25 REMÈDES FAVORABLES – TESTS DE CHOIX
24 – Mots-clés : Bristol à son Nom , dépollution SWS , Nom en damier auto neutralisant , Périderme , personnes âgées, photo d’identité , pointer le remède de près , polymédicamentés , quatre zones cutanées du corps signant la pollution , remèdes intermittents , selfie, stylos U horaires ,
Les tests de remèdes visent à élire les remèdes qui sont les plus propices au malade dans son individualité. Un remède personnalisé est un remède qui ne vise pas le sujet ou le germe qui l’infecte mais qui vise le couple sujet-germe, leur symbiose négative, leur synergie nocive.
Les tests se font tous à partir de la salive du patient et des médicaments de base de chaque spécialité médicale.
LE CADRE DE L’EXAMEN.
C’est le même que celui qui préside à la mise en évidence des points d’acupuncture
Les points d’acupuncture partiellement électromagnétique (EM), sont accompagnés de Biochamps (non EM).
Pour que ces points s’expriment normalement, il est nécessaire que des interférences n’aient pas lieu entre ces champs acupuncturaux et les champs issus des remèdes favorables. Il en va de même pour les tests.
Maîtriser les champs biologiques
A/ Le champ Biologique du praticien.
Rappelons que la meilleure manière de neutraliser le praticien revient à l’effet miroir affiché sur l’écran du PC : par le selfie du médecin ou sa photo d’identité ou par son Nom écrit retourné horizontalement, auto neutralisant (placés en bas de l’écran),
Il est judicieux que les lunettes du praticien soient nanties d’une cordelette reliant ses branches derrière la tête pour réaliser un circuit fermé
B/ Le champ biologique du malade.
Lui seul nous intéresse. Faut-il encore qu’il soit « pur ».
Or à son arrivée en cabinet de consultation, il ne l’est que rarement.
Le patient arrive vers vous presque toujours en voiture et ce depuis plus ou moins loin. Et, selon la durée du trajet, il est plus ou moins pollué par le fort champ magnétique émis par l’alternateur de la voiture.
Avant que tout examen pulsologique commence, nous l’exposons, via l’écran de notre ordinateur, à un Biochamp de Labradorite. Et cette dépollution peut être plus ou moins longue (voire > 2 min). ; nous la suivons sur notre propre pouls.
S’il en a, ses lunettes sont retirées ainsi que sa montre-bracelet.
Ce Biofilm Labradorite est aussi employé à l’arrivée de tout prélèvement salivaire parvenu par courrier postal ; en réalité la dépollution a lieu directement sur le SandWich Salivaire (SWS).
LES DÉTECTEURS
Repérage des remèdes par stylo induit à partir d’un Biochamp spirituel Universels
LA « RÉSONANCE » DES REMÈDES
Nous focaliserons nos tests uniquement à partir de remèdes numériques affichés sur écran du PC, et à partir du SWS accolé aussi à l’écran. La résonance se faisant via le pouls du médecin et un détecteur universel.
Sa surface est parfois occupée par le Biofilm de Labradorite. Celui-ci permet une dépollution continue du SWS qui repose sur lui.
Les remèdes.
Ils se regroupent dans une liste spécialisée où les médicaments numériques sont classés par ordre alphabétique. La liste est sélectionnée, activée en son entier.
Ils entrent en résonance avec la salive pathologique en SWS de la façon suivante : le remède élu résonne au centre, le SWS résonne en halo comme si celui-ci se voyait inversé par ce remède.
Le remède premier est désactivé, ce qui permet d’évoquer un second remède ; ce second désactivé offre la possibilité d’en trouver un troisième. La spécificité, la personnalisation du remède diminue en allant du premier au dernier, mais compte tenu de la tendance ininterrompue des médicaments à être « en rupture de stock » le dernier peut être le bienvenu.
La salive
Elle est placée en SWS. L’ensemble est dépollué devant un Biofilm de Labradorite puis coincé dans l’angle inférieur droit de l’écran par une cordelette verticale entourant le moniteur.
Parfois la salive reçue est doublement polluée. En effet, en cas de pathologie iatrogène, la salive porte cette information, sans oublier la deuxième cause de sa pollution, son transport postal.
CONFIRMATION DU REMÈDE UTILE – RÉACTION D’ÉCART
Qualitativement.
Quand on pose un remède bénéfique sur la peau du patient, son pouls se met tout de suite en état de silence total, d’inhibition, il semble en « apnée », totalement silencieux. Le Dr P. Nogier avait déjà noté cela en contactant l’oreille avec un bon remède et de plus il avait noté une forte réaction du pouls à l’écart du pavillon de ce même bon remède. Il appelait cela la réaction favorable d’écart.
Cette réaction d’écart doit être réalisée par le patient : le remède Z étudié est mis entre ses doigts ; il contacte son thorax puis écarte son coude du corps.
Dans tous les cas il faut veiller à ce que le médicament testé soit pris entre le pouce et l’index seulement du patient (même champ cutané). Veiller aussi à ce que le sujet ne soit en contact avec aucun meuble trop proche et non neutre ; il peut être assis sur un simple siège, encore mieux debout.
