16 STRUCTURE DES CHAMPS CUTANES

16 – Mots-clés : ATSU , 32 champs cutanés en damier , Latéralité , Médius , opposition de phase , pulpes de ces doigts , T Or-Ag ,

Revenons sur les Anneaux Tests Spiralés (ATS). Ils nous ont donné la possibilité d’accorder le pouls (le mettre à plat), de manière temporaire mais artificielle. Ils vont nous permettre de découvrir que les êtres humains se divisent en 2 groupes, chacun ayant une « latéralité » propre, supposée alors électromagnétique (EM).
De cette observation découle un problème subsidiaire que nous évoquerons sans le résoudre ici : peut-il y avoir compatibilité entre examinateur et examiné de « latéralités » opposées ?

Par leur ambiguïté, les ATS aux deux faces contradictoires, sources d’oscillations lentes, ont contribué à la réalisation des ATSU (ATS Unipolaires).

Les ATS U (Unipolaires) sont des ATS blindés, sur une face, par une plaque de fer. Les ATSU permettent de confirmer la double polarité des êtres humains et de mettre en évidence la structure du revêtement cutané. Ce revêtement cutané se présente sous la forme d’un damier. Il y a 2 types de damier selon la « latéralité » du patient. Les champs cutanés qui composent chaque damier sont délimités par des lignes de séparation à la structure particulière.

Nous avons évolué sur cette notion de Latéralité. En vérité il est plus juste de dire que les sujets de « Latéralité » différentes sont en « Opposition de phase » les uns par rapport aux autres. Ceci entre dans le cadre de tous les phénomènes oscillants de la Biologie.

 

DE L’USAGE DES ATSU

Les ATSU, en raison de leur blindage, perdent leur bipolarité intrinsèque et deviennent des instruments d’expérimentation manipulables. Mais ils sont étudiés par paire selon la face blindée. Il y a donc un ATSU (unipolaire) + ou « droit » et un ATSU (-) « gauche ».

Tout le revêtement cutané interagit avec les ATSU.

Chez le sujet dit Droit, le contact de l’ATSU + avec le pavillon antérieur de l’oreille D ou avec le côté D du visage révèle des binômes alternatifs continus alors que la face rétro pavillonnaire D, comme l’occiput adjacent D, sont silencieux. Avec ce même ATSU + posé sur l’occiput G (diamétralement opposés) et sur l’écaille temporale G (face postérieure de l’oreille comprise) on retrouve ces mêmes pulsations continues.

Le « Gaucher » présente les mêmes quadrants mais de manière inversée, en regard des ATSU.

Bref la peau du crâne se présente sous la forme d’un damier. 

Ce schéma en damier du sommet de la tête est généralisable à tout le corps.

LES LIGNES FRONTIÈRES.

Elles sont analysées par survol d’un détecteur bimétallique (pointe d’un T Or-Ag).

 

Ligne latérale du corps.

Il est aisé de la décrire. La « ligne Latérale » sépare la face antérieure du corps de la postérieure. Partant du vertex elle descend vers les oreilles autour desquelles elle se dédouble : l’une suit la bordure postérieure des oreilles et l’autre passe devant les tragus, formant ainsi une sorte de ligne circulaire péri auriculaire bilatérale. La ligne latérale se prolonge sur les côtés du cou, poursuit sa course le long des faces externes des membres supérieurs contourne les cinq doigts, remonte sur la face interne des membres jusqu’à l’aisselle puis suit bilatéralement les flancs du tronc pour poursuivre sa route autour des membres inférieurs et pour finir au milieu du périnée.

Structure de la ligne médiane du corps.

La plus courte frontière, est la « Ligne Médiane » du corps qui passe par l’ombilic, le sternum, le nez, la ligne des épineuses vertébrales… La Ligne Médiane (LM) se subdivise en 8 segments de polarités alternées. En effet, si un ATSU les survole, les segments impairs sont plats, font silence et les pairs ondulent, sont actifs (sujet à latéralité D) ; l’inverse chez le sujet à latéralité gauche.

La Ligne Médiane (LM) comporte huit points neutres placés entre les 8 segments. Le premier est situé au milieu du périnée, le second se confond avec le nombril. Le troisième occupe le milieu du sternum. Le quatrième est à la pointe du menton. Le 5ème se localise au sommet du crâne. Le 6ème se place au bord inférieur de l’occiput. Le 7ème sépare les vertèbres D4/D5. Le 8ème se projette en L2/L3. Entre ces points neutres existe une double ligne parallèle bordant chaque champ ; ces lignes se croisent à chaque point neutre.

