6 POINTS D’ACUPUNCTURE LEURS SITES
6 – Mots-clés : bivalence du Pt d’Ac , CEM, CDT sont fixes ou non alternatifs , champ pro somatique , Daniel Courty , dépollution , effet miroir neutralisant , embryologie lors du développement morphogénétique , Feutre à 2W , George Soulié de Morant , interférences acup/remède , Médius , Pt d’Ac de LM et latérale , Pt de Torsion de Lentz et chakras , Pt des champs Bio , Rhéostat , sites des Pts de Dr Nguyen Manh Don , stylos universels induits , Médium 41 et Spirituels , SWS et projection de Pts d’Ac
Les points d’acuponcture occupent des sites privilégiés.
1/ Les champs cutanés où se trouvent les points classiques connus (sur ou hors méridien).
2/ La ligne médiane (antéro-postérieure) du corps.
3/ Toutes les autres lignes qui limitent les 32 champs cutanés du corps
LE CHAMP D’EXAMEN
Maîtriser les Champs environnants
A/ Appareils électriques :
Les cdtG émis par les appareils électriques et issus de leurs Champs Electromagnétiques (CEM) ne sont pas très gênants. Les Champs biologiques ne sont guère gênés par ces CEM forts et leurs CDT dans la mesure où ces CDT ne transportent pas d’information biologique spécifique continue et intense.
Nous nous sommes pourtant astreints, à pourchasser les champs magnétiques. Le Rhéostat de la lampe halogène réalise, via sa bobine, une source de champ magnétique pur et très nocif par les phénomènes oscillants, non biologiques, qu’il génère au pouls. Nous pouvons neutraliser ce phénomène en plaçant l’axe + (-) en parallèle à la ligne médiane du malade ; ceci est toujours d’actualité et nécessaire.
B/ Substances médicinales.
Les CDT, apparemment les moins gênants, proviennent des substances médicinales. Ces CDT sont fixes, non alternatifs. Ils ont une faible intensité certes, mais ils sont très spécifiques de l’information qu’ils portent.
Les points d’acupuncture partiellement électromagnétique (EM), sont accompagnés de Biochamps (non EM).
Pour que ces points s’expriment normalement, il est nécessaire que des interférences n’aient pas lieu entre ces champs acupuncturaux et les champs issus d’éventuels remèdes favorables.
Tout remède favorable doit rester à distance et surtout ne pas se trouver en contact avec la table d’examen ou avec le malade qui doit être puncturé.
Maîtriser les champs biologiques
A/ Le champ Biologique du praticien déconnecté.
Nous en avons déjà parlé, pour désolidariser le praticien de la « Bulle » qu’il constitue avec le malade, tenu par son poignet au pouls, nous avons eu recours à divers procédés ayant chacun ses inconvénients.
A la longue, nous en sommes venus à ne plus entrer en contact avec le patient. Nous suivons sur notre propre pouls le déroulement de l’examen à distance de 10 à 20 cm de la peau. Les points d’acupuncture émettent des Biochamps coniques que le pouls du praticien est apte à capter sans ambiguïté, en direct et à distance.
B/ Le champ biologique du praticien neutralisé.
Même sans contact, il existe une zone informationnelle qui émane aussi du praticien.
Daniel Courty appelle cela « champ pro somatique ». Ce champ est aussi « péri-somatique » péridermique. Il entrevoit que l’information préexiste et provient possiblement de l’extérieur, elle va influencer l’intérieur du corps du sujet comme champ structurant (comme cela se produit en embryologie lors du développement morphogénétique).
Une intrication des zones informationnelles du patient et du praticien est donc prégnante.
Comment neutraliser le praticien ? Question considérable. Quand on se réfère à l’encyclopédie de George Soulié de Morant, on reste pantois devant cette profusion de recettes acupuncturales dédiées à une même maladie. On peut alors se demander si ces recettes ne sont pas spécifiques des acupuncteurs Pulsologues de renom de l’ancienne Chine, interférant avec des malades très divers.
Pour notre part, nous nous sommes ralliés à ce que nous présentons ailleurs : l’effet miroir neutralisant (18) (34). Pour ce faire, près du malade, l’écran du PC affiche en continu le Biofilm du Nom du praticien. Cet écran est en face du médecin, de l’autre côté de la table où se trouve allongé le patient
Et, miracle, l’effet miroir fonctionne, le praticien paraît volatilisé. C’est alors que le nombre de points classiques d’acupuncture se multiple, s’enrichit et s’intensifie.
C/ Le champ biologique du malade.
Lui seul nous intéresse. Faut-il encore qu’il soit « pur ».
Or à son arrivée, en cabinet de consultation, il ne l’est que rarement.
