49 Mise à jour du 2023 02 20 – Structure des Biofilms

 

 

Question toujours pertinente : à quels objectifs ces Biofilms doivent-ils se référer ?

Étude critique du précédent Chapitre 48

La structure des Biofilms repose sur l’idée très ancienne qu’elle doit refléter le damier cutané ancestral. Et, à travers les divers Stylos que j’ai initiés, je suis parvenu au Biofilm standard du type TL à G et LT à D.

 

 

Ce Biofilm était efficace au plan thérapeutique…Mais enclavé dans une liste alphabétique, il était souvent muet lors de son élection en regard des infos émises par le malade, sa salive ou sa photo…

J’ai par ailleurs été amené à distinguer les Biofilms « fixes » et les « Oscillants » sans justifier cette séparation des substances en deux camps.
Je me contentais seulement d’avoir pu stabiliser les Oscillants, de structure atypique, en retirant un axe, trouvé au pouls, au sein du Biofilm…Toutefois, cet axe n’était pas l’axe originel, il se projetait sur une des deux plages du Biofilm ; il n’est qu’un petit carré gommé blanc trouvé via le pouls mais assurément très stabilisant…

Malgré cette stabilisation, les listes, au départ homogènes, TL/LT, affichèrent pas mal d’irrégularités, bien des Biofilms devaient être corrigés car ils étaient devenus LT/TL, ils s’étaient inversés. Pourquoi, mystère alors.

Une observation se fit jour : les allergènes étaient tous oscillants et réclamaient un carré blanc stabilisateur. Il apparut alors que ces Biofilms n’étaient plus TL/LT mais TT/LL ou LL/TT. Et cette structure, irrespectueuse à l’égard du damier, conférait une meilleure homogénéité de l’ensemble de la liste.

L’état Oscillatoire du Biofilm

Cet état oscillant est le fait du Biofilm en soi. Il est d’autant plus oscillant que ses quatre champs, haut et bas, droit et gauche sont de nature opposés tout en cohabitant sur le Biofilm ; la zone de silence reflète assez cette instabilité oscillatoire.

Tout ceci justifie les déconvenues rencontrées, quand chaque Biofilm est encarté dans une liste de remèdes apparentés selon la spécialité et rangés selon l’ordre alphabétique. Des interactions se produisent entre les substances dont les états oscillatoires sont de vitesses différentes.

Avec les précédents Biofilms d’allergènes nous parvenons à une simplification : LL/TT représente un Biofilm bipolaire avec un Côté droit LL et un gauche TT. Certes le Biofilm oscille et varie entre LLTT et TTLL avec une vitesse propre. Mais l’homogénéité du groupe (des allergènes par exemple) est plus stable, ce qui ne signifie pas qu’elle soit parfaite.

Le malade est aussi animé de champs cutanés oscillants

Le damier cutané du malade diffère du damier du Biofilm TL/LT dont les plages s’inter polluent par contiguïté.

Le damier cutané est fait de surfaces limitées par des lignes frontières étanches que nous avons depuis longtemps décrites.
Il n’en reste pas moins que le malade se caractérise par un damier oscillant dont la vitesse oscillatoire est propre à sa nature originelle.

Les tests de remèdes

Ils s’inscrivent dans ce double phénomène plus ou moins contradictoire.

Nous désignons comme favorables les remèdes qui « entrent en résonance » avec le malade ou sa photo, voire son Nom.

Avec son propre code oscillatoire, le malade doit entrer en résonance, en phase, avec la substance médicinale qui est censée le soulager.

La liste des médicaments doit donc être homogène. Pour ce faire nous avons pris une liste LL/TT, simplifiée qui évacue bon nombre d’interférences négatives.
Mais nous n’avons pu échapper à l’élection de certaines substances bloquant les résonances, en particulier les médicaments nocifs (propres au patient) qui freinent la prospection du bon remède. Il fallait donc alterner les détecteurs, tour à tour, pour désactiver les « nocifs » et faire émerger les Bons remèdes…C’était un peu long et incertain. De plus il n’y avait pas toujours de freinage par les nocifs et cependant la pêche aux Bons était réduite et ne correspondait pas toujours à nos attentes.

Classification des substances en fonction de leur vitesse oscillatoire.

