40 ALLERGOLOGIE TOXICOLOGIE

40 – Mots-clés : allergènes curatifs , Aspartam®,  champ péri-somatique , compatibilité entre deux médicaments , éruption cutanée iatrogène , maladie de Wilson , minéral en 5CH ,  Nom en damier , saturnisme ,  thermomètre à mercure , Toxiques phytosanitaires ,

Nos épreuves de tests trouve des applications dans un autre domaine : les substances nocives, les intolérances alimentaires et médicamenteuses, les poisons. Nous montrons comment différents procédés permettent de les révéler, de les déceler. Parmi ces procédés le test de conduction, de contact avec la peau, est basique et le plus ancien.

Ces tests sont d’un intérêt primordial dans le dépistage de la cause de toute pathologie allergique ou iatrogène.

Le constat que deux molécules semblables entrent résonance, par réaction répulsive de rivalité, nous conduit à la technique d’identification pharmacologique.

PRINCIPE DU TEST DE NOCIVITÉ

Nocivité de contact

Mesure faite par praticien.

Souvenons-nous de la première expérience de Pulsologie, faite dans les années 1960, quand je constatai les oscillations du pouls déclenchées par un thermomètre à mercure placé par une infirmière à la tête du lit d’un malade. C’était le contact, la conduction, à travers le lit ou moi-même, qui engendrait cette information toxique à l’égard du malade.

La mise en contact de toute substance avec la peau peut révéler, par des oscillations, par des pulsations souvent transversales, la nocivité d’un médicament.

Pseudo-nocivité de contact.

Quand le médicament, son support ou le malade sont pollués, une pseudo-nocivité peut apparaître lors de leur contact. La durée de cette réaction de contact est variable. Ces pulsations témoignent de l’interaction qui se produit entre le sujet et le médicament.

Ceci nous astreint à dépolluer, via le Biofilm de Labradorite, le malade et le médicament dans son blister au préalable. C’est alors que la réaction de contact répétée donne un même nombre de pulsations : c’est la nocivité maîtrisée.

Mesure de la nocivité sans contact avec le malade.

Il existe une méthode plus pure et simple, bien qu’énigmatique de prime abord, de faire ce test. Le malade prend la substance médicinale entre ses doigts (pouce-index) et procède lui-même à la réaction de contact / écart.

A proximité le praticien prend son propre pouls.
Et sans aucun contact entre eux, le praticien mesure le nombre de pulsations au contact ou à l’écart que réalise le patient. Le praticien n’interfère pas puisqu’il n’y a pas de contact mais il participe de manière indirecte à l’information émise par le champ péri-somatique, péridermique du malade.

Le praticien doit aussi être neutralisé.
Pour éviter cette participation de proximité, le praticien se neutralise par effet de miroir : soit par selfie ou photo d’identité, soit par affichage de son Nom en bas d’un écran de PC, soit par un Bristol à son Nom retourné horizontalement et placé autour de son cou, Nom regardant le sternum.

TESTS DE NOCIVITÉ SUR LISTES D’ALLERGÈNES NUMÉRISÉS

 

Ici le malade est absent. L’étude se fait sur sa salive en SWS.

 

Recherche de nocivité à partir d’un ensemble d’allergènes numériques

Nous recourons aux listes des Biofilms d’allergènes qui sont à la fois diagnostiques et curatifs, et affichés sur l’écran ; ils sont tous, au départ, activés (sélectionnés). Le fond d’écran est un Biofilm de Labradorite. Dans le coin de l’écran se trouve accolé, plaqué le SW Salivaire du patient ; et l’identité du praticien.

Le stylo universel idoine sert de détecteur.

Une fois le premier allergène repéré, il sera désactivé pour aller repérer l’allergène suivant, souvent moins nocif (Biofilm moins curatif) que le premier.

Recherche de nocivité à partir d’un ensemble d’allergènes réels

La résonance entre un SW salivaire et une substance nocive superposée est toujours la même, rappelons-la : on note que la salive et l’allergène réel nocif résonnent et que cette résonance se fait en travers au pouls ; elle signe une réaction répulsive de rivalité.
Ce procédé numérique sera contrôlé par le contact direct avec le malade quand il sera présent.

 

Contrôle par juxtaposions salive / médicament nocif dans un même SW.

Vérification : la prise entre deux petits papiers Gris de la salive et du médicament toxique accouplés, superposés, confirmera, par les fortes oscillations recueillies, l’incompatibilité de ces substances. Note : ce procédé sert également à mesurer la compatibilité entre deux médicaments.

DESENSIBILISATION ALLERGOLOGIQUE

 

Quelle est la meilleure méthode de désensibilisation ? Il est difficile à un non-allergologue d’en juger. Tout dépend de l’intensité des troubles cliniques, de leur saison, de leur permanence.
Le traitement par Biofilms ne peut contrecarrer l’effet permanent et nocif d’un allergène puissant, comme la farine sur les bronches d’un boulanger ; dans ce cas, il vaut mieux orienter le patient vers une autre profession. Mais une fois l’éviction de l’allergène réalisée, la désensibilisation informative trouve ses indications.

Les allergènes curatifs se trouvent actuellement sur le site « soins-numerises.com ».

TESTS DE TOXICOLOGIE

 

Ces tests sont censés découvrir les remèdes nocifs, absorbés par les malades polymédicamentés. Nous avons déjà abordé ce problème au chapitre ayant trait aux tests de remèdes. Rappelons brièvement que le patient intoxiqué se caractérise par un pouls animé de fortes pulsations spontanées (transversales) qui persistent au repos.