Les points neutres définissent 4 étages : le 1er englobe les membres inférieurs et l’abdomen sous-ombilical ; le 2ème comprend l’abdomen sus-ombilical et le thorax inférieur ; le 3ème occupe le thorax supérieur les membres supérieurs et le cou ; le 4ème la tête.

Polarités des segments de la LM du corps. Cette LM est divisée en 8 segments de polarités alternées. Survolons ces segments avec une des pointes Or ou Ag d’un détecteur en forme de T : si le segment abdominal sous-ombilical est silencieux, le segment sus-ombilical et thoracique inférieur est oscillant, le segment thoracique supérieur cou est silencieux et celui de la face oscille. Il y a inversion des réactions si on utilise l’autre pointe.

Lignes horizontales du tronc.

La ligne circulaire, qui passe par les mamelons en avant et les épines des omoplates en arrière, a été la première observée. Elle croise la ligne latérale (à 5 travers de doigt sous le pli des aisselles), et rejoint la LM postérieure entre les vertèbres D4 et D5.

Les 2 autres lignes horizontales : l’une se confond avec le bord inférieur du maxillaire en avant et celui de l’occiput en arrière. L’autre passe par le nombril et rejoint l’espace intervertébral D12- L1 en arrière. Ces lignes, doubles elles aussi, délimitent des champs de nature opposés.

Ces lignes coïncident donc parfaitement avec les 8 segments de ligne médiane décrits antérieurement.

 

Lignes médianes des membres (LMM).

Il existe une ligne médiane, située au milieu des faces antérieures et postérieures des membres (LMM). Cette ligne double délimite donc 2 champs de nature opposés.

Aux membres supérieurs la LMM se confond en avant avec le méridien dit « Maître du cœur » et en arrière avec le méridien « Triple réchauffeur ». Aux membres inférieurs se trouvent des lignes équivalentes non dénommées : l’une passe par le milieu de la rotule, l’autre par le milieu du creux poplité. Les LMM antérieures et postérieures se rejoignent à l’extrémité du 3ème doigt (médius ou orteil). Les LMM antérieures des membres supérieurs prennent leur source en dedans de la tête humérale, celles des membres inférieurs à trois doigts au-dessus de chaque aine. Les lignes postérieures sont symétriques des antérieures.

Les médius des mains (ou des pieds) ont l’exceptionnelle particularité d’être le siège des quatre champs cutanés fondamentaux ; nous aurons à y revenir.

Les faces antérieures du pouce, de l’index et la partie Antéro-externe du médius appartiennent au même champ ; et ce sont les pulpes de ces doigts qui contactent tout détecteur, lors des tests que nous ferons avec lui (Chap. 11, 14). Si l’annulaire ou l’auriculaire entrent en contact par mégarde avec le détecteur, il y a antagonisme de champ et l’information transmise au détecteur est réduite.

Le dédoublement des lignes frontières.

Nous venons de décrire toutes les lignes frontières qui délimitent les champs cutanés disposés en damier. L’analyse détaillée de chacune de ces lignes frontières révèle qu’elles se dédoublent en 2 lignes, espacées de 8 à 10 mm. Chaque champ semble avoir sa propre ligne, sa propre enveloppe. En réalité chaque ligne est de nature opposée au champ qu’elle borde. Entre ces lignes se trouve un interligne neutre.  Une ligne frontière est donc bipolaire.

Comment se manifeste le survol de ces lignes quand la pointe d’un détecteur en T les parcourt de part en part ? La pointe Argent (du T Or-Ag) part du champ + et rencontre sa ligne bordante (-) : des binômes alternatifs continus transversaux se manifestent au-dessus de cette ligne (marquée au crayon dermographique), puis silence au-dessus de l’interligne frontière neutre, puis de nouveau binômes alternatifs continus au-dessus du champ (-). La pointe Or du détecteur part du champ (-), rencontre sa ligne bordante + (marquée aussi au crayon), puis la zone neutre plane, puis le champ + ondulant.
Les pointes Or et Ag communiquent donc des informations inversées.
On note alors que ces 2 lignes marquées l’une après l’autre sont distinctes et bien séparées.

Ces 2 lignes peuvent aussi être identifiées par survol d’un T dont les 2 branches sont parallèles à la peau et perpendiculaires aux lignes : le champ situé d’un côté de la ligne ne réagit pas de la même façon que le champ situé de l’autre côté : on a soit des binômes alternatifs continus soit le silence. Un petit rebond de ligne précède un intervalle neutre avant que les ondulations du champ adverse ne reprennent.

