20 LA LATERALITE DES SUBSTANCES – LES PSEUDO-MÉDICAMENTS
Mots-clés : Biofilm hybride, Biofilm LTLT, Biofilm viral spécifique d’un mutant, faux remèdes, Liste cohérente, médicament ambigus LLLL, Mots vides, détecteur 0000, opposition de phase, oxyde de graphène, Vaccins anti-Coronavirus,
Nous avons déjà largement évoqué ce fait ; il y a deux types de damiers cutanés. Nous les avons appelés « Latéralité -cutané G » et « Latéralité -cutané D ». Au vrai nous penchons sur une opposition de phase entre les sujets porteurs de ces damiers G et D.
Mais nous conservons cette notion de Latéralité cutanée qui est plus parlante, d’autant que tout sujet de latéralité cutanée gauche persiste à l’être toute sa vie ; idem pour le droitier.
Précisons que 80/100 de la population est Gauchère cutanée et 20/100 Droitière cutanée.
La cohérence des Listes.
Leur étude nous a conduit à déceler des substances Biologiques ou Pharmacologiques non en phase avec les autres ; ainsi si la majorité était LTLT, certaines substances battaient TLTL. Nous avons alors trouvé une parade assez simple : en retournant horizontalement, via Paint, le Biofilm TLTL il devient LTLT. Et en fin de compte la liste est « cohérente ».
Les deux types de Biofilms
Fort de cette manœuvre harmonisante, cette question est survenue : à quoi correspond une liste cohérente complètement inversée ? Que représente une liste entièrement TLTL ?
Nous avons alors noté qu’une liste résonnait mieux avec les gauchers et que la liste inversée résonnait avec les droitiers. Cette assertion fut appuyée par l’intercession des médicaments ambigus qui ont la particularité de pulser sous forme LLLL et, les mêmes, après inversion horizontale, sous forme TTTT.
Nous avons sauté le pas et envisagé que les LLLL étaient favorables aux droitiers (comme je le suis) et les TTTT aux gauchers cutanés.
Nous avons dédoublé toutes les substances en deux Biofilms G et D.
Note : sur les sites, le premier Biofilm de toute substance est G (80/100) et le second Biofilm dit B comme Bis concerne les Droitiers 20/100.
Et l’usage thérapeutique a confirmé cette différenciation.
La mise en place des Deux Biofilms sur les sites de soins ou de remèdes.
Notre hantise initiale fut la suivante ; la juxtaposition des deux Biofilms opposés allait-elle conduire à une auto-neutralisation, rendant les tests directs sur le site impossibles ?
Il n’en fut rien. Les tests furent au contraire boostés, amplifiés !?
Un impératif curieux : le premier devait être G et le second D (B). En cas d’inversion, il y avait perte de cohésion de liste.
Il va sans dire que la vérification de cette cohésion nous contraignit à une vérification de chaque Biofilm.
Mais nous fûmes aidés par les trèfles.
En regard de tout Biofilm G, le trèfle G résonne, en regard de tout Biofilm D le trèfle D résonne. Il fut alors aisé de réaliser cette cohésion.
Mais patatras ! Certaines paires de Biofilms étaient silencieux en regard des Trèfles et le restaient quel que soit l’ordre de présentation !!!
LES PSEUDO-MÉDICAMENTS
Cette notion de fausses substances biologiques ne m’était pas inconnue.
Une idée saugrenue m’était restée en mémoire. J’avais fait des Biofilms à partir de Mots, de Noms de médicaments. Et dès le départ certains Mots ne réagissaient pas comme les autres. Ils n’oscillaient pas, ou plutôt ne reflétaient pas mon état oscillatoire : au lieu d’être divisés en champs alternatifs, ils oscillaient globalement sans qu’un champ s’oppose à un autre. Ces Mots semblaient vides, inertes.