L’ordre alphabétique devait disparaître. Je devais considérer que Tous les Biofilms sont oscillants : certains ont des phases brèves, d’autres lentes voir très lentes. Ces dernières me donnèrent souvent l’impression d’être devant de soi-disant Biofilms « fixes ».

Il me fallait établir un nuancier très progressif allant des rapides aux lents. Et pour ce faire j’initiais un Biofilm approprié à partir d’un « Mot » : « médicament-oscillant-bref ». Et ce Biofilm me permit d’induire un Stylo idoine, un détecteur spécialisé.

La Classification elle-même.

Devant moi se trouve la liste alphabétique d’origine affichée sur le PC. Et comme analyste, je suis neutralisé par un Bristol à mon Nom placé autour de mon cou (voir infra).

Le stylo scanne toute la liste, activée. Une seule substance résonne.
Si la liste comporte, par exemple, 60 substances médicinales, on lui attribue le numéro 60 devant son nom.

On réactive toute la liste (sauf le N°60) et le stylo ad hoc révèle un second prétendant ; il prend le N°59. Après désactivation des N° 60 et 59, se manifeste le N°58….

Il y a cependant quelques discontinuités dans cette manip. Parfois, la liste restante activée ne révèle rien (après un N°33 par ex) ; il y a un os, un hic. En raison d’une antiphase (TTLL), une substance oscillante de vitesse proche peut atténuer, inhiber la phase d’une substance contiguë ou voisine.
A l’aide d’un autre détecteur spécifique TTLL issu d’un Biofilm éponyme dont j’ai inversé la couleur (via Paint), je démasque l’intrus, lui fais subir un retournement horizontal en LLTT et cette harmonie retrouvée me permet de faire émerger le N° 32 dans notre exemple.

Il est assez remarquable de noter que plus on se rapproche des N° 10 à 1, de ces substances oscillantes rapides, plus il faut jongler avec ce détecteur TTLL pour maintenir l’harmonie, la synchronisation des substances en mode LLTT. Le N°1 est donc le représentant des phases les plus brèves.

Finalement nous obtenons un dégradé, un camaïeu, une gamme chromatique des Biofilms.

La pertinence de cette classification nuancée.

Elle s’observe à différents niveaux.

La principale opportunité qui saute aux yeux est la suivante, les substances médicinales proches se regroupent, se juxtaposent et forment des régions cohérentes. Naturellement ces plages cohérentes sont interrompues par une substance de nature oscillante proche, mais étrangère, sans rapport avec le groupe attenant.

Autre résultat, les inversions TTLL disparaissent au profit d’une liste LLTT homogène. Il n’y a plus de substance hétérogène en « antiphase », capable d’inverser ou du moins annihiler l’expression de la voisine. Les Biofilms forment un lignage continu qui aboutit à une suite « d’effets de corps », d’esprit de corps, dont les éléments constitutifs sont solidaires et soumis les uns aux autres, dans l’ordre oscillatoire.

Autre possibilité : celle d’insérer, après clôture de la liste, un nouvel arrivant, une substance récente X qu’on veut intégrer à la liste. On place le Biofilm X (LLTT) activé seul en fin de liste. Et l’on reprend le stylo « médicament-oscillant-bref ».

En balayant l’ensemble de la liste, non activée, on note que le stylo trouve une discontinuité entre deux parties de la liste : la première partie oscille très nettement, la seconde partie est silencieuse. C’est juste entre ces deux plages que X trouve sa place.
Si la discontinuité a lieu entre les substances 76 et 77, X sera précédé d’un 76,5 et rejoindra immédiatement son emplacement. Il sera alors le pivot entre les deux plages et se comportera alternativement en substance oscillante ou silencieuse par rapport aux deux plages adjacentes.

Effets de cette classification sur les tests de remèdes.

Les tests de remèdes favorables à un malade reflètent la pertinence de cette classification.

Mais avant de réaliser ces tests il convient de mettre à jour notre protocole.

