42 GEMMOTHERAPIE & AROMATHERAPIE
42 – Mots-clés : aromathérapie , gemmothérapie , Dr Pol Henry , protéinogramme ,
La gemmothérapie, l’aromathérapie (Huiles Essentielles) bénéficient aussi de la puissante sensibilité réceptrice de la peau et de la non moins forte expressivité du pouls.
La Pulsologie simplifie considérablement le problème de l’indication des substances immunocompétentes comme le sont les gemmes (bourgeons, jeunes pousses…) dont l’intérêt va croissant en Oncologie (Cancérologie) mais également dans d’autres pathologies aux déficits immunologiques très sévères.
GEMMOTHERAPIE ou PHYTEMBRYOTHERAPIE
Elle a recours aux bourgeons, aux jeunes pousses, mais aussi aux radicelles, écorces de racines, chatons et semences. L’étude approfondie de ces remèdes a été effectuée et publiée par un médecin belge, le Dr Pol Henry, dans son livre (1970) devenu introuvable « La Phytembryothérapie ». Ces « gemmes », ingérées par voie orale, entraînent une profonde modification du protéinogramme sanguin. A l’origine ce médecin biologiste étudiait le profil protéinique de sérums de lapins (une sorte de scanner biologique) et les variations du protéinogramme avant et après ingestion durable d’une gemme. Ces remèdes agissent de façon analogue chez l’homme et procurent une lente mais très profonde action sur le système immunitaire d’où leur intérêt dans le domaine thérapeutique. Que les gemmes soient de puissants remèdes n’est pas pour nous surprendre ! Qui ne connaît, a contrario, la puissante nocivité des pneumallergènes végétaux, et des pollens en particulier ?
Le livre de ce médecin émerveillait par ses détails mais aussi décourageait par sa complexité. Les laboratoires Boiron, qui commercialisaient pourtant ces produits sous forme de macérâts glycérinés en 1DH (décimale hahnemannienne), m’ont procuré la collection des échantillons qui ont ainsi pu être analysés et testés.
Boiron a beaucoup restreint ses offres de gemmes depuis quelques années et nous avons été chercher ailleurs. Actuellement nous nous approvisionnons au Laboratoire VITADIAL Il vend, sur le web, les Teinture Mère de tous ces bourgeons.
Gemmothérapie et cancer.
Les prédispositions au cancer existent ; nous les retrouvons chez des patients aux antécédents familiaux avérés. Quand les signes cliniques généraux sont préoccupants, une asthénie profonde prolongée et inexplicable, l’hypothèse d’un cancer ou d’un état précancéreux se pose. Cette hypothèse est souvent soutenue par la présence du point d’acupuncture en Vessie 37 ou Kao-Roang (angle interne de l’épine des 2 omoplates) qui signe généralement un défaut, un déficit immunitaire.
Ces états préoccupants se retrouvent chez les précancéreux et les cancéreux en état de rémission mais non guéris.
Dans les deux cas, cancer initial ou récidive, les tests diagnostiques s’appuient sur la salive du malade et une série numérisée de cancers de référence. Toute résonance fait envisager le diagnostic (www.soins-numerises.com / 10 Oncologie).
Que le cancer soit initial ou récidivant, des gemmes témoignent de la défaillance du système immunitaire. Ces gemmes sont diverses, non spécifiques, variables d’un malade à l’autre en raison de son état immunitaire.
L’ingestion de ces bourgeons pendant deux mois peut faire disparaître l’asthénie profonde et durable qui caractérise ces deux états (dans la mesure où les traitements chimiothérapiques ne viennent pas les contrarier) et aboutir à une guérison.
Ainsi peut-on échapper à la complexe étude des protéinogrammes tout en récoltant les bénéfices de cette thérapie.
Depuis 1997 des cancers évolutifs et non des moindres sont suivis et l’évolution de certains est assez favorable malgré les prudentes et nécessaires mises en garde concernant le pronostic à long terme.
Il faut concéder que ce sont les cancers en tout début d’évolution ou ceux qui viennent d’être opérés ou ceux doués d’un potentiel évolutif modéré qui bénéficient le plus de cette thérapeutique immunostimulante ; on est même autorisé à se demander si ce n’est pas cette thérapeutique qui participe à cet état évolutif modéré ?
Cette gemmothérapie ne fait que ralentir l’évolution des cancers contre lesquels sont mis en œuvre des traitements chimiothérapiques qui peuvent être mal tolérés, iatrogènes (pour le système immunitaire) ou surdosés. Elle ne fait aussi que ralentir l’évolution des autres cancers, au pronostic jugé péjoratif d’emblée. Ajoutons qu’au stade métastatique, malheureusement, les gemmes n’agissent plus.
