12 BIOLOGIE NUMERIQUE
12 – Mots-clés : axe vertical , J. Benveniste , bouche , champ de forme , contexte , détourage , enregistrement , interface de sw , isomorphe , microphone , oreillettes , plages inhomogènes , pureté du point , soustraction , support , SWS , tunnel , Visuels ,
Après avoir lu et fait lire le livret de J. Benveniste sur ce sujet : « Ma vérité sur la « Mémoire de l’eau » (Albin Michel) », A. G. (électronicien) eut une intuition. Il considéra que le solénoïde enregistreur (plongé dans un liquide) employé par J. Benveniste était simple et que l’entrée d’un microphone, étant équivalent à une inductance au niveau électronique, pouvait jouer le même rôle que ce solénoïde et pourrait peut-être donner des résultats
équivalents (dans l’air). Il m’adressa donc par mail un enregistrement audio de Sulfur pour savoir ce que j’en pensais.
La lecture se faisant sur Windows Media, une résonance du Sulfur 9CH réel et du Sulfur numérique émanant de l’Ecran du PC, en visualisation seule, se produisit sur mon pouls, de manière faible mais réelle. Cette résonance se produisit aussi face aux seuls haut-parleurs lors de la lecture de la bande sonore.
L’étude des caractéristiques des substances, pharmacologiques ou des salives, enregistrées par le magnétophone du PC fut donc entamée.
ENREGISTREMENT SALIVAIRE.
Le microphone, étant posé sur un sachet contenant un prélèvement salivaire, le tout formant un sandwich salivaire (SWS), enregistre l’information électromagnétique (EM) et non EM (Bio champs) contenues. Il n’y a plus qu’à lire sur Windows Media (avec répétition en boucle du lecteur) le fichier et le message qui émane du SWS.
Il est possible, grâce à un logiciel Audio d’améliorer le « message », de l’amplifier, et aussi de visualiser sa bande passante de manière fixe.
Le champ d’enregistrement.
Nous ne sommes plus dans une salle d’examen protégée mais dans une autre pièce où se trouve le PC.
Sur la table de ce PC se trouvent le moniteur (l’écran), une souris et en dehors de la table, l’ordinateur, un microphone et quelques autres appareils comme le Modem, une base de téléphone sans fil…
Naturellement tous ces appareils sous tension ne doivent pas être sources de distorsion magnétique pour notre enregistrement.
La salive doit être dépolluée.
Il convient que la salive (ou le médicament) subisse une préalable dépollution. Sinon la pollution serait aussi enregistrée.
Cette dépollution du sachet Minigrip et du SandWich fait de deux papiers gris isomorphes qui l’entourent se fait par exposition au biofilm de Labradorite numérisée, affiché sur l’écran.
Le praticien doit être dépollué.
En particulier quand il a tenu un smartphone en main un certain temps ou quand il sort de voiture…il est pollué.
SOUSTRACTION DES SUPPORTS DU PRODUIT ENREGISTRE.
Qu’entendons-nous par « support » de la salive ou d’un médicament ? La salive repose sur un coton-tige, lequel est enfermé dans un sachet Minigrip. Le médicament peut être dans un simple Minigrip ou déposé (sous forme liquide) sur une pastille de papier-filtre insérée elle aussi en sachet (ou placée dans un Anneau-Test). Le sandwich gris, au sein duquel est placé le Minigrip, n’est pas totalement neutre ; il représente un premier support. La table en bois, sur laquelle sont posés Minigrip et sandwich, forme un autre support. Ces divers éléments sont enregistrés de manière simultanée avec la substance biologique ou médicamenteuse. Nous sommes arrivés au constat qu’il fallait soustraire ces supports pour obtenir un enregistrement purifié des dites substances médicinales.
Revenons à nos supports. En mixant (comme le permet le logiciel) le remède-Minigrip avec un Minigrip-témoin inversé, l’information de la substance pure est obtenue. La résonance devant l’écran entre une substance réelle en SW et son sosie numérique purifié est plus intense qu’avec son sosie numérique avant sa soustraction.
Impératif permanent : pour tout enregistrement, tous ces supports doivent être identiques et constants. On ne peut également avoir une bonne soustraction des supports que si ces derniers sont eux-mêmes bien dépollués avant la réalisation de ce « support numérique inversé de référence ».
