48 Mise à Jour 2022 12 12
48 Les Biofilms
Question souvent posée : comment faire un Biofilm.
J’ai coutume de répondre que c’est assez facile…si l’on maîtrise bien le pouls de Nogier.
Question plus pertinente : à quels objectifs ces Biofilms doivent-ils se référer ?
La structure du Biofilm
Comme on peut le constater sur chacun de ceux qui s’alignent sur les sites de « soins-numerises » et de « remedes-numeriques », le Biofilm est composé de deux bandes superposées horizontalement.
A l’origine le film, produit par Paint.net, est uniforme.
Je le transfère alors sur Paint et, après avoir sélectionné sa moitié inférieure, celle-ci est retournée verticalement.
Ensuite j’analyse ses deux surfaces avec le stylo N°3,induit par le Biofilm S.T.B.Roublev INVERSE, via le pouls.
Le Biofilm apparaît comme un damier cutané. : il pulse en Long en bas à G et en haut à D ; il pulse en travers en haut G et en bas à D.
Cette structure équivaut à celle du damier cutané (Pulsologie.com, Chap. 16, structure des champs cutanés).
Structure atypique Oscillante d’un Biofilm
Si la grande majorité des Biofilms se présentent sous la forme indiquée, un assez grand nombre ne s’y soumettent pas : les quatre angles et la région centrale, normalement silencieuse, oscillent en regard du stylo N°3 ( voir soins-numerise.com. / 00 Labradorite dépolluante).
J’avoue qu’il m’a fallu bien du temps pour trouver la solution, pour résoudre ce problème oscillatoire, qui empêche tout listage de remèdes de manière homogène.
De prime abord, je fus inspiré par l’idée de tracer un cercle au milieu du Biofilm, via Paint. Et c’est dans le cœur de ce cercle devenu une zone stable que mon stylo N°3 put découvrir un point fixe minuscule. Ce point évoque l’axe central du Biochamp. Je le retirai avec la gomme (petit carré) en m’aidant aussi du quadrillage Paint.
A ma stupéfaction, après retrait du cercle central, le point gommé imposa le silence au Biofilm dans sa zone centrale et rétablit les quatre angle T/L à G et L/T à D.
Depuis nous avons mis au point un stylo N°4 qui nous dispense d’avoir recours au cercle préalable. Ce stylo N°4 nous indique avec précision, dans la région centrale, le petit carré du quadrillage qui doit être gommé.
Mais ce petit carré gommé n’est pas situé sur la ligne de séparation des deux rectangles égaux ; il est plus bas (rarement plus haut) que cette ligne horizontale médiane ; il n’a donc rien à voir avec l’axe central qui est à la source du Biofilm initial.
Latéralité du Biofilm
Le Biofilm idéal, le plus répandu, est donc celui du schéma.
Mais des anomalies de classification persistèrent car, sans raison, un certain nombre de films se présentaient sous forme L/T à G et T/L à D.
La clef de cette dyslatéralité est simple : le logiciel Paint nous offre de retourner tout le Biofilm en le faisant pivoter de manière horizontale. Et le tour est joué, le Biofilm redevient T/L à G et L/T à D. Le Biofilm peut retrouver sa place dans une liste en étant homogène avec les autres, ce qui est indispensable au bon déroulement des tests.
Les deux types de résonance lors des tests.
Les protagonistes d’un test thérapeutique (par exemple) sont le malade et une ou des listes de remèdes.
La résonance au pouls peut s’exprimer de deux manières ; soit en Long soit en travers.
La résonance en Long, ou Pulsions en Long sur le trajet de l’artère radiale, signe généralement une bonne complémentarité entre le malade et son médicament. Celui-ci lui est favorable.
S’il pulse en travers de l’artère, la résonance signale une rivalité, une « ressemblance » entre les deux éléments : la substance médicinale est aggravante.
Le « Malade » et sa structure.
La complémentarité du malade s’observe sur sa photo, son portrait. A l’analyse la photo se présente sous la forme LT à G et TL à D. Au point que l’on pourrait dire que cette image reflète le mauvais équilibre sanitaire du patient.
A l’opposé, un sujet sain est du type TL à G et LT à D (TL/LT).
C’est aussi l’état que doit prendre le malade après exposition aux Biofilms TL /LT.
Structure atypique Oscillante du malade
Comme certains Biofilms, la photo du patient peut être oscillante. Ceci est confirmé par le stylo oscillant N°7.
