13 PRÉSENTATION SOUS FORME PLANE DES CHAMPS DE TORSION ET DES BIOCHAMPS

13 – Mots-clés : Anneaux-tests , champ de forme , formatage , géométrie plane , SW à Tilcotil , zone dépolie et encrée ,

Diverses expériences et constatations nous conduisent à faire le point sur une notion équivoque voire obscure, celle du rapport qui lie d’une part les champs de torsion (CDT), les champs biologiques (CB), émanant des substances, et d’autre part les plans géométriques qui découlent de leur présentation.

L’information que nous manipulons en Pulsologie doit se plier à des conditions cohérentes, se soumettre à une géométrie plane. Les informations volumiques doivent subir une sorte de formatage plan pour pouvoir être analysées, discriminées, afin de restreindre les interférences auxquelles elles sont assujetties.

Abstract: Various experiments and observations lead me to take stock of a badly perceived concept, that of the relationship between the no EM fields which emanate from the substances and the geometrical plans which come under their presentation. Information that we handle in Pulsology must submit to coherent conditions related to a plane geometry. The volume of information must to undergo a kind of plane formatting to be able to be analyzed, classified and discriminated, to limit the interferences to which they are subjected.

1/ Anneaux tests.

Pour introduction, nous prendrons en considération cette observation. Elle concerne les Anneaux-tests et leurs lames transparentes, élaborées à l’initiative du Dr P. Nogier. Les AT de première génération étaient asymétriques : une languette de préhension était ajoutée à l’Anneau et une étiquette encollée se trouvait sur un seul côté de la languette. Les AT de seconde génération sont encore plus asymétriques puisqu’une plaque transparente centrale est plate et l’autre pourvue d’un évidement central. Bien que planes les deux plaques ne sont pas morphologiquement identiques.
Résultat, ces AT ne sont pas neutres, ils induisent une différence d’information par rapport à des plaques circulaires vraiment symétriques.

2/ Les sandwichs gris.

Nos méthodes de tests de remède favorables se font à partir de la salive du malade placée en sandwich gris sur la table d’examen. Outre le fait que la salive est posée sur un papier filtre et insérée dans un sachet Minigrip plan, intuitivement nous avons toujours veillé à ce que les deux feuilles de papier gris, qui font sandwich, soient deux rectangles identiques, superposables. Et nous avons souvent pensé que ce procédé délivrait une information plane, ce que nous pouvons appeler un « champ de forme ».

S’il contient une salive, toute la surface du SW émet un CDT. En revanche le pourtour du SW, représenté par la fente, émet un CDT opposé. L’information émise par la salive est planifiée par le SW : sa surface s’apparente à l’axe central, sa fente à la plage qui l’entoure.

Particularité des feuilles qui réalisent les sandwichs gris autour du sachet salivaire. Il n’est pas nécessaire qu’elles soient parfaitement conjointes. Une feuille peut glisser par rapport à l’autre, le résultat est le même. Ceci signifie que l’identique morphologie des feuilles plus que leur superposition parfaite importe dans l’effet recherché.

Le Minigrip qui enferme le coton-salivaire n’est pas totalement exempt de critique puisqu’une de ses faces présente des zones dépolies nécessaires à l’identification de son contenu via l’encre d’un stylo. Cette discrète asymétrie peut entraîner de légères anomalies selon que la surface écrite regarde vers moi ou vers l’écran du PC ; ceci est en partie lié à l’heure à laquelle l’analyse a lieu.
Mais en réalité cette identification repose sur les Nom et prénom du malade et sur la date du prélèvement. Or nous avons vu, ailleurs, que ce Nom daté contient autant d’information, sinon plus, que ce qui est transmis par la salive. Cette zone dépolie et encrée est en définitive plus bénéfique que gênante.

3/ Planification des médicaments.

Depuis 1979, nos médicaments sont classés dans des AT ou dans des Sachets Minigrip. Et dès le départ, nous avons été contraints d’écraser les comprimés allothérapiques avant de les placer entre les deux plaques symétriques de première génération. Idem pour les comprimés sous sachets.

Cependant ce ne fut pas toujours le cas : quand un patient apportait un comprimé à tester, il était placé dans un sachet mais, par manque de temps, il n’était pas toujours écrasé, il gardait sa morphologie d’origine. Ce médicament non écrasé et classé, répondait plus faiblement lors du test de remèdes. Entre un comprimé brut favorable et un même comprimé écrasé en poudre, la réponse peut varier de 6 Pulsations pour le premier à 30 pour le second. Les médicaments doivent donc être « planifiés », écrasés dans les sachets.

