33 LES CHAMPS BIOLOGIQUES

33 – Mots-clés : Biochamps 41M , bio photons , cages de Faraday , champs de forme , Champ de Phase spatiale et horaire , couleurs , damier , feutre à 2W , Latéralité indécise , Latéralité initiale , médecine quantique , mémoire de l’eau , mesurer la « médiumnité , Mu Métal , Point axial d’une salive , Sandwich salivaire SWS , tunnel rectangulaire ,

La définition des champs biologiques est issue exclusivement de la Pulsologie, de l’art clinique reposant sur la lecture du pouls radial dit « Pouls de Nogier ».

Dans les champs biologiques que nous allons évoquer, la présence de champs quantiques n’est pas impossible mais nous n’avons guère de moyen de le démontrer. Il en résulte que nous préférons parler de biophysique informationnelle plutôt que de médecine quantique, adjectif un peu trop prodigué.

Les champs biologiques sont émis par les substances médicinales. Ils émanent bien sûr de la salive des malades ; ainsi que des germes, virus et bactéries.


Mise en évidence des champs biologiques.

Il faut d’abord concevoir que ces champs ne sont pas électromagnétiques. S’ils étaient EM, les champs biologiques, spécifiques et spontanés, devraient être sans cesse noyés, pollués, altérés par l’océan EM ambiant et agité dans lequel nous baignons.

D’ailleurs, nos champs biologiques franchissent allègrement les cages de Faraday, ce qui les exclut des CEM.
A l’image de l’huile qui émerge au-dessus de l’eau, ces champs ne se confondent donc pas.

D’aucuns nous ont amenés à penser qu’il existe des « champs de torsion » (CDT) qui sont des vortex, des sortes de spires ou de tourbillons dénués de vibrations. Nous tenterons de revenir là-dessus.
L’instrument initial et déterminant d’analyse des CDT est représenté par des trèfles droit et gauche. Ce sont des tores et des rubans de Moebius à la fois. Ils décèlent, via le pouls, les champs de torsion CDT D ou G selon l’heure.

La mise en résonance de trèfles avec les substances biologiques révèle que ces dernières sont toutes accompagnées de CDT.
Nombre d’expériences nous ont conduits à considérer que les champs biologiques portés par les CDT scalaires sont aussi des« champs de forme ».

Les champs de Latéralité.

Tout être humain, et sa salive comprise, semble disposer d’une Latéralité. C’est dire que, lors de son analyse, la Latéralité d’une salive doit être interrogée.

A l’origine, le Dr P. Nogier avait signalé qu’il avait des problèmes avec la latéralité des patients ; il incriminait certains patients d’être des gauchers contrariés…En réalité la « Latéralité » que nous évoquons n’a rien avoir avec la motricité dominante de la main D ou G.

La Latéralité semble représentée par les 32 champs cutanés disposés en damier. Là où les cases sont noires pour un sujet, elles sont blanches pour un autre. Cette image permet d’évoquer les deux types de Latéralité D et G.

J’ai très tôt travaillé sur les salives. Je plaçais la salive à côté de la tête du malade. Je me suis longtemps battu contre des pouls de malades qui refusaient de « se mettre au repos », malgré le décubitus et le calme du patient. Après quelques progrès techniques, j’en suis venu à constater que le pouls du sujet parvenait au repos quand sa salive était à D ou à G de sa tête ; si la salive placée à D installait le silence je décidai de façon arbitraire que le malade et sa salive étaient de Latéralité D… En réalité il s’agissait d’une Latéralité initiale car la salive était animée d’oscillations très lentes, issues tant du malade que du praticien.

Contrairement aux champs de torsion évoqués avec les trèfles, je n’avais aucun instrument de mesure permettant de définir la Latéralité d’une salive.

Je me suis dirigé d’abord vers des enregistrements numériques audios mixés de salives D pour obtenir un champ D ; idem avec les salives G pour obtenir un champ de Latéralité G. Ces champs mixés étaient intenses et résonnaient avec certaines salives à la Latéralité indécise, mal affirmée par le test de la salive placée à D ou à G de la tête du malade ; cette faible latéralité reflétait sans doute le moment de la bascule, via le zéro, qu’est l’interphase.