Dans ce cas, on retrouve sur le portrait un point avec le stylo N°4 universel. Via Paint et son quadrillage, un point est repéré et gommé. Le visage perd alors son état oscillatoire. On note que ce point axial est sur la ligne médiane de la face.
On s’assure aussi que ce visage est du type LT/TL Sinon, on le retourne horizontalement en le faisant pivoter avec Paint.
Le Test de remède favorable
Il est assez simple. Une photo de malade de type LT/TL est affichée près du bord de l’écran à côté de la liste TL/LT des substances médicinales à analyser, au centre de l’écran. Le scannage, le balayage avec le stylo N°4 Universel, des substances activées, toutes sélectionnées révèle un ou deux remèdes favorables car complémentaires, pulsant en Long. On prend soin de désactiver le premier pour que le second s’exprime. Ces deux Biofilms seront thérapeutiques.
Le test est possiblement moins simple.
La liste reste muette avec Le stylo N°4 ou bien il révèle une zone de pulsions en Travers.
Dans ce cas, le stylo N° 5 est utilisé ; c’est un stylo Universel Inversé. Lors du balayage il discerne une substance qui pulse en travers. Nous sommes en présence d’une substance rivale aggravante. Cette substance est désactivée.
On doit alors reprendre le scannage avec le N°4 et cette fois-ci un médicament, pulsant en long, pointe son nez : il est bon.
Tout ceci souligne qu’un mauvais produit peut être plus fort qu’un bon et qu’il masque ainsi son expression, sa représentation.
Il faut donc se méfier de toute liste d’apparence muette.
Note : cette désactivation préalable du produit antagoniste ne peut se réaliser sur les listes de Biofilm du site de remedes-numeriques. En cas de difficulté, il ne reste plus qu’à copier les Biofilms dans un dossier Windows à part.
RÉALISATION PRATIQUE DES BIOFILMS
Tout produit pharmacologique ou pathologique est enregistrable de différentes manières ; les protocoles ont bien évolué avec le temps.
Toute substance photographiée est constituée d’une plage et d’un point axial. Plage et Point constituent deux entités opposées. Si la plage est l’image d’une dermatose, négative, l’axe central est l’icône positive, l’abrégé curatif de cette dermatose.
D’où l’idée d’amplifier cet axe central, plus exactement ce point axial, pour en faire un Biofilm thérapeutique. Le problème : cet axe perpendiculaire à la photo est infiniment petit, étroit, plus fin qu’un cheveu et sa capture est difficile à effectuer sans qu’on n’empiète sur la plage environnante. Bref, l’isolement du point est difficile à réaliser.
Le logiciel paint.net et le flou gaussien
Ce logiciel intervient ici. Une fois le point axial, marqué, entouré d’un petit halo de couleur de repérage, le substrat informatif est transféré sur Paint.net. Un Zoom maximal de ce point est réalisé de sorte que la couleur prend la place centrale.
Mais comment développer cet axe central toujours aussi fin dans la plage de couleur ? L’idée nous est venue de le dilater en le floutant. Parmi les « effets » offerts, le flou gaussien s’est révélé le meilleur ; le « rayon 7» semble être le bon index. Cette dilatation de l’axe central dérive donc du zoom et du FG (flou gaussien). Une capture d‘écran fixe donc l’ensemble de ce Biofilm initial coloré.
Retour au logiciel « Paint » et son quadrillage
Ce logiciel permet de faire subir au Biofilm initial sa maturation en damier à 4 champs :
Sélection de la moitié inférieure et retournement vertical de celle-ci,
Redimensionner le film à 60%,
Vérification via le stylo N°3 que les 4 champs sont bien TL/LT, sinon retournement horizontal de l’ensemble du film.
Si état oscillatoire, recherche d’un petit carré via le stylo N° 4, souvent dans la plage inférieure. Un coup de gomme lui fera disparaître son état oscillant.
Notes :
1/ Ce petit axe ôté, correcteur des oscillations des Biofilms, n’a rien à voir avec l’axe central informatif initial.
2/ Ce Biofilm à 4 champs LT/TL est un état initial. Mais ce système s’avère oscillant avec le temps… En fait ceci n’est que le reflet de l’état du Pulsologue qui les mesure, de l’état oscillant dans le temps de ses champs cutanés.
Sans Pulsologue ou patient devant, ce Biofilm LT/TL reste fixe.
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LE PLAN SPIRITUEL DES BIOFILMS
Origine des Biochamps inducteurs des stylos.
Les stylos sont induits par exposition à des Biochamps spécifiques.