Premier point, tous les Biofilms ont été remaniés pour tenir compte de notre volonté de mettre fin aux Biofilms TL à G / LT à D et de les transformer tous en LL / TT. Cette démarche est celle qui nous a conduit à traiter tous les Biofilms comme des oscillants et à les stabiliser avec un « carré blanc » dont le site est défini au pouls par un stylo adapté. Et via ce carré, tous les TL/LT se transforment en LL/TT beaucoup plus « stables ». Le Biofilm LL/TT se comporte donc comme un visage avec son côté D et son côté G. La ligne de séparation passe par le carré blanc, elle est franche (ce n’est pas une zone silencieuse). Ce carré blanc lui-même résonne obligatoirement en regard d’un stylo détecteur de points axiaux.

Second point, il concerne le malade. Et surtout sa représentation : photo de la Face ou « Nom-du-malade-ce-jour ». A l’instar des Biofilms, nous affichons sur l’écran du PC deux photos identiques dont l’une est retournée en miroir. Au bord D de l’écran se trouve la mini photo directe ; au bord G de l’écran se trouve la mini photo du visage en miroir. Entre les deux prend place la liste des substances à inventorier. 

S’établit alors une cohérence entre les visages latéraux et les Biofilms médians.

Pratique des tests.

Rappelons d’abord que le Pulsologue se neutralise avec un Bristol à son nom retourné, comme nous l’avons vu au chapitre 48, qu’il place autour de son cou pour ne pas interférer avec les photos.

Puisque les Biofilms sont des entités oscillantes, c’est avec le stylo oscillant que ces tests se réalisent. Celui-ci parcourt la liste médicinale, activée ou non selon.

Le balayage se fait en partant des derniers et en remontant vers les premiers de la liste. Quatre à six remèdes s’expriment alors, ce qui est une première ! On constate que plus on se rapproche des premiers, plus les remèdes se pressent, plus l’espace entre deux bons remèdes se réduit.

Contrairement à l’habitude ancienne, les médicaments s’expriment en simultané ; il ne faut pas désactiver le précédent pour que le suivant émerge.

Il semble que les remèdes en fin de liste soient les plus spécifiques sur le long terme et que ceux du début de la liste soient plus polyvalents, moins ciblés, plus symptomatiques et à court terme. Le temps confirmera-t-il cette observation ?

Il est à noter aussi que les substances nocives propres au patient ne se manifestent pas. Pour révéler ces dernières, il faut faire appel à un stylo spécial issu d’un « Biofilm-nocif ».

La liste des Homéopathiques

Sur le site www.remedes-numeriques.com  se trouve une liste de 180 remèdes Homéos classiques. Comme ces substances médicinales donnent des Biofilms de TM (teinture-mère), les infos qui en émanent sont assimilables à des Basses dilutions (entre TM et 4CH).

Pour obtenir des HD (Haute Dilution), il faut inverser leur valeur, rendre les Basses Dilutions « nocives ».

Pour cela nous inversons simplement les couleurs via Paint. Dès lors, les carrés blancs deviennent des carrés noirs.

Ces remèdes subissent alors la classification « chromatique » qui les dote d’un numéro de classement. Il n’est pas inintéressant de noter que les substances les plus connues, appelées polychrestes, se retrouvent parmi les 50 premières de la liste. Ceci conforte l’idée que les premiers de liste sont polyvalents et moins spécifiques que les derniers.

Autre observation. Après test de remèdes, 6 ou 7 substances répondent. Et, quand on veut préciser, via les Biofilms de dilution, la dilution optimale de chacun d’eux, on note que le spécifique (en queue de liste) résonne en 30CH, et en remontant dans la liste des favorables, on passe à 15CH puis 12, 9, 7, 5CH  (en tête de liste).
Certes, si le patient s’expose aux Biofilms, chacun lui donnera une HD non précisée. Mais j’incline à penser que ce Biofilm émet un spectre de dilutions variées et que le malade assimilera la seule dilution qui lui convient ; ceci reste à démontrer.

Dernière observation. Les carrés noirs sont tous déportés dans la partie D des Biofilms. Seule hypothèse émise : ce phénomène serait une caractéristique des substances prédestinées à l’homéopathie par leur nature ?

Conclusion

La classification des substances – mais aussi des pathologies – en gammes chromatiques est somme toute un autre pas en avant.

Lors des tests, comme les remèdes appropriés résonnent de manière simultanée il est possible de parcourir, via la souris, une longue liste d’un seul tenant sans la segmenter en plages. On retient simplement les numéros des remèdes bénéfiques élus.