28 TESTS D’IDENTIFICATION D’UN REMÈDE

27 – Mots-clés : génériques , mélanges racémiques , rivalité ,

Identification d’une molécule Y inconnue.

Ce problème vise à établir une base « objective » à la Pulsologie. Comment donc identifier 2 molécules sœurs, l’une étant Y que nous avons en SW et l’autre Y’ incluse dans un groupe numérisé ? Le procédé consiste à montrer que Y’ est nocif pour son identique Y.

La substance Y est placée en SW gris contre l’écran. La liste de remèdes numériques contenant Y’ est activée à l’écran et survolée avec les détecteurs stylo. La résonance vraie entre Y et Y’, qui pulse en travers, est du type toxique (Centre / Centre), du genre rivalité et non une incompatibilité Point axial / Halo, comme entre fœtus de sexes opposés.

Il peut y avoir plusieurs réponses (divers mélanges) mais la molécule la plus proche est celle qui engendre le plus grand nombre de pulsations.

 

Problème des Génériques.

La Pulsologie nous offre ici une possibilité, qui n’est pas liée directement au malade, ni à la pathologie, mais à la pharmacologie. Nous savons, par exemple, que des génériques sont généralement substitués à de nombreux remèdes. Question importante : un générique, fabriqué par d’autres laboratoires que celui qui l’a créé, a-t-il la même valeur thérapeutique ?

Pour une formule chimique donnée la reproduction doit être une copie conforme ! Or nos tests révèlent des différences entre les molécules génériques. Des différences cliniques d’acceptabilité viennent confirmer ces tests.

La principale cause de ces différences provient du degré de pollution de chaque échantillon ; mais la forme galénique (avec excipients divers) n’est pas non plus à négliger.

Normalement, après dépollution, les substances sont identiques.

Problèmes des mélanges racémiques

La plupart des molécules pharmacologiques sont chirales (symétriques mais non superposables dans l’espace (comme deux mains)). Un mélange est racémique quand il existe une égale proportion d’énantiomères dextrogyres (déviation de la lumière polarisée vers la droite) et lévogyres (déviation vers la gauche). Cette coexistence semble sans conséquences clinique. C’est le cas de molécules bien connues comme la Lévodopa® ou le Lévothyrox® qui sont lévogyres et dont les formes dextrogyres sont inefficaces.

CONCLUSION.

 

Ils nous permettent surtout de comparer des substances à priori identiques comme les molécules originales et leurs génériques ; ces molécules sœurs ne sont pas toujours aussi performantes et nos tests le montrent. Certes la pollution en est souvent la cause.