Les procédés.
Le premier, le plus simple, consiste à ne pas toucher le malade qui fait cette réaction contact / écart. Le praticien ne fait que prendre son propre pouls. Il note alors qu’au contact le remède est silencieux et qu’en fin d’écart, il résonne plus ou moins fortement : ceci signifie que le remède est favorable.
Si la résonance est forte au contact et silencieuse à distance, c’est le contraire, la substance testée est néfaste.
Le second procédé vient compléter le précédent. Si le praticien est en capacité de mesurer sur son pouls la réactivité du malade, c’est qu’il participe, par sa proximité, au périderme de ce patient, à son Halo. Il doit donc, en cas de doute, se neutraliser par effet miroir issu de son PC ou par un Bristol à son Nom retourné horizontalement, regardant son sternum (via un collier en circuit fermé).
Ce nom inversé réagit au trèfle G, il est donc G alors que moi-même suis Droitier-cutané : il me neutralise donc.
Quantitativement.
Il convient ensuite de mesurer numériquement l’affinité du remède. On peut en effet dénombrer, compter, le nombre de pulsations actives engendrées par le contact / écart. Plus ce nombre est grand plus utile est le remède.
Rappel : on prendra soin de suivre le « binôme oscillant » lors de son léger glissement alternatif le long de l’artère radiale afin que le comptage ne soit pas interrompu prématurément.
Le caractère quantifiable de ces pulsations est primordial pour établir la posologie et surveiller le traitement.
RECHERCHE D’UNE NOCIVITÉ TARDIVE
Qu’une substance pharmacologique possède une action favorable ne signifie pas qu’elle soit dénuée de toxicité. Cette nocivité peut se manifester à retardement, après pose du remède sur la peau : après un certain délai de contact des signes péjoratifs (des réactions transversales de nocivité) surviennent : la substance « pollue » le patient, du moins trouble son pouls.
Le test de contact-écart de Nogier varie alors avec le temps. La répétition des contacts fait bien vite apparaître des réactions négatives du pouls. P. Nogier appelait cela : réaction d’allergie ; nous préférons l’appeler « réaction de nocivité retardée ». Le test d’écart révèle alors, de manière corrélative, une faible utilité du remède lors du décompte des pulsations.
Enfin, certains médicaments, bien indiqués au moment de l’examen, n’avouent leur inadéquation que quelques jours après leur réelle absorption, les méandres de leur métabolisme en dérivés nocifs étant imprévisibles. Un bon anti-inflammatoire non stéroïdien manifeste souvent ses effets secondaires sur l’estomac à retardement.
Incise : on peut faire l’hypothèse que cette négativité tardive est la base de la pathogénicité des substances homéopathiques diluées dont on explore les effets réactionnels.
INTÉRÊTS ET LIMITES DE CES TESTS DE REMÈDES UTILES
Ces tests de remèdes visent avant tout à cibler le ou les bons médicaments favorables au patient unique dont vous étudiez la salive. Cet avantage est considérable.
Ils sont irremplaçables pour suivre l’effet thérapeutique du remède prescrit. Certains remèdes doivent être limités dans le temps : de simples vitamines, comme la A ou la D, doivent être stoppées dès que la dose absorbée nécessaire est suffisante. Un surdosage devient vite nocif et aucune méthode, à l’exception de la Pulsologie, ne peut vous apporter ce confort de surveillance.
D’autres remèdes réclament un ajustement de la posologie en raison d’un sous-dosage : tel sujet se trouvera bien de faibles quantités d’un produit, tel autre incitera le praticien à doubler les doses usuelles indiquées par le Vidal.
Les remèdes intermittents sont facilement méconnus des médecins. Certains remèdes ne doivent être dispensés qu’un jour sur trois, c’est vrai pour les personnes âgées et ceux dont le métabolisme est ralenti. Las ! seuls les Pulsologues sont aptes à donner cette précision.
Bénéficier de certains remèdes qui ne se trouvent pas autorisés par la pharmacopée est un avantage sérieux. De nombreuses crèmes ou pommades à usage externe s’avèrent propices sous forme de Biofilms, tels des antibiotiques ou antifongiques. S’y exposer leur confère un usage interne inattendu.
Les limites de ces tests sont représentées par l’absence de substance médicinale favorable au patient, soit parce que la collection du médecin est incomplète, soit parce qu’aucun remède n’a été découvert par les laboratoires pour l’affection en cause…soit que le remède ait été retiré de la vente pour diverses raisons : « son efficacité n’a pas été démontrée » ou bien « il n’est pas assez rentable », ou bien « nous l’avons racheté et mis au placard pour que notre nouvelle molécule, bien plus onéreuse s’écoule » ou bien « il est en rupture de stock car les pays étrangers prévalent, votre SS n’étant pas assez concédante ».
