35 CHAMPS BIOLOGIQUES
35 – Mots-clés : Champs biologiques cutanés D et G , Latéralité initiale , mixage informatif des salives D, mystiques chrétiens, nœud de cravate de type Windsor, pans de la cravate , radiesthésistes connus et Nogier, réflexothérapie, relativisées par l’expérimentateur. René Leriche, salives en phase , Yves Rocard ,
Question majeure ; quelle est la nature exacte de ces champs cutanés et salivaires qui déterminent la « latéralité » d’un patient ? Quelle est l’essence de ces « champs biologiques » ?
La Latéralité des salives
Nous l’avons vu, il est impossible d’imaginer que les 32 champs cutanés soient purement électromagnétiques, seulement sensibles aux seuls ATSU, qu’ils ne soient pas biologiques.
A la lumière de nos investigations via les trèfles, nous avons constaté que le trèfle D est apte à résonner avec certaines cases du damier cutané et le trèfle G avec les autres cases ; ces cases constituent le damier des Champs cutanés.
Ces trèfles sont aussi aptes à définir la Latéralité de la salive (sise en Minigrip) du malade. Et toutes les expériences croisées ont toutes confirmé une même « Latéralité initiale » entre le donneur de la salive et son type de damier cutané.
Actuellement, rappelons-le, cette notion de Latéralité est remplacée par celle de salives en phase (80/100 G initial) et salives en opposition de phase (20/100 D initial). La Latéralité varie donc d’une personne à l’autre.
Les Champs biologiques cutanés
Quelle est vraiment la nature des 32 champs cutanés en damier, révélés par les ATSU ou les trèfles ?
D’abord, je cherchai à concevoir un détecteur de Latéralité puissant, pour les appliquer au diagnostic de la latéralité des salives.
Ce champ numérisé « D » était le fruit d’un mixage d’enregistrements de salives « D » . Pour ce faire j’avais pris une pile de trente salives de latéralité droite nette et une autre de trente salives de latéralité gauche nette ; et j’enregistrais chaque élément de pile. Le mixage informatif de toutes les salives droites, mis en lecture, émettait un fort champ de Latéralité Droit ; idem avec le mixage des salives gauches qui émettait un fort champ de Latéralité Gauche.
Connaissant la malléabilité des matières plastiques et leur capacité à se polluer ou à être dépolluées par le champ informatif de la Labradorite numérisée, il me vint l’idée d’exposer un crayon en plastique à l’émission d’un champ numérisé « EM D » émis par l’écran du PC.
Assez rapidement, ce crayon-stylo se transforma en détecteur de salives à latéralité Droite. J’avais enfin un instrument, ne comportant aucun élément de nature EM, capable de définir un champ de latéralité D. Je fis de même avec un autre stylo et obtins un détecteur de champ de latéralité G. Ces deux détecteurs m’offrirent alors la possibilité de constater que les 32 champs cutanés n’étaient pas EM, que 16 étaient « D » et 16 « G » et tous répartis en damier.
Ces constatations m’incitèrent à abandonner l’appellation « Champs EM D ou EM G » et à les rebaptiser « Champs biologiques cutanés D et G ». La disposition en damier de ces champs était cohérente avec la latéralité salivaire comme nous l’avons évoqué.
Le crayon feutre à deux Windsor
Les crayons en plastique, induits, inférés en détecteurs de salives D et G de manière numérique, ne pouvaient être que des instruments instables, ils pouvaient spontanément et lentement se désactiver…certes il était possible de les réinformer par exposition comme initialement, ce qui est rapide.
Ces stylos détecteurs, non EM, n’avaient pas d’équivalent « stable » pour définir la Latéralité d’une salive.
Je fus donc en recherche d’un instrument spécifique, durable, de détection des Champs Biologiques et doué d’une assez bonne puissance.
Comme toutes mes recherches précédentes avaient beaucoup bénéficié de l’étude de nœuds divers (nœuds de trèfle, nœuds Borroméens), c’est dans cette direction que j’axais mes investigations. Avec mon stylo induit en Champ Biologique (CB) Droit, placé en regard de tous les nœuds que j’analysais, un seul me donna une forte résonance. Il n’avait aucune configuration mathématique. C’était le nœud de cravate de type Windsor. Ce nœud, aussi inattendu que trivial émettait un bon CB D !
