12 – EFFACER LE PRATICIEN : Selfie in vivo ou Prénom-Nom

 

Il s’agit ici d’une étude pulsologique visant à évincer le Praticien du champ de son malade.

L’état oscillant.

Les oscillations pulsologiques relèvent-elles de la substance pharmacologique, de la photo du malade ou du praticien qui les mesure ?

Mon selfie

Pour m’en convaincre, j’eus recours au portable affichant mon selfie in vivo et je le plaçais au bas de l’écran du PC, face à moi.
Quel effet ? : Mon selfie  me figea : mes divers champs cutanés réels cessèrent d’osciller et disparurent. Conséquence : la photo d’un malade affichée sur l’écran cessa d’osciller aussi.

Bref, le praticien est le seul responsable de l’état oscillatoire des photos de malades ou de médicaments sur lesquels il travaille.

Mon « Prénom-Nom »

Pour pallier le selfie qui introduit dans le champ d’examen un smartphone, instrument doté d’une batterie, j’entrevoyais une solution chimérique, irréelle.

J’ai déjà décrit, ailleurs, une expérience sérieuse : quand on affiche sur l’écran une photo de comprimé pharmaceutique et à proximité, sans contact, le Nom pharmacologique cadré de ce comprimé via Paint, une résonance s’établit entre les deux « images ». Un lien existe entre la substance et le Mot qui le représente. Si le Nom est remplacé par un autre, le comprimé n’entre plus en résonance. Cette petite expérience sera capitale pour l’évolution de notre recherche.


J’eus donc recours au Verbe, au Mot, à mon « Prénom-Nom » en guise de selfie. Et cette affichette fut elle-même placée en bas de l’écran, en son milieu. Elle donna le même résultat que mon smartphone !

Est-ce à dire pour autant que le selfie in vivo ou le Prénom-Nom m’ont neutralisé ?
Dans les deux cas le système oscillant biologique est bloqué. Mais les tests au pouls sont devenus impossibles.
L’état oscillatoire du praticien doit être en partie conservé ; c’est son état informatif qui doit être neutralisé…

 

Le Bristol, porteur du Prénom-N, apposé sur le Pulsologue

Le modèle le plus adéquat est le suivant :

 

Ce Bristol est plaqué contre le sternum du Pulsologue et suspendu, via une cordelette en circuit fermé, autour de son cou. Le Nom en blanc sur fond noir de ce Bristol regarde le sternum.

C’est alors que l’état oscillatoire des images de l’écran oscille de nouveau.

Mais l’information émanant du praticien est-elle neutralisée ? A l’analyse de ses champs cutanés, il s’avère que le corps et la tête sont neutres, ainsi que les ¾ des membres : seuls les avant-bras inférieurs (et les Jambes inférieures) ainsi que mains et pieds réagissent au stylo universel. Ce signe particulier permet donc au pouls de s’exprimer.
Question : l’information qui émane des extrémités du Pulsologue interfère-t-elle dans les tests de remèdes faits pour un malade ? En principe oui. Cette info parasite peu le test, 1 %.

Ce faible taux revient à la prise de son pouls par le praticien : la pulpe du pouce G est neutralisée par la peau qui recouvre le pouls D. Seuls les doigts gauches qui reposent sur la partie externe du dos de la main D font problème. L’auriculaire et l’annulaires G  sont neutralisés par ce dos externe (côté pouce) D ; le médius, fort de ses 4 champs n’intervient pas ; seul l’index G n’est pas neutralisé au contact de ce dos de main D externe.

Il faudra donc veiller à laisser cet Index G en suspend au-dessus de la main D lors de l’auto-prise du pouls ou à le fléchir de telle façon que c’est l’ongle et non la pulpe qui contacte le dos de la main D.