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Ces champs de Latéralité numérisés intenses m’ont permis de découvrir une résonance avec un nœud inattendu, banal, un nœud de cravate de type Windsor (W). Placé au milieu d’un crayon feutre, ce nœud induit aux deux extrémités du crayon un pôle de Latéralité D d’un côté et un pôle G à l’autre bout. Cet instrument remarquable a aussi un gros inconvénient : il est bipolaire.

La première application de ce feutre à 2W (deux nœuds côte à côte) fut celle de trier toutes les substances médicinales selon leur « Latéralité D ou G ». La salive n’était donc pas seule à disposer d’une Latéralité.

La seconde application est assez inattendue. Elle m’a permis de mesurer la « médiumnité » de certains êtres humains. Quand on mesure la Latéralité d’un médicament quelconque, on note une résonance modérée qui va de 2 à 20 voire à 60P (Pulsations ou VAS). Il en va de même avec les salives…sauf exception. Les grands médiums accusent 150 à 250P de « latéralité ». Ils oscillent donc très lentement. Ils se répartissent en D et G initiaux.

L’étude des champs biologiques des grands médiums s’étend à l’enregistrement des champs des magnétiseurs. Les bienfaits ciblés des magnétiseurs sont très efficaces pour certains malades avec lesquels ils sont en communion et inefficaces pour d’autres envers lesquels ils sont en opposition.

Anticipons et disons que ces Médiums seront à l’origine des Biochamps 41M. Nous y reviendrons.

Les champs de torsion.

Nous les avons évoqués, ces champs sont révélés par les trèfles D et G.

Ces champs sont à décrire.

1/ Prenons une salive cdtD en Minigrip, mais non en sandwich. Quand un trèfle D survole cette salive en parallèle il y a résonance initiale au centre, à l’aplomb du coton imprégné, puis résonance dans le halo, puis au centre, puis halo, selon une oscillation lente type. L’autre trèfle G ne résonne pas, reste inerte !

Cette distorsion est en réalité imputable à ma présence. Si le Minigrip salivaire est à ma droite, le trèfle D résonne ; si le Minigrip est à ma gauche, à gauche de ma ligne médiane, seul le trèfle G résonne. La mesure reflète les latéralités de mes champs cutanés.

En revanche, si le Minigrip est placé en SWS, je n’influe pas sur la résonance. Qu’il soit à ma D ou à ma G, le SWS résonne sous le trèfle G si le donneur de salive est gaucher-cutané ; et il résonne sous le trèfle D si le SWS est issu d’un donneur droitier-cutané.

Point axial d’une salive. Le matin, avec un trèfle D au-dessus d’un Minigrip-salivaire, l’analyse montre que le CDT D oscillant « centre / halo » est constitué d’une surface plane, et d’un axe filiforme, rectiligne et central qui le traverse de manière perpendiculaire au plan et qui résonne ponctuellement, lui, avec le trèfle G.

Si le trèfle D s’écarte, s’élève au-dessus de la salive, la résonance prend la forme d’un cône ouvert à 60° vers le haut. Il faut noter que le coton porteur de la salive est à la source de l’axe.

D’une manière générale on peut entrevoir l’aspect d’un CDT : un vortex, un tourbillon ou un cyclone, à ceci près que l’œil du tourbillon, l’axe central, ne serait pas immobile mais en rotation inversée

2/ Mais revenons à une émission très plane : un médicament numérisé activé ou un Biofilm de médicament affiché sur l’écran de 10×10 cm de dimension.

Si le trèfle survole l’écran, on retrouve la même chose : le CDTD du médicament couvre toute la surface du Biofilm et le centre est transpercé par un axe en CDTG. Ces deux entités sont source d’une oscillation intrinsèque entre la surface et l’axe : les cdtD et G alternent de nature, quand l’un pulse en Long, l’autre le fait en travers.