Le patient arrive vers vous presque toujours en voiture et ce depuis plus ou moins loin. Et, selon la durée du trajet, il est plus ou moins pollué par le fort champ magnétique émis par l’alternateur de la voiture.
Avant que tout examen pulsologique commence, nous l’exposons, via l’écran de notre Ordinateur, à un Biochamp de Labradorite. Et cette dépollution peut être plus ou moins longue (voire > 2 min). ; nous la suivons sur notre propre pouls.
Ce procédé est aussi employé à l’arrivée de tout prélèvement salivaire parvenu par courrier postal ; en réalité le SandWich Salivaire (SWS) est directement exposé au Biofilm de Labradorite.
DÉTECTEURS DE POINTS
Repérage des points par le Médius.
Ce procédé découle de la présence des quatre champs cutanés de base de l’extrémité du médius (16). Cette extrémité, par sa polyvalence propre représente un excellent détecteur.
Il faut être à 5 cm au-dessus du point pour que la résonance se produise. Ce procédé est donc réservé aux acupuncteurs cherchant des points précis classiques.
Toutefois le champ péri-somatique du praticien doit être neutralisé par effet miroir comme nous l’avons vu supra.
Repérage des points par stylos Monopolaires
Repérage des points par stylos universels induits à partir de Biochamps, d’origine médiumnique, polyvalents.
Les stylos eux-mêmes sont très modestes par leur prix de revient. Ce sont des stylos à mine comme ceux que les amateurs de mots-croisés utilisent. Et comme la mine est retirée, il ne reste que l’étui en plastique très fin à son extrémité ; c’est lui qui est induit pendant une minute par le Biochamp émis par l’écran du PC. Cette induction peut être suivie au pouls ; quand il se tait, le stylo est induit.
Le Biochamp fixe le plus intéressant fut le 41M. Ce Biochamp 41M est le produit du mixage des Biochamps de 41 Médiums célèbres (19).
Actuellement nous utilisons un stylo universel d’origine spirituelle (30) et sa version opposée, retournée horizontalement. On pourrait dire que l’un est meilleur pour ceux qui sont de « latéralité gauche » et l’autre pour ceux qui sont de « latéralité droite », en opposition de phase par rapport aux premiers.
Les détecteurs unipolaires universels de Biochamps sont deux, l’un pour le Matin l’autre pour le Soir, dès 14H en hiver.
LES DEUX FORMES DU POINT D’ACUPONCTURE
La description de ces différents types de points d’acupuncture est fondamentale sur le plan théorique. Elle impliquait une assez bonne acuité tactile : nous devions être capables de distinguer un point O en halo (Point Nul) d’un point X ponctiforme (point Centré).
Selon la tradition acupuncturale ces points O ou Nuls seraient des points de tonification ; ces points X ou Centrés seraient des points de Dispersion.
Cette interprétation est discutable ; tout point O est l’alter ego d’un point X parce que le Point d’acupuncture est une entité alternative, oscillante.
Confirmation pratique de cette bivalence : l’implantation d’une aiguille est surveillée au pouls : au cours de son action, il se produit une alternance décroissante en durée de points O & X centrée sur l’aiguille. Et si cette alternance dure longtemps le point peut être considéré comme tonifiant ; si elle dure peu (1 min) le point est dit dispersant.
Points de Lignes médianes du corps
Si la LM du tronc (Gouverneur et Conception) affiche de très nombreux points d’acupuncture, les Membres ont aussi des LM antérieures et postérieures.
Ainsi, les points des vaisseaux Maître du cœur et Triple Réchauffeur appartiennent aux Lignes Médianes des membres. Parmi les points « des LM » rappelons l’importance dueTchong-Kroe sur le médius, le Tchong-Tsiuan du milieu du poignet dorsal ou le Tcheou-Tsien à la pointe de l’olécrane, points hors Triple Réchauffeur ; des points très importants se trouvent sur la LM des membres inférieurs : milieu de rotule (hors méridien), Estomac 39, 41 et 43 en avant, Rein 1, Vessie 49, 50, 53 ou 54, 56 en arrière se confondent avec la LM.
Les points des Lignes latérales sont beaucoup moins nombreux en acupuncture classique. Nous y intégrons les points de Gros Intestin : GI 14, 15, 16, et 17 ;Intestin grêle : Ig 3 et 4 ; Foie 8 ; Rate-Pancréas : RP 3, 4, 6, 9, 10, 21 ; Rein 6, 8, 9 et Vessie 62, VB 39, 34, 31, 30, 25, 22, 21.
AFFICHAGE DES POINTS D’ACUPUNCTURE
Comment s’affichent ces points qu’évoque une pathologie ?
Normalement, via le détecteur universel et l’effet miroir, ils sont repérés assez facilement car leur présence patho-dépendante est spontanée sur la peau du malade.
