29 DE LA LABRADORITE AUX CHAMPS DE TORSION VIA LES TRÈFLES
28 – Mots-clés : alternateur , champs de forme et champs de torsion , date de péremption , les enfants , Geodd , ligne périphérique vectorielle , malléabilité structurelle LBD , méat urétral , nœud en trèfle plan , quatre zones cutanées , Spinor , stylo à Labradorite , tronc de cône ,
La Labradorite (LBD) est une pierre de structure cristalline, souvent présentée avec une face polie pour bien mettre en évidence ses irisations caractéristiques. Nous allons voir ici comment cette pierre est devenue le « sésame » de la Pulsologie, de la médecine informative, comme le pouls dynamique de Nogier en est la « pierre de touche ».
De nouveaux instruments voient le jour : les Trèfles D et G. Appliqués à la Labradorite, ils nous conduisent vers une notion nouvelle : les Champs De Torsion (CDT). Le Spinor 2 ou Geodd, dispositifs qui redressent les champs de torsion initialement gauches, nous ont permis d’engager l’étude de ces CDT.
PREMIÈRE RENCONTRE AVEC LA LABRADORITE (LBD)
Il y a quelques années, j’ai fait la connaissance, à la faculté de Médecine de Paris, d’un auditeur non-médecin qui était « magnétiseur ». Nous échangeâmes librement. Il m’expliqua qu’après avoir passé une journée à faire des « passes magnétiques » sur ses patients il était parfois « très fatigué par les ondes négatives de ses malades ». Pour contrer cet épuisement, il me dévoila que les « magnétiseurs » ont coutume d’utiliser une pierre spéciale, la Labradorite, un tectosilicate, un feldspath plagioclase, de formule (Na,Ca)(Al,Si)4O8, une roche cristalline en provenance du Labrador et des pays nordiques…mais aussi de Madagascar, du Mexique, des USA. En se frottant les paumes des mains, pendant deux ou trois minutes, avec ce cristal, leur fatigue disparaissait…
C’est ainsi que j’appris l’existence de cette mystérieuse Labradorite.
Dès mon retour, je commandai ce cristal (lancéolé d’à peu près 6 cm) sur le Web. Ces cristaux sont livrés avec une face polie qui met bien en évidence l’irisation qui les caractérise.
La Labradorite que je me suis procurée, me révélera, via le pouls, qu’elle est en effet capable à la fois de déceler et de dépolluer quatre zones cutanées « Projections nocives sur la peau » mais aussi bien des substances pharmacologiques.
POLLUTION INFORMATIVE DES SUBSTANCES MEDICINALES
LEUR DÉPOLLUTION PAR LABRADORITE
L’activité clinique diminuée de deux remèdes allopathiques, de familles très différentes, ayant cohabité dans une même boîte, fut le point de départ de notre étude. La LBD révéla qu’elle était capable de dépolluer ces remèdes divers qui s’étaient pollués. Il suffit de passer la pierre pendant dix à soixante pulsations au contact de chaque médicament pollué pour que celui-ci réponde nettement de nouveau au test d’identification pharmacologique.
La cohabitation des remèdes dans une même boîte était-elle la cause de leur l’inter pollution ? Nous l’avons cru au début. En réalité, le contenu de cette boîte avait été analysé à la suite d’un long voyage en voiture…Et c’est encore l’alternateur de la voiture qui avait magnétisé et pollué ces médicaments.
La date de péremption du médicament n’intervient pas dans ce processus de désinformation.
Cette action de la LBD est intéressante. Une substance peut se désactiver, se désinformer, se polluer et perdre une part importante de son effet clinique. Mais la LBD dispose d’un mystérieux contre-pouvoir…
STRUCTURE X DE LA LABRADORITE
La Labradorite est une substance Neutre, sans « latéralité », sans phase oscillante.
Ce feldspath plagioclase, est doué d’une structure cristalline.