Si maintenant nous éloignons le trèfle de l’écran du PC, nous constatons que ce CDTD conserve sa forme de 10×10 cm, à 10 mètres de l’écran et que la résonance avec le trèfle D est aussi puissante qu’à 10 cm d’éloignement.

Tout l’espace devant l’écran est parcouru par un tunnel rectangulaire de 10×10 cm conservant une même puissance, que ce soit à 10 cm, 10 m ou 100 mètres.

Les champs de forme.

Bien que scalaires, les champs de forme ne sont pas a priori des champs biologiques.

Les sandwichs (SW) salivaires représentent notre première application. Ils sont constitués de trois plans : au centre le sachet plan contenant la salive et de part et d’autre deux feuilles de papier (Canson) gris, de forme et de dimensions identiques. Nous utilisons ces SW depuis fort longtemps.

Les SW formatent l’information issue de la salive de manière très spécifique, selon une émission conique au-dessus du SWS et selon un plan tout autour ; aucune salive proche non formatée n’est capable d’interférer ni de modifier cette information. Ces SW ou champs de forme sont aptes à présenter les champs biologiques selon une morphologie précise ; d’où le nom de champ morphique qu’on leur applique aussi.

L’émission du CDT d’un remède numérisé (issu d’un enregistrement global) est au départ plane comme l’est l’écran du moniteur du PC, mais nous avons vu qu’elle s’éloigne de l’écran sous forme d’un tunnel rectangulaire aux dimensions de la « grande icone » émettrice.

Ainsi donc nous sommes amenés à penser que, si les champs scalaires de forme ne sont pas spécialement biologiques, les champs biologiques sont modulables et contraints de prendre la forme du CDT porteur.

Discussions : Rapports avec la Physique quantique, les Biophotons, la Mémoire de l’eau ?

*La théorie des quanta d’énergie.

Ce que nous en connaissons ne semble pas rendre compte de tout ce que nous venons de décrire de manière condensée. Mais les sites multiples de « médecine quantique » nous obligent à nous interroger : sommes-nous dans le quantique ?

Un des éléments qui nous questionne provient de la morphologie en cône ou en tunnel que suivent les champs de torsion selon leur source. Elle provient aussi des axes centraux ou des halos de rotation opposée : pour un CDTD en tunnel, axe central en cdtg.

Autre phénomène : l’intensité de la résonance au pouls ne diminue pas avec la distance qui sépare la source du CDT de l’endroit où il est mesuré. Ceci pourrait évoquer une sorte « d’intrication » … ?

Ce qui fait aussi question, c’est la résonance entre des volumes et des plans, d’un objet en 3D et de son image plane, non holographique à première vue.

Une des caractéristiques de la physique quantique est la suivante : « l’observateur modifie la mesure par sa présence et par l’instrument de mesure qui interagit ». Il en va de même en Pulsologie en raison du caractère oscillant de l’espace, fait de 32 champs cutanés en damier (issus du praticien).

Mais problème, celui de la labilité informative qui subit la pollution provenant des champs magnétiques ou électriques ambiants. Cette labilité ne semble pas de nature quantique.

La mécanique quantique est une théorie surtout mathématique dont certains résultats expérimentaux physiques sont exacts, les lasers en font foi. Mais elle ne dit absolument rien sur les champs biologiques. Certes, des quantas d’énergie sont nécessaires à l’activité des enzymes, à celle de la photosynthèse, à la communication par l’odorat…mais c’est bien peu pour l’instant.

Nous sommes donc amenés à considérer que l’étude des champs informatifs biologiques n’a, pour l’instant, pas de rapport évident avec la théorie quantique.

*L’étude des biophotons

Alexander Gurwitsch, L. Colli et U. Facchini, P.S. Callahan, Helmut A. Fischer, Vlail P. Kaznacheev, Alexander B. Burlakov, Fritz-Albert Popp et bien d’autres chercheurs ont étudié l’émission photonique ultra faible (EPUF) des systèmes biologiques ; c’est une autre aventure.

