36 RÉSONANCES NOCIVES

36 – Mots-clés : incompatibilité Point axial / Halo , réaction répulsive négative , réaction répulsive positive  centre / centre , réaction au contact ,   sexe du fœtus ,

Sexe du fœtus

Les résonances nocives peuvent se manifester comme des pulsations si intenses, si vives, qu’elles paraissent longitudinales alors qu’elles sont en réalité fortement transversales.

Observation première. Elle découle de l’idée de diagnostiquer le sexe d’un fœtus, à partir d’une échographie faite à 3 mois. Cette photographie fut affichée sur l’écran de l’ordinateur vis-à-vis d’autres échographies de fœtus plus âgés, sexuellement bien déterminés, assurés, proposées par Google.

Il y eut alors une vive résonance des échographies de fœtus masculins et celle du bébé dont je voulais découvrir le sexe. E j’en conclus, sans avoir de référence antérieure, qu’il s’agissait d’un futur garçon…
Or, peu de temps avant l’accouchement, il me fut révélé qu’il s’agissait d’une fille !

Cette erreur dut être interprétée. Je me trouvais en l’occurrence devant un phénomène de résonance nocive d’incompatibilité, une réaction répulsive négative, comme si le fœtus mâle était un « poison » pour le fœtus femelle. En fait, il s’agissait d’une incompatibilité Point axial / Halo ; et non d’une rivalité centre / centre.

D’ailleurs, entre fœtus féminins, il y avait une résonance de similitude des points axiaux, et non un silence total. C’est donc l’échographie de bébé mâle qui ne pouvait être admise dans le champ féminin et qui provoquait cette résonance nocive, d’ailleurs attestée par des pulsations transversales continues.

Une seconde source d’erreur peut être avancée. On peut imaginer qu’un homosexuel mâle ne résonne pas nocivement avec un fœtus femelle. On peut se poser la question de savoir si un bisexuel résonne à 50/100 avec les fœtus mâles et femelles…Cette étude reste à faire ; des échographies anciennes de tels sujets devenus adultes seraient indispensables.

Diagnostic via image de référence.

Observons. Si sur l’écran du PC sont affichés côte à côte une photo d’un malade porteur d’un ulcère d’estomac et des images d’ulcères gastriques via Google, une résonance négative se produit de chaque côté. Elle est identifiée par le fait que le pouls bat en Travers.

Nous constatons ici que la résonance résulte de la coprésence de deux pathologies identiques et non pas opposées comme dans le cas des images de fœtus. Seules les pulsions transversales sont communes. Nous sommes donc devant un phénomène de résonance nocive de « rivalité » centre / centre, une réaction répulsive positive (comme les pôles + de deux aimants).

En thérapie.

Rappelons la réaction d’écart d’un médicament. S’il y a résonance au contact de la peau, le médicament est néfaste et pulse en travers ; s’il y a résonance à l’écart du médicament loin du corps, il s’agit d’un remède propice qui pulse en long.

En toxicologie.

Pour des raisons éthiques, le processus du choix d’un poison pour une personne donnée, ne sera pas mentionné.

Pour Conclure.

Les pulsations en travers continues témoignent globalement d’une réaction de nocivité, que celle-ci soit répulsive + ou (-), permanente ou temporaire.