio sur les grandes longueurs d’ondes ou en ondes courtes à la fois ; tout ne dépend-il pas du récepteur ? Nous sommes tous des récepteurs différents et c’est pourquoi nous pouvons entrer en « résonance » avec une des très nombreuses dilutions d’une même substance.
Pour les homéopathes, la dilution varie aussi en fonction des étages symptomatiques : du lésionnel (BD) au fonctionnel (HD) et au psychique (THD).
Nature des rebonds d’écart des diverses dilutions homéopathiques.
Quand on éloigne un remède homéopathique de l’oreille, on constate la présence d’un rebond d’écart. La distance à laquelle ce rebond a lieu varie avec la dilution du remède. Ainsi, la 5CH rebondit près du pavillon, la 7CH un peu plus loin…et la CMK très loin, à plus d’une longueur de bras. Si ces remèdes sont remplacés par les couleurs de HD définies plus haut, les mêmes écarts sont obtenus, de la couleur 5CH à la couleur CMK.
Nature de ce rebond. Quand on éloigne une couleur de dilution sur l’axe bi pavillonnaire, le rebond vrai (Oscillant) se produit en regard de chaque oreille, le praticien étant neutralisé par effet miroir.
Si une oreille est recouverte avec une coupelle de verre, le rebond disparaît ; si les deux oreilles sont recouvertes chacune de la même coupelle le rebond réapparaît. Le rebond d’écart n’est pas spécifique des pavillons mais c’est là qu’il s’étudie avec le plus de facilité.
Le rebond d’écart semble lié aux Biochamps qui émanent des oreilles et qui subissent les champs de forme des pavillons D et G de manière opposée.
Il n’a aucun lien avec une quelconque longueur d’onde.
Le rebond d’écart d’oreille n’a rien à voir avec la réaction d’écart que donne un remède favorable. Le rebond d’oreille est un phénomène très bref ; la réaction favorable d’écart se fait au niveau du corps, elle est durable et peut être dénombrée : plus ce nombre est grand plus le remède écarté est bon.
TESTS DE REMÈDES HOMÉOPATHIQUES.
Actuellement
Les tests se font dorénavant à partir de listes de remèdes homéopathiques non dilués donc en TM. Et ils sont numérisés.
Il est en effet inconcevable de transférer sur site des listes Homéopathiques pour chaque dilution.
Le SW salivaire est apposé dans le coin inférieur D de l’écran du PC. Le Biofilm de LBD est en fond d’écran. Les homéopathiques TM sont affichés et activés dans la partie gauche de cet écran. L’effet miroir est apposé.
Les détecteurs.
Les premiers à utiliser sont les classiques stylos universels qui pointent les Homéos résonants.
Une fois repérés, on peut tenter de s’exposer aux Biofilms TM dont les infos ne sont pas nocives, a contrario des substances des TM réelles. Mais l’efficacité peut être incertaine.
Une seconde paire de détecteurs spécifiques peut alors intervenir : les stylos Homéos-HD et Homéos-BD. Ces derniers précisent alors si le remède Homéo repéré doit être indiqué en Haute Dilution ou en Basse Dilution.
Test de résonance
Il reste à déterminer la dilution optimale à laquelle le remède sera surtout opérant. Pour ce faire, l’écran est encombré de quatre cadres : celui qui porte le Nom du praticien (effet miroir relégué en bas de l’écran), celui du malade (SWS), celui qui affiche le remède ciblé du départ et activé, enfin la petite liste des différentes dilutions. Le Stylo HD, par exemple, pointera la dilution idoine, optimale (12CH par ex).
Le remède indiqué
Il sera prescrit pour que Boiron ou un autre Labo spécialisé, via le pharmacien, vous le procure.
Autre procédé à explorer : Le Verbe oscillant.
En vous reportant à cette rubrique, vous voyez qu’on peut créer un Biofilm à partir de son Nom. Si vous écrivez « Pulsatilla-15CH » et déterminez son axe central, vous pouvez, à partir de lui faire un Biofilm qui sera en parfaite résonance avec le sujet qui l’attire qui l’attend. Une énigme de plus.
MATIÈRE MÉDICALE ET SUJETS « SAINS ».
A l’encontre de l’idée reçue selon laquelle l’homéopathie, quelle que soit son action curative, n’est pas nocive, nous devons nous inscrire en faux. Nous pouvons trouver, pour un sujet, six à neuf remèdes nocifs homéopathiques, selon un procédé que nous avons déjà décrit. Plus simplement, la pathogénésie de tout Homéo repose sur des effets secondaires individuels, dits effets réactionnels.
