44 LA MEDECINE INFORMATIVE DES PROGRÈS DES INSTRUMENTS A L’ÉVOLUTION DES CONCEPTS

44 – Mots-clés : ATSU , CDT fixes ,  deux effets miroirs , Eréthisme , sujet médiateur , manchons cylindriques ,  méta-scientifique ,

La médecine informative a des modes d’expression assez géométriques : les plans et les points d’acupuncture. Elle s’exprime aussi sous la forme de divers champs biologiques.

Les instruments mis au point, à partir du pouls, sont ici récapitulés dans leur ordre d’apparition chronologique. Ils se répartissent en détecteurs et résonateurs.

Ces instruments mettent en relief l’émergence active des points pathologiques par le malade (et surtout par sa salive) et l’intérêt des tests de remèdes. La primauté de la pratique du pouls s’en trouve entérinée.

 

LES CHAMPS INFORMATIFS

Cette médecine qui englobe l’acupuncture classique et l’auriculo-acupuncture, et que nous pouvons appeler médecine Informative, repose moins sur des champs électromagnétiques ou des Champs de Torsion, que sur les Champs Biologiques.

Les Champs en damier de la peau.

La peau est répartie en 4 champs opposés en damier (gauches – droits) et (avant – arrière) de base (sur le crâne) ; en 32 champs (16+ & 16- sur tout le corps). Chacun de ces 32 champs est séparé des autres par des doubles lignes frontières.

Le point d’acupuncture est représenté par le point orthogonal classique : sous forme Oscillante (Point X central) ou sous forme Nulle (Point O en halo).

Comme cela a été dit, chaque homme peut être présenté comme une fusée à 4 étages : le premier va des pieds à l’abdomen sous-ombilical, le second englobe l’abdomen sus- ombilical et le thorax inférieur, le troisième comporte le thorax supérieur le cou et les membres supérieurs, le 4ème étage est représenté par la tête. Chacun de ces étages se subdivise en 4 quadrants : 2 antérieurs et 2 postérieurs caractérisés par une polarité alternée en « damier ».

Cette structure d’ensemble est particulière : les êtres humains sont doubles : celui du matin diffère de celui du soir. Les polarités du damier s’inversent à 14 H et 02 H du matin.

Chaque sujet est défini par une Latéralité fixe avec un majorité de gauchers et une minorité de droitiers…).

Les Biochamps numériques

Ils sont affichés par l’écran d’un PC.

Ils sont portés par des champs physiques, EM et Champ De Torsion.

Ils sont oscillants : ils reflètent l’alternance entre le Matin et le Soir et la présence du praticien.

Il y a des Biochamps spécifiques, depuis les « Latéralisés » jusqu’aux spiritualistes via les médiumniques.

LE TRANSFERT D’INFORMATION SUR LA PEAU

L’affichage passif de toutes ces substances sur la peau

Les tissus organiques s’expriment sous plusieurs formes dont les « Méridiens » ou sous forme de points alignés s’allumant successivement comme des guirlandes lumineuses (certains organes).

Toutes les substances s’affichent sous forme de points d’acupuncture

Ces tissus et ces produits pharmacologiques mis à part, on peut également projeter sur la peau, à partir d’un liquide biologique, la salive, des points pathologiques sur une tierce personne, via deux effets miroirs. Et ceci se fait sur n’importe quel sujet médiateur, qu’il soit sain ou malade.
Une salive placée en sandwich gris (SWS) impose un champ de forme informatif et ce sont toujours les points pathologiques de cette salive qui s’affichent sur le sujet médiateur ou sur le schéma de l’écran.

Le Gris de référence

Le Gris est le fond neutre de référence. Le papier gris Canson 122 « flanelle » est la base des sandwichs salivaires.

L’information doit se présenter sous une forme plane de référence.

Que ce soit le support des médicaments (en Anneau-tests ou en sachets Minigrip), que ce soit le support de la salive ensachée et placée en sandwich gris, tous ces éléments majeurs se présentent sous forme plane. Ils ne sont pas les seuls.

LES RÉSONATEURS, LES CANALISATEURS DE L’INFORMATION

Des instruments physiques ont initié nos études sur les résonances entre divers éléments que perçoit le pouls.
Les Détecteurs font partie des canalisateurs. Ces instruments sont présentés dans l’ordre chronologique de leur apparition au cours de nos recherches.

 

Les anneaux-test spiralés unipolaires (ATSU) (+) et (–).

Nous connaissons l’origine des ATSU (spires planes unipolaires (blindées sur une face)) et ce qui a motivé leur conception. Ils ont été les premiers à sembler maîtriser le pouls ; ils se sont présentés comme des antennes, comme des capteurs-émetteurs de champs vectoriels.

