26 RESULTATS

25 – Mots-clés : Chakras , quatre zones silencieuses , Halo péridermique , nocivités de contact , zones de Lentz ,

La valeur d’une technique se mesure à l’aune de son efficacité ; en médecine les résultats cliniques sont les seuls juges. Ces effets cliniques restent cependant discutables en raison des multiples facteurs placebo, des individualités souffrantes, des remèdes dont nous disposons mais aussi en raison des problèmes statistiques qui découlent des trois premiers facteurs.

Nonobstant, nous allons passer en revue quelques exemples de problèmes techniques propres à la Pulsologie sur lesquels nous pouvons agir.

ALLOTHERAPIE

Bien que nous ne l’ayons guère évoqué, nos collections de médicaments allopathiques sont les plus nombreuses. Que ceux qui veulent connaître ces listes se reportent au site www.remèdes-numeriques.com .

ACUPUNCTURE ET AURICULOPUNCTURE

Nous n’insisterons pas ici sur les différents programmes acupuncturaux propres aux diverses pathologies. Nous devons surtout mentionner la richesse en points d’acupuncture que chaque pathologie affiche grâce à l’usage d’un stylo universel adapté à l’heure de son emploi et grâce à l’écran qui envoie, par effet miroir, l’image du praticien et qui neutralise celui-ci.

Il n’est guère de séance d’acupuncture qui n’ait donné de bons résultats immédiats. La durée de l’amélioration ou de la disparition des troubles dépend bien sûr de la fonctionnalité ou de l’organicité de ces troubles.

Il faut ici mentionner l’activité générale des points d’auriculo-acupuncture. Dans un certain nombre de cas, les points auriculaires peuvent surpasser les points d’acupuncture périphériques. Le plus souvent, il existe une certaine autonomie autant des points d’oreille que des points périphériques.

IATROGENIE, INTOLÉRANCE DIGESTIVE, ZONES PATHOGÈNES

Iatrogénie.

Nous savons que, de temps en temps, nous nous trouvons devant un malade dont le pouls refuse de se mettre au repos dès le début de l’examen.

Raison initiale ; il est arrivé en voiture et est pollué magnétiquement.
Raison secondaire : le patient est « intoxiqué » par un médicament. Si l’on dispose des médicaments réels absorbés, la simple pose, sur la peau du patient, du produit responsable, fait cesser les fortes pulsions en travers et le pouls devient exploitable car silencieux.

Mais en l’absence de ce produit, il faut dépolluer le malade en ayant recours au cristal réel de Labradorite dont la surface est mise en parallèle à la peau. En balayant le corps nous cherchons alors des quatre zones silencieuses et les corrigeons. Ces zones sont situées à proximité des points d’acupuncture suivants : (Conc 12, GI 14, Foie 8, VB 25 sur ligne axillaire). Le pouls redevient, après contact de ces zones avec la LBD, calme et disponible.

Plus simplement on peut exposer le malade, dès son arrivée, au Biofilm de LBD numérisée.

Intolérance alimentaire.

Chez les patients sujets aux intolérances alimentaires, il y a des troubles cliniques et il arrive que le pouls soit perturbé de la même façon. Cette intolérance s’apparente à l’iatrogénie. La LBD mais aussi l’exposition au Biofilm de l’aliment nocif parviennent à pacifier le pouls.

Zones pathogènes à respecter ?

Il y en a deux sortes. Les points de torsion sources de champs de torsion (CDT) et les zones de Lentz des arcades maxillo-occipitales.

Les points de torsion pathologiques.

Dans les cas de cancers, on trouve ces points de torsion sur toutes les chaînes ganglionnaires (cervicales, axillaires, inguinales, sternales ou abdominales). Ces points d’apparition très précoce témoignent de la réactivité immunitaire des ganglions. Nous ne les corrigeons pas.

Les points de torsion naturels.

Ils se situent sur la couronne maxillo-occipitale : ils sont symétriques et diamétralement opposés. On peut dire que ces points de Lentz sont des points de torsion localisés à une circonférence entourant la base du crâne.

Nous devons concevoir que l’organisme émet spontanément d’autres CDT naturels : les Chakras. Ces derniers sont en opposition de phase avec les zones de Lentz.

Ces zones particulières peuvent être mises en relief via un trèfle ou via un détecteur universel. Jusqu’ici nous nous sommes abstenus de perturber ces zones particulières.

SUBSTANCES POLLUEES-POLLUANTES

En raison de leur nocivité sélective de contact avec un individu, nous avons aussi montré que certaines substances étaient désinformées par le contact direct avec la peau du praticien et du malade. Ces nocivités de contact ne sont pas réversibles spontanément. Il est donc indispensable d’avoir recours à la dépollution par exposition à de la Labradorite numérisée et amplifiée de ces médicaments.
Cette pollution est sans doute en liaison avec le Halo péridermique, porteur de l’information génomique de chaque sujet.  L’ingestion digestive, orale, ne pollue pas le médicament par contact.

IDENTIFICATION DE SUBSTANCES PHARMACOLOGIQUES

Nous sortons ici des références cliniques et thérapeutiques. Nous entrons dans la pharmacologie pure. Nous avons déjà abordé ces tests d’identification. Grâce au pouls, il nous est possible d’identifier une substance Z en se référant à notre pharmacothèque numérique.
Les Biofilms numérisés ne sont pas en contact avec la peau ; ils constituent une référence stable, d’autant qu’ils visent à influencer bénéfiquement le malade.

Cette technique d’identification a le mérite de s’appliquer aux substances homéopathiques. Il est même possible de définir la dilution (masquée) de la substance Y homéopathique en survolant toutes les couleurs de dilution.

CONCLUSION

Qu’ils soient diagnostiques ou thérapeutiques ces résultats se sont appuyés au départ sur des substances réelles.

Une autre méthode d’approche, plus analytique via la Biologie numérique, vient améliorer ces résultats.