Un sujet sain peut être sensible à des substances réactives qui lui sont propres. Si donc nous lui donnons tous les jours la substance réactive Z en 6 ou 9CH, il développera un ensemble de symptômes de plus en plus nets au fur et à mesure que l’expérience se poursuivra. Le recueil de tous ces symptômes constitue la pathogénésie de la substance Z. S’il arrive que ce sujet sain fasse spontanément les mêmes symptômes lors d’un état pathologique, lui prescrire Z ne devrait-il pas l’aggraver ? N’est-ce pas un malade tout à fait opposé à notre sujet sain, un sujet miroir, qui devrait bénéficier le mieux de Z s’il affiche les symptômes de Z ?
Ajoutons en outre que l’existence de deux Matières médicales serait judicieuse : l’une faite à partir de substances en 6 ou 7CH, l’autre à partir de ces mêmes substances en 3 ou 4 CH. La pathogénésie d’un même biothérapique serait différente selon qu’elle serait établie à partir d’une 4CH ou d’une 7CH. Mais seule une HD ou une BD serait vraiment favorable, thérapeutiquement propice.
POLLUTION DES REMÈDES HOMÉOPATHIQUES.
La simple prise en main d’un remède purement informatif comme le sont les granules homéopathiques peut, dans certaines conditions, être polluante de manière transitoire. Pour éviter de manipuler ces produits nous pouvons certes les tenir en sandwich : la pollution par les doigts de l’analyste s’en trouve ralentie.
Retenons d’abord la rapidité de pollution d’une information manipulée entre des doigts spécifiquement hostiles, même à l’abri de gants de latex. Tout ceci rend compte d’un phénomène assez mystérieux rapporté par A. Cl. Quemoun, président de l’Institut Homéopathique Scientifique : quand le professeur Benvéniste de l’INSERM faisait ses expériences sur l’effet cellulaire (dégranulation des basophiles) des hautes dilutions d’IgE ou d’Histamine, il avait noté qu’il avait une assistante qui ratait systématiquement ses manipulations. En réalité il est très vraisemblable qu’une incompatibilité majeure devait exister entre la substance manipulée et l’assistante, d’où ses échecs incompréhensibles.
Retenons ceci : une substance homéopathique nocive en 9CH, trouvée lors d’une réaction de contact, peut être absorbée et engendrer des troubles divers à partir desquels la pathogénésie de cette substance est établie (cf. ci-dessus « matière médicale et sujets sains »). Ceci étaye notre distinction entre sujet « sain sensible » et « sujet malade ». Le premier présente des troubles réactionnels, le second est amélioré par ce même homéopathique en résonance lors d’une réaction d’écart.
On ne peut pas imaginer qu’un sujet sain, perturbé au contact, par un remède en 7CH ne soit pas aggravé, en cas de similitude pathologique, par ce même « Homéopathique », qui ne pourrait réagir à distance !
Pollution des tubes homéopathiques entre eux
Un des sujets fréquents de conversation entre les homéopathes a trait au problème récurrent des bonnes préparations homéopathiques. Et chacun de vanter l’intérêt des petits laboratoires au détriment des grands, Boiron en tête.
Nous savons que nombre de tubes homéopathiques en plastiques sont légèrement pollués par des champs magnétiques plus ou moins forts, issus de la manutention et surtout lors du transfert vers les centres de distribution puis vers les détaillants.
Il va de soi que le petit laboratoire de proximité qui fabrique ses produits à la demande et au coup par coup, en vente directe, aura statistiquement moins de risque de fournir des remèdes aussi pollués qu’un grand Labo distant (à condition de rentrer chez soi à pied et non en voiture).
Les préparations magistrales composées.
Les préparations magistrales, qui consistent à faire des mélanges de remèdes homéopathiques, nous semblent incohérentes quand elles font cohabiter des 4CH avec des plus hautes dilutions.
Les mélanges homéopathiques dits « complexes » ou « composés » en HD sont très peu nombreux. Ils sont le fruit d’heureux mélanges de substances complémentaires cohérentes.
CONCLUSIONS.
L’abord pulsologique de l’homéopathie nous montre que tout remède de HD est porteur d’une forte information spécifique, d’une vraie signature.
Elle nous révèle la barrière, la discontinuité qui sépare la majeure partie des remèdes bas dilués jusqu’à la 4CH des remèdes haut dilués de la 5CH à la 30CH voire à la CMK.
Cette barrière rend compte du procédé empirique des homéopathes classiques qui les ont amenés, progressivement, à fixer à 6 ou 7CH la dilution des produits en expérimentation sur des volontaires à la fois sains et réceptifs.
L’homéopathie, définie à partir des HD, ne peut intégrer le domaine des basses dilutions (allergènes). Une pathogénésie stricte de certaines basses dilutions resterait à établir.
La Pulsologie conforte aussi, par le biais des fréquences lumineuses et par les couleurs, la notion de la meilleure dilution possible au moment de l’examen. Toute substance homéopathique est donc porteuse d’une information spécifique susceptible d’entrer parfaitement en résonance avec un patient.
Nous revenons enfin sur l’intérêt de la « réaction d’écart / contact » en homéopathie de HD.