 

Lignes circulaires.

Sont circulaires les lignes qui entourent les aréoles des seins et celles qui définissent les cercles virtuels scapulaires (angles internes des omoplates). Ces lignes circulaires, ont une polarité opposée à celle du champ thoracique qui les contient. A ces cercles thoraciques font écho les cercles des oreilles situés sur chaque face des pavillons.

Le détecteur en T Or-Argent les définit comme précédemment (les branches étant parallèles à la peau et perpendiculaires à la ligne) : on note que les deux éléments de cette ligne horizontale s’écartent pour circonscrire l’auréole puis se rapprochent ensuite pour poursuivre la ligne horizontale. Idem pour les oreilles où la double ligne verticale se dissocie pour circonscrire le pavillon. Seule la nature double des lignes frontières peut rendre compte des lignes circulaires qui s’écartent autour des oreilles et des cercles thoraciques.

Points neutres de Ligne Médiane du corps.

Les lignes étant doubles, comment se manifestent les points Neutres de la LM qui séparent segments et étages ? L’analyse détaillée montre qu’un croisement se produit au niveau de ces points N. Ceci accompagne l’inversion de polarité de chaque segment.

STRUCTURE DES CHAMPS CUTANÉS : CONTRE-ÉPREUVE

Certains allèguent que ce sont les ATSU qui impriment, qui structurent, par leur présence, le revêtement cutané. La plus simple preuve du contraire réside dans l’impossibilité d’inverser la latéralité naturelle d’un sujet (en inversant les ATSU + et (–) de côtés) sans mettre le pouls de ce dernier en oscillations continues.

Les ATSU n’imposent pas une polarité, une latéralité, mais captent, concentrent et diffusent l’information émanant surtout du patient ; avec les ATSU les informations personnelles du praticien semblent minorées au sein de la « bulle » que forment les 2 sujets, liés par le contact « main pouls » …minorées certes, mais malgré tout présentes.

La « Latéralité » D ou G des malades n’est pas équitablement répartie dans la population : 80/100 sont gauchers, 20/100 sont droitiers. Elle ne dépend ni du sexe ni de l’âge ni de la pathologie. Elle n’a aucun rapport avec la motricité puisque les gauchers-moteurs sont vraiment très minoritaires. Elle explique pourquoi, avant sa découverte, un sujet sur cinq avait un pouls instable. Elle explique aussi pourquoi les auriculo médecins sélectionnaient, à leur insu, surtout les malades de polarité identique à la leur : les résultats de leurs examens aboutissaient à de meilleurs résultats cliniques et thérapeutiques qu’avec ceux qui battent en opposition de phase ; ceci est source d’oscillations lentes.

 

LES ATSU SONT VECTORISES.

Outre leur polarité, nous avons découvert que les ATSU possèdent une particularité liée à l’extrémité externe de sa spire. Si nous décrivons des cercles, avec la pointe d’un détecteur en T Or-Ag, autour d’un ATSU posé sur une table, que se passe-t-il ? On note, au pouls, la présence d’un petit rebond, d’une petite épine en un endroit précis de la périphérie de l’ATSU et d’un faux rebond diamétralement opposé (côté extrémité externe de la spire). La droite qui unit ces 2 signaux est un axe, plus précisément un vecteur.

Lignes frontières vectorisées. Si nous survolons les lignes frontières du corps avec les vecteurs des ATSU, nous constatons que ces lignes sont orientées, axées de manière vectorielle. L’orientation de la ligne est alors définie par le vecteur de l’ATSU établissant le silence du pouls (ou son oscillation maximale) dans le sens ou en contresens de cette ligne survolée.

CONCLUSION

Les ATS et les ATSU nous ont procuré des réponses de premier plan à un certain nombre de problèmes que nous avons rencontrés et ont représenté un moment important de notre recherche fondamentale. Ils nous ont permis de mettre à jour un certain nombre de paramètres et de les analyser. Ils nous ont permis de décrire les 32 champs cutanés en damier (16+ et 16-). Le rapport étroit qui lie ATSU et champs cutanés trouvera sa confirmation lors de la découverte des Champs Biologiques (Chap. 7).

Ils nous ont révélé leurs limites. Très intéressants pour décrire les champs cutanés, ils ne nous apportent pas grand-chose sur le plan acupunctural ou sur celui des tests médicinaux. La raison en est simple, si un ATSU  a perdu sa bipolarité intrinsèque grâce au blindage, l’emploi des deux ATSU +  et (-) réalise une bipolarité extrinsèque, source d’oscillations lentes, d’où leur exclusion, leur bannissement.