7 LA SALIVE ET L’AIDE AU DIAGNOSTIC
7 – Mots-clés : Pts d’ Acup , point axial , champ de forme , information devient fixe , l’effet miroir , Organo , règle Midi-Minuit , résonance par opposition , résonance par similitude , SWS , SWS et enfants , salive nocturne , vrais jumeaux , schéma corporel ,
Le langage du pouls est assez simple, il est fait de binômes, de silences et d’états oscillatoires. Les points d’acupuncture, révélateurs pathologiques, sont bien définis. Les substances biochimiques sont classées de manière alphabétique dans chacune des spécialités auxquelles elles appartiennent.
L’étude clinique, qui vise à aboutir à un diagnostic, doit être abordée. Certes elle s’adresse à des médecins formés à l’examen clinique et familiers des investigations paracliniques. La Pulsologie peut concourir cependant au diagnostic en s’appuyant sur l’étude des salives.
Les Salives des patients dans leur sandwich (SWS) doivent être préalablement dépolluées.
Ces salives sont très intéressantes : ce sont des documents chargés de puissantes informations. Mais ces dernières interfèrent avec le praticien lui-même : les points affichés sur le malade ne sont plus alors purs. Le praticien applique alors l’effet miroir pour se neutraliser.
En théorie, les salives provenant de patients atteints d’une même pathologie affichent, sur le corps et les oreilles des points d’acupuncture localement proches sans être identiques. Les salives des pathologies rares peuvent ainsi constituer une salivothèque de Diagnostics de référence.
Les tests organothérapiques nous aident à localiser une pathologie, ils sont bien sûr insuffisants quant au diagnostic étiologique.
INTRODUCTION A L’ÉTUDE DES SALIVES
La salive d’un malade est le reflet exact de son état pathologique, au même titre qu’un échantillon urinaire. Elle émet des champs oscillants comme les CDT, ceux dits de « Latéralité » et les Biochamps, voire les champs Médiumniques.
Les champs oscillants physiques portent les champs informatifs de l’état pathologique mais aussi de l’état génétique sous-jacent. Les salives peuvent être réinformées après dépollution.
Les caractères les plus intéressants de la salive : facilité de prélèvement, conservation prolongée et document d’un instant. Elle permet de recueillir des informations variées selon l’heure à laquelle elle est prélevée : une salive nocturne prise en pleine crise (angor, asthme, colique hépatique) sera plus « parlante » que celle prélevée à 12 heures d’écart, avant ou après la crise. Elle varie même entre le moment de son prélèvement préalable, avant soin, et le moment du prélèvement final après soin (après acupuncture par exemple).
Un coton-tige frotté contre la langue et la face interne des joues suffit.
Le prélèvement sera déposé dans un sachet Minigrip au Nom du malade avec la date ; le tout sera dépollué systématiquement à la Labradorite. Ainsi préparée, la salive, malgré sa lente oxydation et dégradation, reste informative pendant au moins dix ans ce qui permet de conserver un document comparatif et de constituer une « salivothèque ».
Sa puissance informative, qui repose essentiellement sur ses Biochamps est le caractère fondamental d’une salive. Mais elle doit être formatée (subir un champ de forme) pour se différencier des salives du voisinage.
Les Biochamps peuvent ainsi subir un champ de forme plan. Ils s’opposent aux champs électromagnétiques, qui diffusent en tous sens et qui ne sont pas formatables.
Pour la formater, nous plaçons la salive (dans son Minigrip) en sandwich (SW) entre deux feuilles de papier Canson gris 122 ; ces deux feuilles sont isomorphes (même forme et même dimensions) : c’est le sandwich salivaire SWS.
L’information salivaire est ainsi planifiée, canalisée. Elle est en adéquation avec le champ plan d’un écran de PC. De plus cette information, spécifiquement formatée, ne peut interférer avec toute autre information provenant d’une autre salive non formatée ou formatée de manière différente.
Il convient de signaler un élément curieux qu’il faut respecter à propos du SWS accolé à la droite de l’écran : le Nom du malade inscrit sur le sachet Minigrip doit regarder vers le praticien et non vers l’écran.