Quels sont les Biochamps en jeu ? Leur importance est grande car ils sont censés transformer des stylos en détecteurs plus ou moins spécifiques !
Comment obtenir un Biochamp très pur ?
Cette question majeure me poursuit depuis les origines de la Pulsologie. Dans tous les chapitres de Pulsologie, je signale et décris les divers types de détecteurs sur lesquels je me suis appuyé pour progresser.
Mais force est de constater que je me suis à chaque fois éloigné de la physique du Dr Nogier avec ses détecteurs métalliques ou colorés, de la physique des champs EM de Luc Montagnier, bref je me suis éloigné de la science.
Mes études sur les compositeurs de musique sacrée ou sur les chants grégoriens m’ont fait évoluer vers la Spiritualité Chrétienne que j’ai ajustée à la Biologie. Des textes bibliques m’ont affermi dans cette voie, j’y reviendrai. L’analyse pulsologique des photos ou des images des Saints a consolidé cette conception.
J’en suis donc arrivé à étudier une Image très connue des chrétiens : l’Icône de la Sainte Trinité d’Andreï Roublev. Cette Icône byzantine se trouve à Moscou. J’ai sélectionné une reproduction sous forme de broderie.
Le mystère veut que l’exposition d’un stylo en plastique (quelle que soit la couleur unie qui l’enrobe), devant cette Icône, produit une induction très forte et transforme ce stylo en détecteur de champ (stylo N°2 et N°3). Ils permettent de retrouver les 4 angles des Biofilms, sous forme TL/LT.
Le mystère du Verbe
Cette étude repose sur le Prologue de l’Evangile selon St Jean.
« Au commencement était le Verbe et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu ».
J’ai alors écrit les Mots : « Sainte-Trinité-Broderie-de-Roublev » et j’en ai fait un Biofilm selon le protocole décrit supra. J’ai ensuite placé un stylo devant ce Biofilm et constaté que ce stylo avait exactement les mêmes propriétés que le premier, directement exposé à l’Icône. Tous les deux étaient N°2 et N°3.
Biochamps Universels
Ils visent à compléter les qualités des Biofilms N°2 et N°3. Ils veulent être capables de tester, à la fois, les remèdes simples et les remèdes ex-Oscillants dont un axe a été ôté.
Pour ce faire, j’ai aussi ôté un axe fixe, sur les bandes inférieures des N° 2 et 3. J’obtiens deux Biofilms N°4 et N°5. De ces deux champs émanent les stylos Universels correspondants.
Note : les N° 3 et N°5 sont des formes Inversées des N°2 et N°4, inversées par retournement H horizontal de tout le Biofilm via Paint.
Pour ma part ce sont les N° 5 LT/TL et N°4 TL/LT que j’emploie le plus souvent au cours des tests, le 5 pour déceler les substances favorables au malade, le 4 pour évincer les substances nocives qui masquent les favorables.
Note : le N°5 LT/TL est de même nature que la photo du malade LT/TL, lors de la recherche du remède bénéfique TL/LT.
Le Mystère des Noms propres.
La spécificité du Nom
« Il compte le nombre des étoiles, il donne à chacune un nom ». Psaume 146.
L’expérience du Mystère du Verbe, vue ci-dessus peut se prolonger dans tout le domaine des Noms propres. Et, à partir d’un Nom de malade, d’une maladie, d’un médicament, un Biofilm peut être réalisé.
Ce qui compte, c’est la spécificité du Biofilm. Du Mot « Colchicine » émane un Biofilm éponyme. Et si je juxtapose sur l’écran la « crise de Goutte » et le Biofilm Colchicine, une forte résonance de complémentarité s’opère (la spécificité de la Colchicine dans le traitement des crises de goutte est bien connue).
Autre exemple. Il m’est arrivé de produire un Biofilm à partir de la photo de comprimés X et un Biofilm à partir de la photo de la boîte vide portant le Nom X. Les deux Biofilms avaient une même spécificité X.
Nous sommes donc devant un fait pulsologique indéniable.
Le Nom du médicament est bipolaire, il contient à la fois la substance et son contraire, son axe central + et sa plage (-). L’observation me montre que c’est l’axe central qui est curatif ou du moins actif, la plage portant les effets secondaires. Pour moi l’essence même du mot est portée par le point axial.
Le nom d’un médicament est une exclusivité du labo pharmaceutique, même si son signifiant varie avec le pays où il est commercialisé ; Il recouvre le même générique ; idem pour un idéogramme chinois ; idem pour la formule chimique en 3D qui représente le concept moléculaire. Dans les quatre cas le signifiant est bipolaire.