En bref, nous devons soustraire le contexte d’enregistrement. A l’arrivée, l’enregistrement doit être assez pur.
Le niveau sonore ambiant d’enregistrement, qui est capté aussi par le micro, est généralement silencieux.
Les logiciels musicaux ont tous la possibilité de soustraire les bruits de fond. Mais nous sommes ici devant un paradoxe : on ne peut pas soustraire le bruit de fond sans annihiler le CDT qui émane de la bande passante et ce faisant l’info biologique que le CDT porte. Ce paradoxe avait déjà été signalé par le Pr Luc Montagnier bien qu’il ne connût pas cette notion de CDT.
http://www.agoravox.fr/actualites/technologies/article/quand-luc-montagnier-fait-remonter-48506
A LA RECHERCHE D’UNE FIXITE PERMANENTE AU CŒUR D’UNE SUBSTANCE ?
Les observations qui nous ont mis sur la voie.
La première concerne les trèfles. Nous avons constaté, très tôt, qu’un trèfle émet et perçoit un CDT mais que ce champ est centré par un axe orthogonal très fin en CDT opposé.
Il s’avère que toute substance biologique est également centrée par un axe en dehors de tout champ bipolaire avoisinant. Nous évoquons donc cette hypothèse : l’opposition entre la plage numérisée et son axe central est-elle à l’origine de son état oscillatoire ? Cet axe central ne mérite-t-il pas que nous nous focalisions sur lui ?
Nous avons ainsi découvert que les photos de malades qu’on trouve sur les sites de recherche étaient aussi traversées par un axe. En réalité cet axe est perpendiculaire à l’image, c’est donc un point axial qui est décelé.
Ces axes centraux semblent tous oscillants.
Nous avons changé souvent d’avis, de cap pour que notre voilier avance au petit largue ou au plus près.
Pour répondre à cette question de la fixité nous avons été soumis au cours du temps aux divers détecteurs que nous avons expérimentés, améliorés, dématérialisés, spiritualisés.
Mais quelle que soit l’amélioration accomplie, il a fallu nous rendre à l’évidence que toutes les substances oscillent et cette oscillation n’est pas le fruit de l’opposition entre une plage biologique et son axe central.
Elle semble résulter d’une oscillation continue entre l’axe et la plage.
Quel que soit la nature de l’axe c’est maintenant lui qui va faire l’objet de nos recherches et de nos enregistrements.
LA MÉTHODE D’ENREGISTREMENT
A partir du SWS
Le Micro est posé sur le SWS (plus ou moins près de l’écouvillon) ou sur le Sandwich médicamenteux. Il est un peu surprenant que les enregistrements soient dans l’ensemble assez bons malgré cet « à peu près » lors de la pose du micro !
Nous avons déjà énuméré les qualités endogènes du SW gris isomorphe, en particulier nous avons évoqué le formatage, le champ de forme qu’il imprime à son contenu. Il possède une autre qualité : le Biochamp qui émane du SW salivaire est uniformément + sur toute sa surface externe et (-) sur son pourtour. Et c’est bien ce Biochamp + qui donna de la consistance à nos enregistrements anciens.
Le « + » a vu son interprétation varier. Il était au début attaché à un champ de torsion, à une Latéralité, puis à des Biochamps plus subtils.
Ce qui importe, c’est de retenir que cette surface du SW équivaut à un axe central de la substance incluse, d’où la qualité assez bonne des premiers enregistrements.
A partir d’une photo
Venons-en à l’enregistrement du point axial d’une photo de malade proposée par le Web. Ici les choses deviennent plus complexes en raison de l’absence de SW.
Si la photo est « intense » via le détecteur, au milieu d’une plage se trouve le point axial : si l’on place le stylo universel (bien induit) en regard du point axial, on décompte 40 ou 50 pulsations de même intensité : ceci permet d’estimer la pureté du point. Certaines photos de coupes histologiques nous offrent ces cas de figure.
Le plus souvent ce point axial ne dure que 10 ou 20P ! Et tout de suite après se révèlent une ou des plages inhomogènes sur la photo : des zones A jouxtent des zones B. Et si les zones A et B sont de surfaces identiques, toute la photo oscille et le point axial est éphémère, ne dure qu’une ou deux pulsations, se déplace, se dédouble entre les deux zones.