Toutefois, chaque salive en SWS comporte un état oscillant (CDT). Mais cet état oscillatoire reflète la présence de l’observateur, du Pulsologue. Il convient donc de neutraliser ce praticien, via l’effet miroir de son propre Biofilm affiché dans un coin de l’écran. Le SWS perd alors son état oscillant et son information devient fixe.
SALIVE, ACUPONCTURE ET TESTS DE REMÈDES
L’examen d’un malade à l’aide de sa propre salive.
La salive, en sandwich gris, transfère et affiche ses informations d’abord sur la peau. Le SWS peut survoler la peau du patient ou être posé sur un des 32 champs cutanés en veillant bien à ce qu’il ne chevauche pas un au champ cutané proche du damier.
Le SWS affiche ainsi ses points d’acupuncture pathologiques avec force, à la fois sur son propre donneur, mais aussi sur le praticien ce qui aboutit à ceci : les deux protagonistes semblent réagir en parallèle. L’effet bulle les transforme en « vrais jumeaux ». Il y a donc bien interférences mutuelles entre patient et praticien. De sorte qu’on peut considérer que les points affichés par la salive n’appartiennent ni à l’un ni à l’autre.
C’est ici que la neutralisation du praticien s’avère indispensable. D’où la nécessité du recours à l’effet miroir :
Le smartphone adossé au bas de l’écran peut aussi afficher le visage retourné du praticien.
Une petite photo d’identité retournée horizontalement (via Paint) peut occuper le bas de l’écran.
Le Nom retourné du praticien, à lui seul, peut occuper aussi le bas d’écran.
Son Prénom et Nom peuvent être écrits sur un Bristol et ce dernier, via deux trous, est maintenu par une cordelette circulaire autour du cou ; le Nom est retourné horizontalement comme ci-dessous, le Bristol reposant sur mon sternum et le Nom retourné regardant en arrière, vers moi.
Nous obtenons alors l’affichage des vrais points pathologiques du SWS, soit sur la peau du malade soit sur un schéma corporel annexé.
Étude indirecte d’une salive, par transfert sur un tiers, pour contrôle expérimental.
Les deux protagonistes de la bulle ne sont pas forcément le patient et le praticien. Le malade peut être remplacé par un sujet d’emprunt. Ici encore le SWS imprime ses points d’acupuncture sur les deux sujets tiers : le sujet d’emprunt et le praticien.
Un double effet miroir est alors exigé, celui du tiers et du praticien : leurs images sont toutes deux affichées sur l’écran proximal. Le SWS, posé sur un des champs cutanés du damier, fait apparaître les points salivaires.
Le praticien prend son propre pouls et cherche ainsi les points d’acupuncture ou les remèdes favorables. Tout ceci se fait via les divers détecteurs universels.
Purification préalable de la salive.
Pollution de la salive. A la suite de son parcours postal, la salive fraîche du donneur est presque toujours plus ou moins polluée. Cette pollution touche le coton-tige, son emballage et la salive elle-même. L’ensemble inséré dans un SW gris isomorphe, doit être exposé à l’enregistrement amplifié de Labradorite numérisée. Le SW salivaire, tenu en main droite à 20 cm devant l’écran, est exposé à la LBD ; la distance à l’écran est idéalement ressentie au pouls qui nous donne la position de résonance optimale ; en une minute, l’ensemble est dépollué.
De l’usage des SW Salivaires à propos des enfants.
L’application la plus intéressante des autotests (tests indirects via le praticien et son pouls) concerne la salive des nourrissons et des jeunes enfants dont le pouls (souvent instable) et l’agitation naturelle sont des handicaps à l’examen direct. Les tests sur la salive d’un enfant sont intéressants ; non seulement ils concourent au diagnostic d’affections plus ou moins apparentes mais également à la thérapeutique.
Nul n’ignore aussi les problèmes éthiques actuels concernant la prescription aux petits enfants de remèdes d’adultes. Or notre procédé nous montre que certains remèdes sont favorables aux enfants…alors que le Vidal les déconseille appliquant le principe de précaution.
Et, en dehors des Pulsologues, nul n’a les moyens de se faire une opinion sur l’intérêt qu’une molécule peut représenter pour un enfant à titre individuel. La numérisation des médicaments nous montre parfois que certains remèdes désuets peuvent être forts utiles.
De l’usage des SW Salivaires à propos des malades au pouls inexploitable
Cette application de l’autotest vise les sujets au pouls filiforme et difficile.