Je construisis deux nœuds pour obtenir plus de puissance. Et, ces 2 nœuds de Windsor, placés au milieu et autour d’un stylo-feutre, parallèles entre eux, généraient un CB Droit à une extrémité et un CB G à l’autre extrémité. Il est donc bipolaire comme un aimant. Et, comme un aimant, il peut avoir un effet délétère sur le champ ambiant en induisant des oscillations lentes au pouls. Ainsi donc, quand il est hors service, un des deux nœuds est inversé : les 2 nœuds sont face à face et se neutralisent…Mais j’ai malheureusement souvent omis cette précaution.
Particularité à noter : pour être efficients, ces nœuds de cravate doivent être complets : le crayon joue le rôle du cou, les deux pans de la cravate ne doivent pas être coupés ni supprimés.
En fonction, ce feutre à 2 Windsor (WW) établit très facilement la latéralité de toutes les salives et des divers champs cutanés. Mais surtout il me permit de constater que toutes les substances biologiques seraient toutes douées de latéralité (dans leur phase initiale d’oscillation lente), les médicaments de synthèse compris. De même que dans le cas des champs de torsion les substances se divisent en cdtD et en cdtG, dans le cas des Champs Bio, ils se divisent aussi en D et G.
Chaque substance biologique et son support CDT oscillent de manière synchrone D/D.
Une fois encore, ces affirmations doivent être relativisées par l’expérimentateur. Il est lui-même la source de ces oscillations. S’il s’auto-neutralise par effet miroir, ni les CDT ni les substances pharmacologiques ne présentent une quelconque Latéralité.
Champs Biologiques et Médiumnité.
Le pouls de Nogier m’a permis de découvrir que les champs informatifs biologiques sont étrangers à l’électromagnétisme, qu’ils sont subtils, malléables, labiles, formatables (champs morphiques), comme les stylos de plastique qui les infèrent.
Cette approche m’a valu la désapprobation des gardiens du temple.
Le pouls de Nogier devait rester un instrument exclusif de l’auriculothérapie.
Or, via le pouls de Nogier, notre recherche semblait dévier vers la radiesthésie voire la radionique en raison de la notion de champ de forme qu’illustrent les sandwichs isomorphes salivaires. Ma transgression était inquiétante.
Certains affirment que Paul Nogier leur aurait « apporté la certitude » que son pouls dynamique n’avait aucun rapport avec la radiesthésie. Malheureusement, cette démonstration de P. Nogier ne semble pas avoir été retrouvée.
Face à ces reproches, je n’avais aucun mal à me défendre. J’étais incapable de déceler une source d’eau, incapable de percevoir le réseau de Hartmann. Pendant toute ma carrière médicale, j’ai été en contact avec des radiesthésistes passionnés qui tentèrent en vain de me faire ressentir avec leur baguette de coudrier ce qui leur semblait évident. Bref je n’avais et n’ai aucun talent en radiesthésie.
Mais depuis cet épisode, j’ai découvert le feutre à 2 Windsor. Cet instrument étonnant m’a alors conduit, via le pouls de Nogier, dans l’univers de la médiumnité. Car, ce feutre à 2WW décèle des choses que les trèfles ne décèlent pas.
Si je survole la photo d’un radiesthésiste connu : l’Abbé Bouly, l’inventeur du mot « radiesthésie », avec la pointe D du feutre WW, le pouls détecte de nombreuses Pulsations, 140 VAS. Avec la pointe G, Pierrounet un magnétiseur célèbre de Lozère donne 130P ; Idem pour Philippe Vachod qui émet 190 VAS. J’en ai mesuré bien d’autres grâce à Google.
Une constante commune lie les radiesthésistes, les magnétiseurs et les clairvoyants : ils émettent tous des CB intenses entre 100 et 200 VAS ; les uns sont Hyper latéralisés à D les autre Hyper latéralisés à G. Je pense que seul leur expérience les oriente vers telle ou telle discipline…
Les plus extraordinaires se trouvent parmi les mystiques chrétiens, particulièrement chez ceux qui subissent les stigmates des plaies de la Passion du Christ…et les terribles souffrances qui les accompagnent. Ils émettent entre 240 et 300 VAS.
