13 – LA DÉPOLLUTION A LA LABRADORITE


Cette étude s’inscrit dans le cadre des problèmes de dépollution des substances réelles biologiques et de leurs supports.

 

Les supports.

Cette variabilité de l’intensité de l’information émise a une origine : les supports, les contenants.

Ainsi sur cent sachets Minigrip vierges en regard d’un trèfle G, vingt émettent une résonance, plus ou moins importante (entre 20 et 1P), signe de non-neutralité.
Idem pour les Anneaux-Tests neufs ; ce ne sont pas seulement les rondelles noires qui sont en cause mais les plaques transparentes (généralement une seule des deux) ; 30% des AT sont pollués.

J’ai donc poursuivi sur cette piste et noté que 10% des tubes homéopathiques sont identiquement pollués.
Il en va de même avec les blisters pharmaceutiques

Minigrip et AT sont des produits dérivés du pétrole, des polyéthylènes très instables. La pétrochimie et ses vapocraqueurs engendrent des molécules insaturées et fragiles ; ainsi le polyéthylène de basse densité est sensible aux rayonnements UV qui les modifient. Cette fragilité, cette malléabilité des produits insaturés est à la fois un inconvénient et un atout ; nous y reviendrons.

 

Le transport routier

Nous savons que toutes les substances composant les supports de médicaments sont surtout polluées, lors de leur transport, par le champ magnétique des alternateurs de voitures ou de camionnettes depuis le grossiste jusqu’à la pharmacie.

Cette pollution est encore plus forte quand, partant en vacances, vous faites cinq heures de route avec vos remèdes allopathiques personnels dans vos bagages ; ils perdent les ¾ de leur efficacité clinique à l’arrivée !

 

La fabrication du médicament

Nonobstant leur nature chimique, les instruments physiques de leur fabrication interviennent aussi dans leur pollution.

 

La solution.

Nous l’avons déjà signalé, la solution la plus adéquate pour dépolluer un médicament dans son support est d’avoir de nouveau recours au cristal de Labradorite qui est très équilibré et dont l’information est neutre. La boîte ou le blister sont mis en contact étroit pendant une minute ou deux.

Mais au lieu de l’utiliser sous sa forme réelle, nous l’utilisons sous sa forme numérique et amplifiée. Nous faisons des expositions individuelles pour chaque substance médicinale en son étui et ce de manière rapide.