Bien sûr le protocole thérapeutique oncologique n’est ni modifié ni modifiable. Mais l’apport complémentaire de ces gemmes, tout en contribuant souvent à une meilleure tolérance chimiothérapique (formule sanguine), peut conduire à une rémission clinique et paraclinique plus aisée.
Certes l’apport quasi-permanent de la chimiothérapie moderne condamne toute appréciation solide de cette immunothérapie adjuvante. Le cancer in situ, a minima, la phase préopératoire parfois très longue en raison d’une phase évolutive aiguë, ou les épisodes de pré-récidive nous offrent pourtant l’occasion de pouvoir confirmer la valeur de notre thérapeutique de manière isolée. Il est toutefois frustrant que ces prescriptions doivent se dérouler à l’insu des oncologues ; ces derniers, peu au fait de ces apports complémentaires, restent sceptiques voire hostiles. Ces thérapeutiques adjuvantes en effet, passées souvent sous silence par les patients, relativisent dans une certaine mesure la valeur des statistiques officielles.
Revenons à cette chimiothérapie. Le nombre de molécules anticancéreuses disponibles sur le marché pharmaceutique s’élève à environ cent vingt. Au lieu de figer les malades dans des protocoles rigides et de s’enfoncer dans des statistiques, dont les résultats émergent lentement, ne serait-il pas judicieux d’avoir recours aux tests de remèdes qui pourraient sélectionner rapidement les meilleures molécules, les moins iatrogènes, sans tâtonner ? On peut rêver.
Quoi qu’il en soit, sur www.remedes-numeriques.com , nous proposons dans 017/ Oncologie trois types de molécules 24/24 : complémentaires, chimio classique, chimio Ciblée. En 027/ des Gènes suppresseurs et des Oncogènes. Un bon Pulsologue devrait faire le bon choix.
HIV.
Le SIDA est une affection assez proche des cancers. Etant par définition une pathologie immunodéficiente, les gemmes sont évoquées à tout coup.
Pour le Pr Luc Montagnier, le virus HIV serait accompagné d’un ou de deux agents bactériens jouant le rôle de cofacteurs de transmission (Rickettsia ?). Nous devons tenter de trouver des résonances d’incompatibilité entre HIV et d’autres virus pour que ces derniers réalisent un équilibre stable (analogie avec les microbiotes intestinaux déséquilibrés).
Maladies infectieuses récurrentes.
Toutes les maladies infectieuses traînantes ou itératives doivent immanquablement conduire à des tests gemmothérapiques ; généralement un seul bourgeon est en cause et résonne fortement avec la salive (SWS) du malade. Gemme à prescrire 45 jours.
LISTE DES GEMMES
Elles se trouvent sur le site www.remedes-numeriques.com sous la rubrique de gauche « 002 / Gemmothérapie ».
Toutes ces gemmes de chez Boiron sont prescrites sous forme de macérâts glycérinés en 1DH dans des flacons de 125m. Leur posologie va de 50 à 100 gouttes par jour (selon le nombre de pulsations recueillies lors du test d’utilité) dans de l’eau. Le traitement dure 2 mois environ.
Les Gemmes de Vitadial, en TM seront prescrites à raison de 5 à 7 gouttes par jour.
Insistons de nouveau sur la puissance de ces gemmes qui, tels de grands médicaments, sont certes susceptibles de donner des troubles secondaires, réversibles s’ils sont mal choisis ; a contrario, les bonnes gemmes sont aptes à diminuer la posologie des remèdes allopathiques, irremplaçables pour bien des malades.
AROMATHERAPIE
Ces Huiles Essentielles se trouvent également sur le site www.remedes-numeriques.com sous la rubrique de gauche 007 / Aromato.
Pour notre part nous nous sommes attachés aux Huiles essentielles Chémotypées (HECT) (Supra Aromathérapie).
Pharmacie DANAN 119 rue Cambronne P 15
01 45 67 15 18 ; Fax 01 47 34 58 13
CONCLUSIONS.
La gemmothérapie est riche de passé et d’avenir à l’encontre d’un nombre insoupçonné d’autres pathologies immunitaires très sérieuses et souvent dénuées de toute thérapeutique efficace. Il est évident que si cette approche, initiée par le Dr Pol Henry, était prise en considération et relayée comme elle le mérite, bien d’autres gemmes pourraient alimenter cette liste de 50 gemmes et accroître considérablement le nombre des prescriptions possibles.
L’aromathérapie se révèle indiquée pour des pathologies diverses et inattendues. Les H.E. sont désignées selon les tests classiques pulsologiques.