Néanmoins, on peut s’aider par des biais indirects.
A partir de la salive du malade.
La salive du malade (sur coton-tige) est insérée dans un sachet Minigrip lequel est mis en sandwich gris isomorphe ; nous appelons l’ensemble un SW salivaire (SWS). Il est très important de se rappeler que les deux feuilles du SWS sont des feuilles identiques (rectangles gris en Canson 122). Ces champs de forme nous procurent des informations encodées très spécifiques qui isolent la salive concernée d’éventuelles salives non encodées
1/ En survol ou en champ cutané
Après avoir été dépollué à la Labradorite numérique, ce SWS peut être passé en survol au-dessus du corps, oreilles comprises du patient, l’effet miroir étant activé. Ce procédé permet de se faire une bonne idée des principaux points d’acupuncture, même si la localisation est floue.
En pratique, on dépose le SWS sur un des champs cutanés de la peau sans chevaucher un autre champ. Ce SWS peut alors renforcer l’information des Points d’acupuncture peu intenses.
2/ En l’absence du malade. A partir de l’écran du PC.
Le SWS est contre l’écran et accolé à sa droite. A gauche de l’écran sont affichées successivement les faces antérieures et postérieures d’un corps humain, sous forme de photo, ou encore, plus surprenant, sous forme d’un schéma dessiné représentant un corps humain.
Via le stylo universel, l’effet miroir et le pouls, les points majeurs sont localisés sur le corps schématisé. Ce qui est inouï pour celui qui observe le phénomène.
Surveillance de la correction par aiguille
Comment suit-on son action ? Avec le médius en bout et en halo de l’aiguille. Longues phases en bout puis longue phase en halo ; et ces phases alternées se raccourcissent au fur et à mesure que la poncture agit jusqu’à disparition des deux phases ; l’aiguille a fini son action.
Correction par pointe de Labradorite.
Elle n’est utilisée que sous l’angle thérapeutique.
Celle-ci est moins efficace qu’une aiguille mais son action est plus douce pour corriger les points chez les enfants ou ceux de la plante des pieds chez l’adulte.
LES SITES DES POINTS CLASSIQUES
Cette liste de points est extraite de toutes les « recettes » qu’utilisait, avec bonheur, mon Maître le Dr Nguyen Manh Don, si connu du Paris des années 1960.
Les sites des points périphériques sont assez stéréotypés. Nous pouvons donc dresser la liste des points généraux d’acuponcture que nous aurons à rechercher systématiquement, avec les SWS en survol par exemple ou l’index ou le Stylo universel.
Les points vont souvent par paires symétriques.
Venons-en aux points essentiels étage par étage.
Tête.
Les points d’oreille et ceux de LM comme Inn-Trang entre les sourcils, Gouv 18 à 21 sont les principaux. Nous trouvons souvent V2 à l’extrémité interne des sourcils, GI 19 sur les ailes du nez, Est 5 et 7 sur les joues (ces points sont souvent présents dans les sinusites).
Cou et Membres supérieurs.
En arrière du cou nous avons VB20 sous l’occiput en dehors des insertions des muscles trapèzes et VB21 à la base du cou, sur le bord externe des trapèzes (points de torticolis) ; mais aussi un point très important, V37 situé à l’extrémité interne des épines des omoplates. Par-devant se trouvent les points de Concept 17 à 21 sur la LM.
A la racine des bras : GI 15 et des points d’épaules antéro-postérieurs (extrémité super des plis axillaires). Près du coude : GI 10 et 11, TR 8, C3, MC 3. Près du poignet : en avant C5 et C7, MC6 à 8, P7 et en arrière, GI 4 et 3, TR5 et Ig3.
Thorax inférieur et abdomen supérieur.
En avant surtout : Est 21 et 25 et sur LM, Concept 10 à12. Ajoutons les fréquents points intercostaux unilatéraux (douleurs) qui contournent le thorax en partant de la LM postérieure jusqu’à l’antérieure (au nombre de 5 ou 6 à rechercher au détecteur).
Abdomen sous-ombilical et Membres inférieurs.
En avant : Est 25, 27 et 30 (dans l’aine), et sur la LM Concept 3 à 7. En arrière : points de LM Gouv D12-L1 et L4-L5-S1, mais aussi, latéralement les points de Vessie à ces mêmes niveaux.
Racine des cuisses : Est30, VB30 (grand trochanter), V milieu du pli fessier postérieur. Près du genou : Est 36, VB34, F8, RP9 et point de LM sous-rotulien et V54 en arrière dans le creux poplité, V57eplus bas. Près de la cheville et sur le pied antérieur : RP5 et 6, Est41 et 43, F2 et 3 ; en arrièreveV62 et R6 (sommeil) ; R1 sous la plante antérieure (point très sensible).