Et ces Mots vides étaient les Noms de spécialités médicinales anciennes ou récentes mais qui n’étaient jamais entrés en résonance lors de tests…
J’en était donc venu à m’interroger sur leur valeur biologique réelle. Je les avais collectés dans une liste dite 00000.
Je réalisai donc un stylo détecteur 000000, induit par cette liste 00000 activée, sélectionnée.
Puis je m’aventurais à balayer, scanner mes listes dites cohérentes G ou D (B). Et je trouvais dans presque chaque liste un ou plusieurs éléments résonants 000000. L’analyse des paires G / D me révéla qu’aucun trèfle n’engendrait d’état oscillatoire sur l’un ou l’autre Biofilm.
Je parvenais donc à définir comment se comporte un faux médicament : il ne réagit pas aux trèfles.
Je purgeai donc mes listes de ces pseudo-médicaments via le stylo 00000. Et la collection des faux-remèdes s’amplifia. Evidemment, ces substances non réactives aux trèfles, ne peuvent être séparées en D et G, ils forment une liste unique.
Conséquences de cette nouvelle purification des listes de médicament réels.
1/ Disparition des Biofilms LTLT ou TLTL.
Dans une liste de 50 substances médicinales, il suffit qu’un seul pseudo-médicament soit présent pour que presque tous les autres alternent LTLT. Toutefois, les plus atteints sont ceux qui sont à proximité du pseudo dans la liste ; en revanche, celui qui s’en trouve éloigné est apte à battre LLLL ou TTTT ; et ces dernières substances je les avais déjà baptisées d’ « ambiguës ».
2/ Purification des tests de remèdes.
L’étude comparée des listes identiques, l’une avec le pseudo et l’autre sans pseudo, aboutit à des remèdes favorables différents. Ce qui montre que les substances non biologiques interfèrent en brouillant les résonances.
3/ A propos des vaccins anti-Coronavirus.
Grand fut mon étonnement quand j’affichais les paires des 3 vaccins Pfizer, Moderna et AstraZeneca. Leurs six Biofilms restaient indifférents aux trèfles …
Mon objectif avait été alors de proposer ces vaccins sous forme informative, donc sans effet secondaire.
Parallèlement j’avais été averti, dès le début de l’apparition de ces vaccins, de la présence d’un adjuvant vaccinal inducteur, l’oxyde de graphène. J’avais très tôt fait un Biofilm « anti-oxyde-de-graphène » pour vérifier cette assertion. Effectivement une résonance se produisait entre les vaccins informatifs et cet oxyde : je démontrai ainsi la présence du graphène, même si toutes les informations télévisuelles n’abordaient jamais cette question.
Je mis en ligne ce Biofilm « anti-oxyde-de-graphène » pour soulager les personnes vaccinées, sujettes à des effets secondaires. Certaines en acceptant de s’exposer à ce Biofilm s’en trouvèrent mieux.
Reste la question de l’ARN messager. Comment savoir s’il est lui-même totalement biologique, nonobstant ses effets positifs sur la protection sérologique des vaccinés pendant 4 à 6 mois ?
Je réalisai alors un Biofilm hybride dont la moitié G était le demi-Biofilm du vaccin Pfizer et la moitié D le demi-Biofilm de l’anti-oxyde de graphène. Et c’est alors que la plage Pfizer condescendit à résonner avec un trèfle. Après retournement horizontal, cette plage Pfizer résonna avec l’autre trèfle. Donc, aucun doute ; l’ARN messager est bien biologique. La plage graphène demeurait muette.
Dans le vaccin réel, c’est l’ensemble ARNm – graphène qui le rend non biologique, le non-biologique l’emportant sur le biologique.
Finalement, mes 2 Biofilms hybrides Pfizer peuvent servir de vaccins informatifs.
Personnellement je suis assuré que le Biofilm viral Coronav AY4 .2 informatif est plus actif que le Pfizer informatif, car il est exempt de Graphène et spécifique du mutant delta.
Note : ce virus se trouve dans : www.remedes-numeriques.com / 26 / Virus MTS1.