La Labradorite « LBD » apparut de prime abord, au pouls, comme étant dotée d’un axe avec deux pôles. Ces pierres oblongues et cristallines plus ou moins pyramidales sont scindées en éclats (de 60 gr) chez le tailleur de pierres.
Une résonance (infra) au pouls a lieu quand les grands axes de deux éclats allongés distincts sont mis en parallèles entre eux ou dans le prolongement l’un de l’autre.
La commande de plus grosses pierres (de 120 gr) nous révéla que cet axe polaire passait régulièrement par les extrémités pointues. Dans le cas d’une LBD plus volumineuse, assez arrondie et ne possédant qu’une seule pointe, l’axe polaire pouvait être oblique et se diriger de façon imprévisible vers la surface arrondie opposée.
Question : Quelle était la nature de cet axe polaire de pointe ? Mystère pour l’heure. L’étude des résonances entre les « axes polaires » montra que ces derniers correspondaient à des lignes qui contournaient le cristal de LBD dans le sens de sa longueur.
En fait, il n’y a pas d’axe réel mais des plans passant au centre du cristal qui définissent en périphérie différentes lignes circulaires vectorielles. Nous verrons (infra) que l’étude de ces plans axiaux à l’aide d’un « nœud en trèfle plan » nous permet de mieux décrire cette structure cristalline.).
RÉACTIONS DE LA LABRADORITE EN REGARD DE LA PEAU
Quel rapport existe-t-il entre la LBD et la peau ? Que nous enseigne le survol du revêtement cutané avec la LBD ?
Si nous survolons la ligne médiane du corps avec la LBD en parallèle, et en particulier avec l’une des lignes qui unissent les deux extrémités de la pierre, nous constatons que dans un sens nous avons le silence et dans l’autre sens une résonance continue. Si nous parcourons cette ligne médiane du corps, nous notons que la position résonante de la LBD se perpétue d’avant en arrière du corps. Autrement dit, aux lignes circulaires orientées de la LBD correspond une ligne médiane circulaire orientée à sens unique du corps. Ceci va à l’encontre du sens des méridiens « Conception » et Gouverneur » des Chinois dont les points N°1 sont près de l’anus et les derniers points près de la bouche.
A mon avis, Conception va du méat urétral vers la lèvre buccale inférieure ; Gouverneur de la lèvre buccale supérieure vers le crâne, le dos, le périnée et se termine au méat urétral ; le tout en sens unique.
Une analogie semble donc voir le jour entre la ligne médiane du corps et la ligne circulaire de la LBD, cette ligne ovale est une ellipse orientée.
Survolons la peau, d’un sujet au pouls initial sans repos par suite d’une intoxication (alimentaire ou iatrogène), avec une face de la LBD. Nous découvrons alors des zones arrondies de silence sur le corps. Et ces zones arrondies, qui ne sont mises en évidence qu’avec la LBD, correspondent toujours à quatre zones identiques d’intoxication. Ces zones, que nous préciserons ultérieurement, seront maîtrisées par la LBD elle-même placée en leur centre pendant 2 à 3 minutes chacune.
LES AVANTAGES DES LBD
Correction de points d’acupuncture.
Un cristal de LBD possède un pouvoir thérapeutique au niveau des points d’acupuncture.
La pointe de la LBD est appliquée sur le point. Son action se fait au contact de la peau ou au travers du vêtement et la correction du point se produit après un certain laps de temps (ex. 70 Pulsations ou plus).
Ceci est intéressant chez les enfants, mais aussi chez les adultes, en raison de l’absence de douleur quand la plante des pieds est impliquée. La correction se surveille au pouls.
L’intensité de l’effet thérapeutique est cependant moindre avec la Labradorite qu’avec une aiguille d’acupuncture.
Le stylo à Labradorite.
