22 CHAMPS DE LATERALITE ET CHAMPS BIOLOGIQUES

21 – Mots-clés : ATSU , damiers déphasés ,  l’emplacement D ou G du SWS , feutre à 2WW , Latéralité initiale ,  Réflexothérapie ,

L’étude de la « Latéralité biologique » de chaque individu, repérée très tôt au cours de notre prospection, a stagné longtemps. C’est à partir des Latéralités salivaires numérisées puis à partir du feutre à deux Windsor que nous avons pu réaborder la notion de Latéralité, tant biologique que pharmacologique.

Ce feutre à 2W nous introduit aussi dans un domaine jusqu’ici inconnu des Pulsologues, celui de la Réflexothérapie.

Latéralité cutanée

Tout sujet sain est constitué de champs cutanés (32) en damier (16+ et 16-), bordés de lignes frontières permanentes, et ces lignes sont vectorisées. Selon la répartition du damier cutané, ces lignes impriment une polarité à tout sujet. Les pavillons auriculaires sont le reflet de cette polarité ou « Latéralité ».

Si le droitier biologique est tel que son oreille droite émet +, et l’oreille gauche (-), les choses sont inversées chez le gaucher biologique. Ceci fut apprécié, à l’origine, avec les Anneaux-Tests Spiralés Unipolaires (par blindage d’une face) D et G et le pouls.

Il n’existe aucun rapport entre un gaucher biologique et un gaucher moteur.

Latéralité salivaire et sa définition

La salive de tout sujet manifeste aussi une Latéralité et celle-ci est en accord avec la latéralité cutanée des pavillons auriculaires.

Malgré tous les méandres techniques sur lesquels nous avons navigué, la Latéralité salivaire est toujours restée une donnée propre au donneur, un paramètre permanent.

Définition : Quand le SW salivaire est placé de chaque côté de la tête du patient, nous avons deux possibilités de réponse du pouls. Pour obtenir le silence basal du pouls, tantôt le SW salivaire doit être posé du côté D (sujet à Latéralité D) tantôt du côté G (sujet à Latéralité G). Si le SW salivaire est du mauvais côté, le pouls ne se met pas au repos, il ondule longtemps…

Le feutre à deux Windsor et les champs biologiques.

Il faut avouer que la méthode que nous venons de décrire est assez primitive en ce sens que l’emplacement D ou G du SW salivaire, sur la table d’examen, est le seul à déterminer le silence du pouls et donc la Latéralité. Or ce procédé était parfois incertain quand la Latéralité s’exprimait de façon peu intense.

L’amplification numérique m’a conduit à découvrir un instrument inattendu : le crayon feutre cerclé en son centre de deux nœuds de Windsor (tel le nœud de cravate du même nom).

Ce « feutre à WW » est le premier instrument mis au point pour définir la Latéralité salivaire. Une de ses extrémités est D et l’autre G. Si le survol de la salive avec la pointe D donne une résonnance, la salive est considérée de Latéralité D…

Ce feutre à WW a bien d’autres propriétés qui ont été évoquées. Ce feutre à WW détermine d’une manière plus générale ce que j’ai appelé les Champs Biologiques (CB) auxquels appartiennent les champs cutanés en damier, le Biochamp de Latéralité de chaque salive.

En outre ce feutre décèle des points cutanés plantaires qui évoquent les thérapies se groupant sous le vocable de « Réflexothérapie ». Tout Organe numérique se projette sur la plante des pieds selon cette cartographie.

Critiques du feutre à WW et de la Latéralité salivaire.

1/ Inconvénient du feutre : il est bipolaire, Latéral D à une extrémité et Latéral G à l’autre. Et comme tous les instruments bipolaires (aimant, pile…) il est générateur d’oscillations lentes dans le champ d’examen. Exit.

2/ La Latéralité salivaire n’existe pas vraiment. Quand on place un SWS près de la tête d’un malade, il existe certes un côté qui établit une plage silencieuse et un autre côté qui engendre de fortes pulsations. Mais, patience ! Après 20 à 40 battements, les choses s’inversent de côté. L’oscillation lente est manifeste. Les « 40 pulsations » sont initialement à D ou à G et c’est ce qui nous a inclinés vers la notion de Latéralité. Il eut fallu parler de Droitier initial ou de Gaucher initial.

En vérité les êtres vivants se scindent en deux groupes déphasés l’un par rapport à l’autre. Et ceci s’exprime sous la forme de deux damiers déphasés.