Pour entamer l’examen, il convient de dépolluer le patient avec la Labradorite sur 4 zones de son corps (Conc 12, GI 14, Foie 8, VB 25 sur ligne axillaire) ; ou simplement l’exposer au Biofilm de Labradorite. Ce n’est qu’alors que la salive pourra être prélevée.

Incompatibilité entre deux remèdes.

Malgré un choix correct de chacun des remèdes prescrits, le patient peut vous téléphoner pour vous alerter dès la survenue d’un malaise. Qu’il soit examiné en direct ou qu’il nous adresse sa salive, une étude de juxtaposition deux par deux (Salive / Remède ou Remèdes1 / Remède 2) des différents médicaments absorbés permet de déceler une réaction toxique imprévisible – via le SWS. Dans ce cas la prise de ces remèdes contraires sera espacée dans la journée ou alternée un jour sur deux…En fait, l’un des deux remèdes sera remplacé par un autre plus compatible.

Des intolérances aux poisons.

Parmi les nombreux troubles iatrogènes, l’éruption cutanée, prurigineuse ou non, peut être consécutive, plus ou moins tardivement, à la prise d’un remède quelconque. Pour découvrir le responsable, il suffit de survoler la peau avec les différents remèdes (pris en sandwich Gris) absorbés par le patient et préalablement jugés suspects au pouls. Le survol d’un de ces remèdes confirme alors, au-dessus des plaques, de fortes pulsations transversales du pouls.

Certains patients ont eu à subir, dans le passé, des chocs toxiques, voire des chocs anaphylactiques, à la suite de la prise de médicaments dits « anodins ». Ces sujets devenus réticents, sensibilisés à ce type d’aventure, désirent parfois connaître les molécules potentiellement nocives pour eux-mêmes, dans la « spécialité pathologique » qui est la leur.

Poisons. Dans la mesure où le pouls du sujet est en collapsus, ces tests seraient assez rapides dans les « Centres Anti-Poisons ». Car c’est ici qu’intervient la méthode indirecte, via le pouls du praticien. A partir de la salive prélevée sur le « suicidaire » et dépolluée ! il est possible de déceler le produit ingurgité parmi les divers médicaments en lice, via le SWS.

Les méthodes des tests de l’allergologie s’appliquent à la toxicologie.

Étude des rapports toxicologiques entre Pathologies et Oligo-éléments.

Ces métaux et métalloïdes ne sont pas toujours les causes des maladies mais des éléments aggravants (prédispositions génétiques latentes ?) : le saturnisme pour le plomb, l’hypercuprémie de la maladie de Wilson ou l’excès de fer sérique dans l’hémochromatose ou l’hémosidérose pulmonaire idiopathique chronique en sont des exemples.

On pourrait établir une liste, selon les pathologies, des « excédents » minéraux. Quelle que soit la pathologie, il peut exister un minéral ou un de ses nombreux sels en excès.

Note : naturellement il existe aussi des pathologies par carence, primaire ou secondaire, mais ceci n’est pas de la toxicologie.

Cet excès minéral dans le sang de certains malades justifie, à visée thérapeutique, l’emploi du minéral toxique à dose homéopathique (généralement en 5CH); à ces dilutions, le minéral favorise paradoxalement sa propre élimination par voie urinaire.

Ces métaux et leurs diverses formes chimiques ne sont pas proposés dans www.remedes-numeriques.com . Mais on peut se référer à des images sur Google.

Extension des études toxicologiques aux additifs alimentaires.

De nombreux articles de Presse dénoncent l’effet délétère de l’Aspartame® de Monsanto Chemical sur la santé. Entre les lobbies de l’industrie chimique et celui de la canne à sucre ou des betteraviers, il est difficile de dire qui commandite les expériences statistiques contradictoires qui nous parviennent.
A la suite d’une lecture très défavorable à l’Aspartame®, nous avons voulu contrôler si des réactions de nocivité se produisaient entre l’Aspartame® et les différentes pathologies censées être induites ou aggravées par ce produit de grande consommation.

En ce qui concerne l’Aspartam®, nous avons étudié ses dérivés chimiques formaldéhyde et acide formique Ces substances, très nocives, sont dégagées par l’Aspartam® quand la température s’élève (dans un café ou un thé très chaud) …L’intoxication par ces substances secondaires peut être contrée par elles-mêmes mais en haute Dilution homéopathique. Mais, à froid, l’Aspartam n’apparaît pas toxique.

La Pollution phytosanitaire

Que de produits chimiques interviennent dans la chaîne alimentaire, respiratoire et cutanée !

Que de produits devraient être analysés pour y repérer tous les produits non biologiques. La méthode pulsologique est bien la seule qui puisse permettre d’ouvrir sur une grande échelle cette étude. Ce domaine est encore trop négligé par la majorité des médecins actuels qui ne disposent d’aucun pouvoir d’analyse assez subtil. Les spécialistes en toxicologie, eux-mêmes, en sont réduits à émettre des hypothèses ou à ne s’appuyer que sur des statistiques difficilement validantes puisqu’un nombre plus ou moins grand d’individus peut être intolérant à une molécule donnée.

Dans remedes-numeriques.com, sous la rubrique « 024 Toxiques phytosanitaires » se trouvent les produits les plus nocifs et les plus dispersés par le monde agricole.
Les Pulsologues entraînés pourront, pour un individu ou une pathologie donnée, voir si une des substances est impliquée dans une pathologie atypique.