Le cristal de LBD est assez tendre et facile à piler avec un marteau. On peut le transformer en poudre et placer celle-ci dans un fin cylindre (un Bic sans pointe ni cartouche d’encre), obstrué ensuite à ses deux extrémités. Nous constatons alors un phénomène nouveau : les deux extrémités du stylo à LBD forment chacun un pôle actif mais synchrone, sans opposition de phase. Cet instrument peut rendre service à l’auriculothérapie. Il va dans tous les replis et recoins cutanés.
LA LABRADORITE EST UN CRISTAL SPÉCIAL
Structure du cristal de LBD.
Nous l’avons étudiée à partir d’un « plan nodal » particulier : le nœud de trèfle. C’est avant tout un résonateur. Mais il permet d’étudier la pierre de Labradorite.
Le plan nodal est fabriqué à partir d’un fil métallique gainé de plastique (le nôtre fait 26 cm de long) et dessinant une feuille de trèfle en circuit fermé. Ce nœud en trèfle, est assimilable à un plan ; en réalité c’est un tore (anneau creux) ainsi qu’un ruban de Moebius.
Le nœud de trèfle, comme le cristal de LBD, est entouré d’une semblable ligne périphérique vectorielle. Quand un plan nodal de trèfle et un plan axial de la LBD sont dans le prolongement l’un de l’autre, il y a résonance au pouls. Le nœud de trèfle permet donc de définir avec précision les plans de cette LBD et la direction de leurs lignes périphériques.
Bref, ce nœud de trèfle nous permet de décrire un peu le système cristallin de la Labradorite en nous éclairant sur son éventuelle structure.
Le cristal possède des plans verticaux (schéma) dont les lignes périphériques sont vectorisées. Il existe aussi des plans transversaux régulièrement répartis. La pointe d’une pierre LBD doit ses qualités polaires au croisement des divers vecteurs longitudinaux
Étude de la malléabilité des plans de structure de la LBD.
Première observation. De la LBD en poudre est étalée dans le pli rectiligne d’une feuille de papier de manière continue, régulière et homogène. Le trèfle 1 repère 10 points de résonance (dont un à chaque extrémité de la ligne). Ces points délimitent ainsi 9 espaces de 3,5 cm chacun. L’autre trèfle 2 repère 9 points de résonance au milieu des 9 espaces.
Les points de résonance repérés avec le trèfle 1 sont particuliers. Par chacun passe un plan perpendiculaire à la ligne de poudre. Et ce plan de résonance est vaste.
Réduisons maintenant la longueur de la ligne de poudre (la poudre n’occupe plus que 7 des 9 espaces précédents). La quantité de poudre étant la même, la ligne est plus épaisse par cm de longueur. On constate alors que les points de résonance avec le trèfle 1 se situent en moyenne tous les 2,5 cm (idem pour les trèfles 2 décalés). Et il y a cette fois 10 espaces de 2,5 cm au lieu de 9.
Seconde observation. Cette poudre est ensuite placée dans un fin tuyau flexible. Si ce tuyau prend la forme d’un arc, les différents plans se dirigent du côté concave vers un point focal où se situe un fort rebond d’un des deux trèfles. Du côté convexe, curieusement c’est avec l’autre trèfle qu’apparaissent des plans orthogonaux au tuyau, avec un autre point focal virtuel situé dans le plan médian du tuyau. Ces plans en éventail se comportent au pouls différemment selon l’emplacement du trèfle par rapport à chaque foyer : plan résonnant en deçà, plans silencieux sur léger bruit de fond au-delà du foyer. Les deux foyers sont équidistants du tuyau.
Commentaires.
Dans les 3 cas, l’extrémité de la ligne ou du tuyau est le siège d’une résonance avec le plan du trèfle perpendiculaire au tuyau. Il y a modelage des plans de résonance et de leurs espacements en fonction de la longueur et de la forme de la ligne. Des foyers apparaissent en cas de ligne courbe et les résonances se répartissent de façon symétrique.
Toutes ces résonances modulables selon la forme de la ligne de LBD nous renvoient vers ces entités modernes : les champs de forme et les champs de torsion D et G.