Tous ces auteurs ont montré, sous des angles différents, que les cellules et particulièrement l’ADN émettait et recevait des messages photoniques tel un laser photonique ; ces messages sont capables d’avoir une action biologique à distance. Ainsi une plante en croissance, saine ou malade, est apte à favoriser ou inhiber la croissance de jeunes pousses situées dans l’entourage. Pour F.A. Popp, les bio photons seraient des champs de photons cohérents ; ils seraient des quantas d’énergie.

Ce qui nous perturbe dans cette étude, ce sont les notions de photons, de fréquences vibratoires, d’appareils de mesures sophistiqués, les « compteurs de photons » par exemple.

Selon notre approche, les couleurs ont certes une traduction énergétique : l’effet bénéfique ou nocif des couleurs se condense sur la cellule : utilité et danger des UV ; l’apaisement psychologique lié à la couleur bleue des salles d’opération ou des chambres est d’ordre énergétique. Les couleurs ont bien d’autres effets matériels (photosynthèse). Mais les couleurs n’émettent pas de Biochamp informatif, thérapeutique.
Ainsi un Biofilm, quelle que soit la couleur de fond, de présentation, émet une identique information.

*La mémoire de l’eau.

Suite aux travaux de J. Benveniste, le Pr Luc Montagnier a repris ses recherches. France 5 (2014 07 07) nous a montré un très bon documentaire, une belle expérience sur la transduction de l’ADN d’un malade du SIDA, via les informations EM transmises par de l’eau pure informée, vers un tube contenant des briques d’ADN (nucléotides) et la polymérase PCR ; en fin de course, l’eau informée est apte à reconstruire l’ADN du malade avec une assez bonne similitude.

Cette expérience a plusieurs qualités. Elle met bien en évidence les problèmes de pollution EM de départ (téléphones portables, projecteurs de cinéma…). Elle démontre bien que l’eau stérile est apte à transmettre un message via un système d’enregistrement audio. Cette expérience surtout ne se sert pas du pouls de Nogier, ce qui nous différencie complètement.

Cette expérience invite à se poser des questions :

Pourquoi les dilutions dynamisées en 6 ou 7DH semblent-elles les seules agréées ; même si elles sont seules à s’afficher sur l’écran du PC via « la transformée de Fourier » du Matlab ? Dans mes études, toutes les dilutions sont informatives jusqu’à 100 000K !

Pourquoi le support de l’eau est-il un tube en plastique et non en verre ?

L’enregistrement de l’eau dynamisée, dans le Labo de L. Montagnier à Paris, n’est protégé par aucun Mu Métal (Ni-Fe-Mo) à forte perméabilité magnétique, épongeant ainsi les champs magnétiques ambiants …Ce dernier n’intervient que lors de la transcription (en Italie) … Comment saisir qu’aucune interférence majeure ne survienne dans le milieu Hyper CEM qui est celui d’un Laboratoire mais aussi celui de notre milieu environnant ?

Pourquoi cette fixation sur l’eau ; celle-ci est-elle un médiateur irremplaçable ? Dans ma pratique j’enregistre des produits huileux ou secs.

Il faut 1 heure pour que le message « EM » informe le kit d’ADN et que celui-ci ait le temps de se répliquer ; alors qu’après expo d’un malade pendant 5 min à un remède bénéfique, sa nouvelle salive apparaît tout de suite « guérie » ?

Comment faire le diagnostic d’une bactérie via le Matlab qui paraît peu sélectif ? La sélection par le pouls de Nogier est beaucoup plus précise.

Pour conclure.

Les champs biologiques ici présentés caractérisent les substances médicinales en général et les salives en particulier.

Nous pouvons anticiper et dire que ces champs s’emboîtent comme des poupées russes : CEM < CDT < Champ de Phase spatiale et horaire < Champs biologiques.

Probablement existe-t-il d’autres champs que nous ne pouvons concevoir. Mais seuls ceux que nous avons présentés ont été captés par l’instrument biologique le plus sophistiqué qui soit : le pouls radial de P. Nogier. Cet instrument actuel et d’avenir est sans aucun doute la porte étroite de la recherche biologique pure, dénuée de tout instrument bipolaire ambiant, perturbateur et désinformant.