Si je m’analyse, je ne compte que quatre pulsations de CB ! Je n’ai donc aucun talent comme je l’ai dit. Mais grâce au feutre à WW, je peux dorénavant obtenir une résonance devant un écoulement d’eau…et capter enfin les mailles du réseau de Hartmann.
Ne pas interférer dans les protocoles expérimentaux n’est pas un problème mineur. Avec 4 VAS de Champ Bio D, je suis un témoin assez neutre dans mes mesures pulsologiques. En revanche, la photo de Paul Nogier permet de constater qu’il émet 40P de Champ Bio G initiaux ! Ses talents de magnétiseur n’étaient donc pas nuls, loin s’en faut. Et quand il passait une petite heure à examiner les oreilles d’un malade tout en faisant diverses expériences, était-il un bon référent neutre, un bon témoin expérimental ? Son magnétisme naturel n’agissait-il pas à son insu lors de ses guérisons imprévues ?
Application inattendue des Champs Biologiques
Pendant toute ma carrière médicale et acupuncturale, j’ai été amené à rencontrer des thérapeutes, non médecins, adeptes de la Réflexothérapie. Cette technique consiste à masser des points de la plante des pieds. Ces points de plante seraient en liaison avec les divers organes du corps ; ils réaliseraient une véritable somatotopie organique, une représentation des divers organes du corps comparable à l’image du fœtus inversé de P. Nogier sur les pavillons d’oreille.
J’avoue que cette pratique m’a toujours laissé très dubitatif ; à part le point N°1 du Rein situé au tiers antérieur de la ligne médiane de la plante des pieds, je n’ai jamais, hormis les points loco dolenti (épines calcanéennes), décelé d’autres points. De plus je considérais que la marche à pied était suffisante pour masser tous ces éventuels terminaux d’organes.
Mais le feutre WW a fragilisé mes préjugés. Avec ce détecteur de CB j’ai découvert des points de plante très inattendus. Ces points semblent unilatéraux ; en réalité ils alternent symétriquement entre le pied D et le G selon un couple oscillatoire. Leur site est très variable. J’ai pu établir des résonances entre tissus organiques et sites plantaires. Une cartographie est donc à notre portée. Les cartographies traditionnelles ne sont pas mauvaises mais des erreurs semblent s’y trouver. Au demeurant, ces somatotopies sont peu intéressantes. L’essentiel, pour le praticien est de repérer les points et de les « traiter » directement, moins avec les deux extrémités du feutre WW lui-même, qu’avec la pointe d’une Labradorite.
Nous devons distinguer cependant les points somatotopiques des plantes et ceux des oreilles. Ces derniers ont toujours été trouvés par les auriculothérapeutes à partir de détecteurs biophysiques, EM (T Or-Ag, T BN, Spot de lumière blanche), la partie biologique étant représentée par la main du praticien qui tient le détecteur. Ces points auriculaires sont essentiellement des points polyvalents (EM et biologiques) alors que les points plantaires sont uniquement des points Biologiques.
Pour conclure.
Une fois encore c’est la mise au point d’instruments nouveaux qui m’ont fait progresser dans la recherche et ont fait bouger les représentations théoriques. Depuis les ATSU, les cristaux de Labradorite, les trèfles résonateurs, les amplifications numériques, jusqu’au feutre à WW, j’ai pu parcourir et étudier les champs purement biologiques qui s’affranchissent des concepts EM et des théories ondulatoires. Les Champs Bio m’ont aussi ouvert la porte de la Réflexothérapie.
Les Champs Biologiques qui regroupent les champs de latéralité cutanée et salivaire, mais également les champs médiumniques sont des apports décisifs qui relient le pouls de Nogier, nolens volens, à la « radiesthésie » des sourciers si décriée et cependant si étudiée par Yves Rocard qui fut le directeur du laboratoire de physique de l’ENS, rue d’Ulm.
Il serait intéressant d’étudier la réactivité exceptionnelle du réseau artériel des radiesthésistes. Sans doute le tressaillement des artères palmaires, avec composantes longitudinales ou transversales, jouerait un rôle déterminant dans les mouvements de leur baguette ou pendule. Ce tressaillement aurait intéressé René Leriche, l’alter égo de Paul Nogier.