LES CHAMPS DE TORSION
C’est sous l’impulsion d’un passionné de physique, D.C. auquel je rends hommage, que j’ai fait la connaissance des champs de torsion. Ces champs accompagnent toujours les champs électromagnétiques émis par les appareils électriques. Leurs caractéristiques physiques sont cependant différentes. Ils ont été particulièrement étudiés par des Russes comme Anatoly Pavlenko. En ce qui nous concerne, nous verrons que le pouls les met très facilement en évidence.
Le Spinor, un redresseur d’ondes de torsion (dispositif fabriqué en Ukraine et mal commercialisé) sera la base de notre étude. Un ingénieur praticien, A. G., m’a permis de trouver son équivalent commercialisé en France, le Geodd ; Spinor 2 et Geodd seraient identiques.
Le Spinor 2.
Cet instrument, qui se présente sous la forme d’une capsule circulaire de 5 cm de diamètre, ne modifie pas le rayonnement d’une source électromagnétique, mais l’onde de torsion qui l’accompagne.
Le Spinor de seconde génération renfermerait un minerai appelé “tchungite” provenant d’un gisement situé en Carélie (Russie). Ce minerai, ressemblant à de la poudre de charbon, contiendrait une certaine quantité de fullerène. C’est à peu près tout ce que nous savons sur ce dispositif. Sur le plan « commercial », il viserait à éliminer les « ondes de torsion nocives intenses » qui seraient transmises par les écrans d’ordinateur, les téléviseurs et les portables…ce qui reste à démontrer.
Forme conique des champs de torsion.
L’idée nous vint d’abord d’analyser la forme spontanée des champs de torsion. Si, avec un trèfle tenu en main nous survolons l’écran d’un ordinateur, le pouls bat de façon peu prolongée (6P), et les pulsations sont faibles, peu amples. Et si on tente de délimiter cette zone de pulsations, on note en effet qu’elle est contenue dans un tronc de cône.
Même phénomène lors de l’étude d’un four à micro-ondes ; dans ce cas, le pouls est fortement oscillant, ample, sur les côtés du four et non de face ; l’angle d’extinction, la limite du cône, est à 120° du plan latéral du four. Nous avons noté aussi que ces cônes nocifs variaient d’un appareil à l’autre : si l’écran du PC (le moniteur) envoie un cône de face, le PC lui-même envoie des cônes latéraux (comme les micro-ondes). L’extrémité d’une antenne Wi-Fi est un endroit où le pouls réagit assez fortement (dans un cône de 60° d’ouverture).
Les Geodd
Leur indication : la protection contre les « champs de torsion » auprès des appareils qui en émettent en excès : PC, télévision et base d’émission de plusieurs téléphones sans fil…
Critique des Geodd.
Les Geodd sont censés neutraliser ou plutôt inverser les CDT excessifs. Mais certaines choses ne sont pas avérées. Qui nous dit que le contre-CDT émanant du Geodd n’est pas lui aussi nocif ? Leur efficacité neutralisatrice est-elle suffisante ?
CONCLUSION
Ce chapitre portant sur l’analyse des vertus de la Labradorite s’est imposé au cours de nombreuses expérimentations. Nous le plaçons ici parce qu’il représente un stade important de notre évolution technique. La Labradorite est devenue inséparable de notre travail expérimental. Elle est le « sésame » qui nous a permis d’accéder aux notions de champs de forme et de champs de torsion. Elle se révèlera un puissant dépollueur de Champ magnétiques, particulièrement sous forme numérique et nous y reviendrons.
Le Spinor (ou Geodd) et les nœuds de trèfle : ces instruments initient les études sur les champs de torsion. Ils permettent d’analyser, de décrire, grâce à des états de résonance du pouls, la structure CDT des Labradorites et de faire connaissance avec les champs de forme de la poudre de LBD suivant divers alignements mais aussi les champs de torsion de forme conique de certains appareils de notre environnement.