Naturellement, l’Appli Paint permet de découper, de rogner les zones A intempestives jusqu’au moment où ne subsiste qu’une plage B bien détourée avec un point axial fixe, fort et d’intensité continue.
Ces zones A et B juxtaposées sont souvent inattendues au sein de photos homogènes. Des manipulations de photos ? Des chevauchements sur plusieurs cases du damier cutané ? Difficile à dire arbitrer.
Les photos de malades.
Ce sont celles qui méritent le plus de découpages. Et pourquoi ? Nous le savons depuis longtemps : nous devons nous reporter au Chapitre « répartition des champs cutanés ». Le revêtement cutané est constitué de 32 champs en damier. Or il s’avère que ces champs cutanés en damier sont soit A soit B.
En conséquence, il faut découper, détourer la photo pour obtenir un mono-champ. Au centre se trouve le point axial qui se confond souvent avec la cible : la lésion elle-même.
Les Radiographies ou les IRM
Si les champs cutanés n’interviennent pas, ici en revanche la latéralité intervient. Il ne faut conserver qu’un seul cerveau ou qu’un seul poumon pour pouvoir ceindre, encercler un champ stable. Il faut aussi, souvent, détourer le pourtour de l’organe.
Les organes médians
Le Rachis ou simplement le nez doivent être découpés, via le pouls, avec soin car ils représentent les lignes frontières.
Le portrait d’un visage
Il est assez complexe en soi. Outre le fait qu’il se divise en deux côtés D et G, il comporte une anomalie : la bouche est à l’extrémité des deux grands méridiens Gouverneur et Conception. La photo doit donc amputer le maxillaire inférieur ; la ligne de séparation passant entre les deux lèvres. Le demi-visage supérieur devient alors homogène et porteur d’un point axial stable.
Repérage de l’axe central d’une Bande passante
Les BP audio, amplifiées ne sont pas des plages sans histoire. Elles ne sont que rarement homogènes. Elles comportent une ou deux plages A et C, souvent situées aux extrémités, qui oscillent en alternance avec la partie centrale B de la Bande. Il convient donc de rogner A et C.
Ce n’est qu’alors qu’un axe, fixe localement, stable dans le temps, peut être trouvé.
Cet axe central n’est pas un point mais une ligne verticale située vers le milieu de la partie B.
Toutefois, c’est au milieu de cet axe vertical, à l’intersection avec l’abscisse, qu’un point axial plus intense est repéré.
Repérage du point axial avant tout enregistrement
Sur l’image qu’affiche Paint, nous ajoutons la grille proposée et nous marquons le point X dans une des cases de la grille. Elle servira de repère lors de la pose du microphone USB.
Caractères de ces enregistrements du point X
Cette BP X représente une information spécifique émanant de la salive (SWS) ou de l’image détourée. Pour une même spécialité, tous les remèdes disponibles peuvent donc être réunis, alignés en ordre alphabétique en une seule liste. Ainsi, quand deux substances opposées se jouxtent dans une liste, elles n’interfèrent pas, chacune gardant son autonomie, son identité informative, lors des tests.
Les Tests thérapeutiques, directement sur écran du PC, en sont largement facilités : à côté de la liste médicinale numérisée (placée à gauche de l’écran) se trouve la plage salivaire pathologique (numérisée ou en SW réel placée à droite).
STRUCTURE DES BIOCHAMPS ISSUS DE BP ?
La Bande passante qui figure sur le logiciel WavePad émet un Biochamp X en tunnel (de diamètre égal à celui de l’écran ou plutôt de la surface du Biochamp. A l’instar du CDT qui le porte. Mais la périphérie du tunnel n’est pas silencieuse pour autant.
Dans le cas de notre Biochamp X en tunnel qui pulse en long, nous constatons la présence d’un halo périphérique H qui pulse en travers.
Si donc nous nous exposons à un tel Biochamp mixte, émettant un champ + et un contrechamp (-), le résultat de l’exposition semble nul. Il n’en est rien car nous sommes en réalité devant un Biochamp non pas mixte mais oscillant, vivant.
L’abandon des Biochamps Audio mp3.
Certains utilisateurs des MP3 s’appliquaient les remèdes par casque audio ce qui est malsain en raison des champs magnétiques très polluants des bobines des oreillettes.
Actuellement tous nos Biofilms sont des Visuels, plus faciles à réaliser (26).