NB : pour plus de précisions consulter un atlas d’acupuncture.
En acupuncture les points auriculaires et périphériques sont souvent indépendants.
LES SITES DES POINTS DE TORSION
Points en cdtG purs : relais dentaires de Lentz.
Nous devons, ici, différencier les points d’acupuncture classiques des points maxillaires, appelés « relais dentaire » par A. Lentz qui les signala le premier.
Ces points dont émanent des CDT résonnent en regard d’un trèfle, D ou G.
Ces points sont localisables avec un stylo à Labradorite.
Ils sont encore bien plus évidents avec un détecteur « stylo oscillant » qui les met « en relief ». Ce stylo est induit par exposition à un Biofilm que nous avons créé ; ce Biofilm repose sur une image dont la plage est dénuée de tout point axial (10).
Ils sont oscillants sur eux-mêmes et entre eux : le point de droite oscille en opposition de phase avec son symétrique de gauche.
Ces « relais dentaires » sont en réalité des points de torsion purs ; ils disposent d’axes orthogonaux, révélés par les plans des trèfles. Ils sont détectables avec le stylo universel à contre-temps : le matin avec le stylo du Soir et inversement.
Ces points occupent en réalité les 4 champs inférieurs « en damier » du crâne : le premier est situé sur les deux maxillaires D, le second sur les deux maxillaires G, le troisième et le quatrième se trouvent dans la couronne occipito-maxillaire des cheveux à D et à G. Ils sont tous symétriques entre eux. Il existe donc en tout huit zones sur la double couronne maxillo-occipitale.
Ces points CDT sont naturels ; ils ne doivent pas être piqués. Ils compensent les chakras (37) (43) de ligne médiane qui, eux, sont aussi des points CDT purs et qui sont en opposition de phase avec les points de Lentz.
Points en CDT : les Chakras.
Des points à CDT purs seraient bénéfiques et toujours présents. Les Indous les appellent « Chakras ». Ils sont situés sur la ligne médiane antérieure (au nombre de sept, classiquement) mais aussi de façon symétrique sur la ligne médiane postérieure ; on en trouve aussi à la racine médiane des ongles. Ces points sont naturels, non pathologiques.
Ils sont détectés avec le Stylo universel et avec le trèfle. Ils sont fixes, indépendants du nycthémère.
Points des aires ganglionnaires lors des cancers.
Il existe des « zones » pathologiques en CDT réparties sur le corps : les aires ganglionnaires.
Quand ces points cutanés sont proches, ils définissent à distance une zone ganglionnaires. En effet chaque point s’évase en cône à distance et les cônes s’entrecroise entre eux.
Points des zones iatrogènes
D’autres zones à CDT sont décelables, les zones iatrogènes (25) par exemple. Ceux-ci sont corrigibles par Labradorite.
LES POINTS CB
Les points des « Champs Biologiques » (CB) ont été détectés avec le feutre à deux Windsor (21). A l’origine, ce feutre WW définissait la latéralité d’un sujet et de son damier cutané mais aussi de sa salive.
Ce feutre à 2WW nous a introduit aussi dans les champs radiesthésiques… puis médiumniques (19).
Mais ce feutre à 2WW a longtemps été un instrument préjudiciable. Les WW étant placé au milieu du feutre, celui-ci devenait bipolaire avec son extrémité D et l’autre G. Or, comme un aimant ou une pile, le 2WW engendrait des oscillations lentes dans le champ d’examen. Il fallut l’ostraciser, l’exclure ou le paralléliser.
Il fallut donc se contenter des stylos induits avec des mixages de salives dites initialement « D » et des mixages de salives initialement « G » pour définir les « Latéralités », en fait pour définir leur Phase privilégiée.
Nonobstant, le feutre à 2WW nous a conduit vers une autre curiosité : découvrir des Points « CB » hors méridiens. C’est le cas des points palmaires et plantaires qui viennent réhabiliter les cartographies de Réflexothérapie.
Actuellement, ces points plantaires sont révélés par le stylo universel avec l’effet miroir adjuvant.
CONCLUSION
Nous avons décrit les différentes formes du point d’acupuncture, et pour chacun d’eux sa double face, sa bivalence : Centrée et Nulle.
Nous avons montré comment afficher les points, évoqués par une pathologie portée par une salive.
Nous avons fait un panorama des divers sites de points d’acupuncture.
Nous avons mis en relief l’importance du détecteur-stylo universel qui révèlent des points essentiels ; cette recherche requiert l’application de l’effet miroir qui neutralise le champ péridermique du praticien.
Nous présentons enfin les points à champ de torsion, (naturels et pathologiques). La nature ambivalente de ces points de torsion ne permet pas de les assimiler à des points acupuncturaux.