4/ Les plans axiaux du cristal.

Autres exemples de champs plans. Nous nous servons de la Labradorite, un système cristallin. Nous avons découvert, à côté de ses qualités informatives dépolluantes, que ce cristal possède deux plans axiaux orthogonaux.

Autre particularité, ces plans axiaux entrent en résonance avec le plan d’un « trèfle » quand ces plans sont dans le prolongement l’un de l’autre.

Les cristaux de Labradorite, malgré leurs plans axiaux, se présentent sous forme de volumes. Nous avons conçu d’en écraser certains, de les réduire en poudre et de les placer dans de fins tuyaux souples, incurvables : selon la courbure et la longueur du tuyau, les sites des champs de torsion de la poudre de Labradorite se modifient.

5/ Les plans nodaux.

Nous venons d’y faire allusion. Les nœuds de trèfle sont globalement des plans. Ces trèfles (à la fois tores et rubans de Moebius) sont aplatis et glissés dans un sachet Minigrip.

Note : Notre préférence se porte sur les trèfles nus, sans l’étui discrètement asymétrique du Minigrip.

Ces plans nodaux, ces trèfles, ont le pouvoir de déceler les failles telluriques ou les prises de terre électriques qui se présentent sous forme de plans de torsion ou de dièdres.

 

6/ Les points d’acupuncture plans à coordonnées orthogonales.

Depuis longtemps nous avons montré que le point d’acupuncture se situait à l’intersection de deux droites orthogonales sur le plan cutané. Nous avons aussi montré comment s’effectuait le découpage du tégument en 32 champs en damier (16+ & 16-) où alternent les champs B+, N+, B(-), N(-).

Existe-t-il un rapport entre la présentation plane des remèdes, des salives et les plans cutanés ? On peut dire que oui. Si nous posons sur la peau le sachet d’un comprimé brut Y de médicament allopathique, nous trouvons une projection cutanée en un point très petit. Si nous posons sur la peau un sachet de Y en poudre (après l’avoir planifié par écrasement au pilon), nous trouvons un vrai point d’acupuncture avec ses deux orthogonales.

Les deux orthogonales d’un point sont détectables à distance (dans deux plans imaginaires perpendiculaires à la peau). On note que ces lignes cutanées orthogonales sont la base de deux plans perpendiculaires à la peau. Un trèfle disposé en parallèle et dans la continuité de ces deux plans entre en résonance avec eux.

7/ Plan de résonance entre deux médicaments identiques éloignés dans l’espace.

Plaçons un anti-inflammatoire tel que du Tilcotil® plan, en SW gris. Ce SW est posé sur un plan horizontal dans une salle ; un second SW Tilcotil® est déposé dans une autre salle (à 10 mètres de distance) sur un autre plan horizontal (la hauteur au sol de ces plans est une variable sans importance). Nous constatons alors, au pouls, l’apparition d’un plan vertical, illimité en hauteur et limité en longueur (les 10 mètres de distance) ; ce plan passe par les deux SW.  Quel que soit l’endroit où l’on se place (auprès de ce plan), un rebond du pouls signale à tout coup que les mains (ou un plan de trèfle ou un détecteur-stylo) franchissent le plan ; juste avant ou juste après le plan, le pouls retrouve le silence initial.

Si, maintenant, nous inclinons légèrement un des deux SW à Tilcotil®, si nous rompons le parallélisme, la résonance n’a plus lieu et le plan vertical disparaît.

Ce plan vertical passant par les deux SW horizontaux est l’issue de Champs de forme cohérents.

Ajoutons que ce phénomène n’est pas spécial au Tilcotil® ; n’importe quelle substance en double ferait l’affaire. Deux SWS identiques issus d’une même personne par exemple.

8/ Répartition spatiale de remèdes numériques sur l’écran.

 

Nous savons que les tests de remèdes numériques se font, non seulement à partir des SW salivaires parallèles à l’écran, mais aussi à partir des remèdes affichés et activés sur l’écran. Tous sont dans le même plan.

CONCLUSION.

Que retenir du système que nous venons de décrire ?

La théorie du plan ou du formatage planifié semble robuste en Pulsologie. Entre autres, elle préside à la maîtrise du champ d’examen et à celle des champs biologiques. On ne peut faire l’impasse sur cette notion.