Les deux ATSU ont mis en relief les informations émanant des 4 types de champs cutanés (antérieurs D et G, postérieurs D et G) du seul sujet auquel ils sont appliqués. Le corps comporte 32 champs (16+ &16-). Ils ont défini les lignes frontières.

Notons que les ATSU ont une structure générale plane.

Ces champs cutanés sont-ils de nature physique ? Les ATSU, instruments EM, utilisés par les électroniciens, semblent purement physiques. Nous pensons pourtant que les champs cutanés n’ont rien d’EM.  Les ATSU n’ont donc pas de spécificité EM pure.

Les ATSU sont aptes à jouer les résonateurs de champs biologiques. Ils répondent au feutre à 2WW, à la Labradorite, aux trèfles D et G ; ils sont donc aussi des capteurs de CDT et de Biochamps.

Les détecteurs.

Le T Or-Argent, le coaxial, le T Blanc-Noir. Les détecteurs en T de Paul Nogier ont été les capteur-émetteurs obligés de nos premières analyses. Ces divers détecteurs offraient des informations variables : les points d’acupuncture émergeaient en différents sites. Jusqu’au jour où nous avons découvert que ces différences reposaient, surtout, sur leurs manches en plastique, polluables par CDT exogènes divers. Après dépollution numérique, ils affichaient un site acupunctural unique.

On peut aussi évoquer l’idée que le plastique des manches se polluait en partie au contact de la pulpe de mes doigt…D’où les manchons cylindriques en papier gris.

Le T magnétique Nord-Sud est ambivalent, bipolaire. Un pôle émet un cdtD et l’autre pôle un cdtG. Sa présence dans le champ engendre souvent, selon la direction de son axe, des oscillations lentes. Outre cette ambivalence, le T N-S imprime à la peau, lors de son survol, un effet rémanent.
Il est toujours exclu du champ d’examen. D’ailleurs les champs magnétiques sont les plus polluants. Exit donc tout aimant ; les oreillettes audios entre autres, qui en sont munis, sont bannis.

Tous ces détecteurs bipolaires ont une structure générale linéaire. Ils ne sont pas de véritables résonateurs mais plutôt des conducteurs, des canaliseurs d’information. Leur bipolarité les amène à induire des oscillations lentes lors de leur emploi. Ils sont donc obsolètes.

La Labradorite.

La Labradorite (LBD) est une pierre irisée, un système cristallin de la famille des Silicates. Elle a des plans axiaux. La LBD s’utilise aussi en poudre, en sachet plan. On peut la mouler dans un champ de forme cylindrique, le stylo à LBD est un correcteur de points cutanés universel.

Ce cristal a de multiples propriétés. Il émet des champs équilibrés CDT D &G, et des Champs médiumniques.

Le cristal de Labradorite fut le premier dépollueur des substances pharmacologiques, du malade ou du médecin ; et sous forme numérique amplifiée, il reste le meilleur.

Le Geodd.

Cet instrument récent émane des études faites par Anatoly Pavlenko et Alexandre Rusanov, sur les champs de torsion qui accompagnent les ondes EM. Le Geodd a le pouvoir de redresser les champs de torsion gauches exogènes, intra-muros et extra-muros. Ces champs proviennent des P.C., Wi-Fi, Télévision, mais aussi des failles telluriques, qui accompagnent les champs EM dans lesquels nous baignons.

En Pulsologie, le Geodd est l’instrument indispensable pour inhiber certain cdtG, tellurique artificiel issu de la prise de terre et pouvant traverser la salle d’examen…Ce champ, proche d’un lit, peut induire de l’insomnie.

Ces Geodd doivent leurs qualités tant à leur forme (tronc de cône pyramidal) qu’à leur contenu non précisé.

Les nœuds de trèfle.

Les trèfles sont les résonateurs les meilleurs. Le glissement de l’un par rapport à l’autre, sur un plan horizontal, détermine les positions de résonance vraie ou de pseudo-résonance d’un ensemble d’éléments occupant le champ d’examen (remèdes, salive).

1/ Les Trèfles ont des qualités intéressantes.

Les trèfles permettent la mesure des qualités médiumniques des sujets.

Le trèfle « D » révèle plutôt les chakras qui sont des points de torsion droits fixes, non oscillants, indépendants du nycthémère.

Le trèfle « G » est à l’origine de la définition des points de torsion Gauches : les points de Lentz spontanés, fixes eux-mêmes.
Certaines salives pathologiques (cancers) affichent aussi des points en CDTG fixes au sein des zones ganglionnaires.

En réalité, chacun des deux trèfles, de nature opposée par construction, est de latéralité D ou G. Ce que nous venons de voir à propos des CDT fixes, mais aussi des minéraux comme le tungstène (W), tendent à prouver cet état de fixité.