Ajoutons évidemment que certaines substances médicinales réelles sont irremplaçables : l’insuline est l’exemple type. Certaines préparations anciennes comme l’Eucalyptine Le Brun qui permettait de réaliser de micro-abcès de fixation très curatifs ont disparus pour donner de l’aire aux antibiotiques…Et les Biofilms ne peuvent rivaliser.
Signalons aussi que les tests de remèdes sont aussi inopérants dans un domaine bien particulier, celui des pilules contraceptives qui ne sont pas physiologiques et qui ne peuvent entrer dans le cadre des remèdes utiles. Tout au plus peut-on établir un ordre décroissant de nocivité pour une patiente donnée.
PROBLÈMES POSES PAR LES MALADES POLYMEDICAMENTES.
Les tests auxquels nous venons de procéder aboutissent à des remèdes idéaux (dans la mesure où ceux-ci existent dans une collection… et dans les pharmacies) pour le malade vierge de toute thérapeutique préalablement instituée. Malheureusement pour le praticien, certains patients sont imprégnés de remèdes divers dès l’examen initial.
Notre première tâche se cantonne alors à inventorier ces médicaments ingérés et à tenter d’en mesurer leur intérêt réel, ce qui n’est pas toujours facile. Il est impératif que le patient vienne avec un échantillon de tous les médicaments qu’il ingère car nul praticien ne peut prétendre disposer d’une pharmacopée complète. Et des erreurs d’appréciation sont possibles car certains médicaments, quoique bons, peuvent avoir subi une désinformation par leur transport ; l’idéal est de les dépolluer tous avant test…
Ces remèdes se classent globalement en 4 catégories quand on les teste individuellement. Les remèdes utiles affirment leur nécessité sans équivoque lors de la réaction d’écart ; s’ils sont prescrits selon une bonne posologie, à distance de leur prise, ils résonnent pendant 3 ou 4 pulsations ; s’ils résonnent pendant 20P, leur posologie est sous-dosée.
Les seconds sont indifférents, semblent non indiqués ni défavorables, mais un remède utile qui vient d’être ingéré en quantité convenable n’affiche plus sa nécessité… le supprimer serait préjudiciable. Pour juger de son utilité il est donc nécessaire de recourir à « la réaction d’écart » qui peut donner une réaction positive discrète mais suffisante pour confirmer que le remède est impliqué. En cas de doute, on peut diminuer de moitié un remède pendant les 24 heures qui précèdent la consultation suivante, afin de mesurer la réelle appétence du patient à son égard. Si son indifférence persiste, il est à supprimer.
Les troisièmes sont les nocifs purs ; il convient de les pointer du doigt dès la première consultation. Comment les détecte-on ?
A/ Soit le médicament apporté n’a pas encore été essayé. Malgré une dépollution, il engendre de fortes oscillations au contact de la peau et la réaction d’écart est totalement silencieuse. Ce médicament est à proscrire sans délai.
B/ Soit le médicament a été absorbé dans les 12 heures précédant la consultation et le malade est donc intoxiqué (iatrogénie au tout début). D’emblée, le sujet manifeste des oscillations (binômes transversaux) spontanées, qui font obstacle à tout examen du pouls. Pour neutraliser ce phénomène, il convient d’exposer le patient au Biofilm numérisé de Labradorite.
En l’absence de ce Biofilm, nous dépolluons avec la pointe du cristal de Labradorite les quatre zones cutanées du corps qui signent la pollution, comme on en trouve dans toutes les intoxications alimentaires : ligne médiane abdominale, face interne des genoux, ligne axillaire sur côtes moyennes, bras externe (Conc 12, Foie 8, VB 25 sur ligne axillaire, GI 14).
Ces zones arrondies, qui ne sont pas des points d’acupuncture physiques mais des points biologiques purs sont caractéristiques de la pollution iatrogène. Il suffit alors de laisser la LBD au contact de ces points jusqu’à ce que toute oscillation cesse. Et l’examen du pouls, redevenu silencieux, peut reprendre.
La pose du ou des médicaments nocifs sur la peau confirme, par les pulsions transversales, induites (le pouls venant d’être remis à zéro), leur nocivité.
CONCLUSION
Nous décrivons la méthode des tests de remèdes faite à partir d’un sandwich salivaire SWS.
Elle a recours dès lors aux remèdes numérisés listés sur l’écran du PC.
Nous abordons le contrôle des tests de médicaments via les réactions contact / écart.
Nous insistons encore sur la neutralisation du praticien.
Certains remèdes ont une efficacité transitoire du fait de leurs effets secondaires ; nous les analysons.
Nous passons en revue enfin les problèmes concernant les malades prenant plusieurs médicaments, ce qui nous conduit à différencier les substances utiles, les indifférentes, les nocives.
Les tests de toxicité, nous ont offert nos plus brillants succès thérapeutiques, grâce à la suppression des remèdes, aux effets secondaires nocifs imprévisibles, prescrits de manière pourtant judicieuse par des confrères compétents. Ils nous permettent aussi de détecter des incompatibilités entre remèdes bien choisis.