Ils sont même irremplaçables pour des malades en collapsus (centres antipoison).
Ils sont indiqués aussi pour les malades sans pouls (dialysés, maladie des femmes sans pouls de Takayashu).
SALIVES ET DIAGNOSTIC.
Analyse d’une salive Z à partir d’images Google
Si le praticien a une idée claire du diagnostic, il peut le contrôler en établissant un double affichage, celui du SWS (accolé à ‘écran) et une image ou des images proposées par Google d’une Hernie par exemple.
Une image d’Hernie discale Google résonne négativement en travers, vis-à-vis du SWS ; il s’agit d’un diagnostic direct, par résonance négative de similitude.
Analyse d’une salive Z en aveugle à partir de la salivothèque numérique.
Le point axial, défini par le stylo universel, de chaque pathologie, de chaque SW salivaire ou de chaque Bande passante Audio est fixe et enregistré et les classifications sont alphabétiques. Elle se présente sous forme d’un Biofilm, plan comme le SWS.
De plus les pathologies sont regroupées en spécialités parmi lesquelles se trouvent les maladies auto-immunes, les allergies, l’oncologie…
Le site www.soins-numerises.com comporte ces spécialités et permet d’élaborer un diagnostic indirect puisque le site est thérapeutique. En regard d’un SWS de Hernie discale, le « soin-numerise » propose un Biofilm de Hernie discale qui résonne positivement en long lorsqu’on scannérise, balaie les différentes thérapies pathologiques offertes.
Evidemment, aucune résonance ne se produit si la pathologie du SWS est une maladie rare non référencée sur le site.
INTÉRÊT DES ORGANOTHERAPIQUES
Nous avons déjà signalé cette classe de substances, les « Organos », que nous exploiterons autant à titre diagnostique que thérapeutique. Il s’agit, rappelons-le, de tissus spécifiques d’organes.
Comme toutes les substances biologiques, les tissus organiques émettent un point axial enregistrable thérapeutique. Beaucoup d’Organos sont inventoriés et classés par ordre alphabétique.
Ils se trouvent sur le site www.remedes-numeriques.com
Les tests sur les organes se pratiquent comme des tests de remèdes.
Ces tests organiques de localisation sont très fructueux pour orienter une recherche diagnostique. Ainsi, à partir d’un SWS et d’une collection d’organes on peut préciser avec assez de précision le tissu pathologique : le diagnostic de brides (adhérences) péritonéales là où d’autres confrères évoqueraient une lésion du Colon…Cette distinction a réellement été faite, à l’étonnement du chirurgien.
On peut aussi préciser l’état d’insuffisance ou d’hyperfonction d’un organe via les Biofilms axiaux.
Si l’Organo résonne en long, c’est qu’il doit être stimulé ; on peut alors s’appuyer sur la règle Midi-Minuit des acupuncteurs : chaque organe dispose de deux heures de prédilection pour sa pleine activité et de deux heures opposées pour sa mise en repos. Ainsi le cœur est au plus haut autour de midi et au plus bas autour de minuit.
S’il résonne en travers, c’est qu’il est en excès et doit être respecté. Il n’est pas possible de freiner un organe en pleine activité.
A partir de la salive maternelle, les tissus d’Organes génitaux permettent de faire rapidement le diagnostic de sexe du fœtus et ce dès la première semaine : il y a réaction d’antagonisme des tissus masculins pour les filles ou des tissus féminins pour les garçons.
Ce diagnostic se fait selon le procédé de diagnostic des substances nocives avec résonance d’opposition du pouls en travers, centre / Halo.
CONCLUSION
Une salive pathologique, un SWS en fait, possède un très grand pouvoir d’information. Elle est apte à transférer tous les points d’acupuncture du malade sur un sujet tiers sous certaines conditions.
A partir de ce phénomène fondamental le praticien devient capable de réaliser des autotests de remèdes qui lui permettent de dépister les principales médications favorables au malade qui a fourni le prélèvement salivaire.
Une méthode de localisation pathologique, basée sur les tissus organiques, emploie le même procédé.
Une résonance du pouls « en travers » existe entre deux salives de même pathologie.
Une méthode de contrôle de diagnostic est basée sur les thérapies de pathologies numériques de référence ; dans ce cas les pulsions de résonance se font en Long.