Le signifié pourrait-il l’être, bipolaire ? Les Noms compréhensibles, intelligibles (la catégorie, l’espèce, la famille, le groupe…) ne donnent pas d’axe central très informatif, même s’ils en ont un.
Les graphèmes Hébreux
Ce mystère des Nom propres ou des signes propres, quand j’y repense, m’a conduit à une réminiscence. J’ai retrouvé , il y a 10 ans, en 2012, un dossier sur les Graphèmes Hébreux qui sont an nombre de 23. Cet alphabet consonantiques (sans voyelles) comportait à l’origine 22 lettres.
Or ces signes hébraïques ont une valeur numérique, symbolique et mystique qui est abondamment illustrée par la Kabbale.
Les médecins Pulsologues qui m’avaient transmis cet alphabet assuraient, à l’époque que ces graphèmes avaient un certain pouvoir curatif.
J’avais alors du mal à les suivre…Mais 10 ans plus tard, je reconnais humblement qu’ils ouvraient une Porte spirituelle pleine de perspectives. Je n’ai donc rien inventé. J’envisage, d’ailleurs, de faire des Biofilms de ces graphèmes. Il convient d’exprimer que certains Biofilms sont irréalisables : YAHVE JESUS et ESPRIT.
Du Nom au Biofilm en pratique
L’essence d’un Nom simple ou composé, c’est son Axe central !
Le Mot, écrit en gros, est transféré sur Paint.
Son pourtour est sélectionné et rogné : le repère médian inférieur doit être aligné avec un trait vertical du quadrillage.
C’est sur cette ligne médiane et verticale que le stylo N°3 trouve le point axial, il est marqué d’une tache de couleur.
Exemple :ce mot composé avec des traits d’union réalise dans son ensemble une image LT/TL ; il suffit de le retourner Horizontalement pour qu’il soit TL/LT.
L’analyse de ce point axial coloré révèle déjà les futures transformations que subira le Biofilm. Ce Point peut parfois se manifester ponctiforme avec le stylo N°2 (avec le N°3 il apparaît imprécis, en halo).
L’ensemble du Mot peut être oscillant : son Biofilm devra être rééquilibré par un axe ôté.
Bref, le Mot annonce déjà ses futures transformations pour parvenir à l’homogénéité de liste, de groupe.
J’imagine ceci probablement à tort : la substance que le Nom recouvre n’est pas parfaite, sa structure en 3D n’est pas optimale.
La Présence du Pulsologue dans le champ de mesure
J’ai déjà abordé ce problème de nombreuses fois.
Le Pulsologue fait des tests de résonance entre un malade et des substances médicinales en s’appuyant sur son propre pouls. Il intervient donc peu ou prou dans les résultats. Il peut exagérer une résonance si lui-même est sensible à la substance ; il peut minorer voir annuler une résonance si la substance favorable au malade lui est personnellement hostile. Le plus souvent il n’altère qu’assez peu les résultats mais cela ne se fait qu’à son insu.
C’est ici qu’intervient mon propre Nom imprimé sur un Bristol tel qu’il se présente dans le dernier exemple. Nanti d’une cordelette (autour du cou), sa face écrite regarde mon sternum et neutralise mes mesures.
Ceci illustre encore ce qu’est la puissance du Nom…
Cas du malade présent en personne
Si le malade réel est placé devant le PC ou devant la liste thérapeutique d’un dossier, il est bien sûr accompagné du Pulsologue qui s’interpose avec son pouls pour accomplir les mesures.
Dans cette situation, le praticien est contraint de se neutraliser selon la méthode précédente énoncée. On peut aussi entrevoir qu’il dépose son Bristol sur le patient, sur ses vêtements, Nom tourné vers son corps.
Le malade et l’acupuncture
Les Biofilms de médicaments n’oscillent qu’indirectement via le Pulsologue qui leur imprime cette oscillation.
En revanche, le patient qui réclame de l’acupuncture représente un ensemble de champs cutanés oscillants et les points pathologiques qu’il affiche sont aussi oscillants.
Pour les dépister nous utilisons un Stylo inféré avec un Biofilm issu de
« S.T.B.Roublev-Substances-oscillantes ». Ce stylo N°6 dispose alors du pouvoir de détecter les points d’acupuncture majeurs favorables au patient. J’inclus les points d’auriculothérapie.
Le praticien bien sûr se neutralise.