Les trèfles sont placés devant l’écran du PC en parallèle. La position G-D ou D-G (selon l’heure) permet les tests de cohérence. Ils servent essentiellement à contrôler l’homogénéité des listes de remèdes.
Quand une liste de médicaments est affichée sur l’écran, activée, sélectionnée, l’écartement des trèfles ou leur rapprochement doit être silencieux ; ceci témoigne l’homogénéité des substances affichées.

En revanche, si lors de l’écart, une résonance se produit au pouls, c’est qu’un intrus se trouve au sein de la liste. Le détecteur adapté à sa recherche, scannera et détectera le responsable qui sera soit réparé soit éliminé. Bien sûr, cette étude se fait en « l’absence » du praticien, neutralisé par effet miroir.

2/ Les trèfles ont un inconvénient majeur.

Posés séparément sur le bureau, ils constituent un ensemble bipolaire source d’oscillations lentes. Hors service, ils doivent donc être superposés ou éloignés du champ d’analyse.

Le Feutre à 2 Windsor.

Ce feutre à pôles D et G nous a introduit dans le domaine de la médiumnité et nous a fait progresser dans la prise de conscience de l’aspect méta-scientifique des Biochamps et de leurs détecteurs spécifiques.

Mais en raison de son caractère bipolaire, le feutre à 2WW favorise les oscillations lentes. Actuellement nous utilisons des stylos de Latéralité monopolaires induits par des Biochamps numérisés AM et PM (6).

LE POULS

Le pouls est l’instrument biologique vivant par excellence. Un Pulsologue doit disposer non seulement d’une assez bonne acuité tactile mais également acquérir, avec un peu de temps, une bonne perception pour définir ce qu’il ressent.

Il doit pouvoir sentir une différence entre les binômes actifs qui pulsent en long de ceux qui pulsent en travers, de ceux qui pulsent en alternance (LTLT).

Il doit être apte à déceler une oscillation iatrogène d’intensité constante et être apte à repérer des oscillations ondulantes typiques des « oscillations lentes » ; ceci est facile à dire mais je suis passé à côté de nombreuses oscillations très lentes !

Il devra différencier les résonances centrales des résonances en halo. Il reconnaîtra non seulement les points « Oscillants » centraux mais également les points « Nuls », faits d’un silence au milieu d’un halo oscillant.

Il devra dénombrer les pulsations, doucement décroissantes avant de cesser, lors d’un test de remède utile pour juger de la valeur de son indication, de sa pertinence.

Surtout il sera apte à lire son propre pouls pour réaliser les autotests qui sont à la base de presque toutes nos analyses.

Ce langage pulsologique raffiné repose sur l’instrument méta biophysique hors pair qu’est le pouls radial. Ce langage est malheureusement insuffisamment précisé, décortiqué par les « auriculo médecins » dans la description des phénomènes qu’ils rencontrent et ressentent.

La perception du pouls progresse avec le temps. Mais il est surtout bon de respecter les conditions techniques que nous avons à maintes reprises soulignées.

Les exercices. Il est intéressant d’aborder le pouls en travaillant sur des tests donnant de fortes réponses comme le survol de deux remèdes identiques, chacun étant en sandwich gris (eux-mêmes identiques).

Un simple repas ou un exercice physique vif (montée d’escalier) favorise l’éréthisme artériel : le pouls parle plus fort mais pas plus vite. Éréthisme est synonyme d’excitation motrice active de la paroi artérielle, d’amplitude accentuée et non de rythme plus rapide.

Enfin, l’accès aux remèdes numériques offre la possibilité d’obtenir de fortes réactions du pouls, quand un remède réel (dépollué) est placé en regard du même remède numérisé et émis par le visuel de l’écran du PC.

CONCLUSION

Notre Médecine informative s’appuie sur des champs géométriques plans. Le revêtement cutané du corps humain est réductible à 4 champs privilégiés ; il est le support des divers types de points d’acupuncture orthogonaux et stellaires.

Nous évoquons tous les instruments qui nous ont permis de progresser dans nos recherches de l’information, depuis les instruments physiques jusqu’aux biologiques.

Tous ces instruments jouent le rôle de résonateurs ou de canaliseurs de Biochamps.  Ils établissent des résonances informatives entre salive, points d’acupuncture et médicaments favorables. Cette mutuelle résonance apparaît au pouls.

Si, à l’origine, le débroussaillage, le défrichage du milieu EM et non EM ambiant, envahi par de multiples informations contradictoires (les oscillations lentes en furent la traduction), et polluées (supports des substances manipulées) a nécessité beaucoup d’acuité tactile, il n’en est plus de même maintenant. Les différents procédés de dépollution aboutissent à purifier le dialogue, via le pouls radial, entre le malade et les procédés thérapeutiques.