14 ELEMENTS NÉGATIFS PERTURBATEURS DU POULS – EXOGÈNES ET ENDOGÈNES

14 – Mots-clés : bruit de fond , cercle fermé ,  lampe de Heine , bracelet-montre ,  oscillations induites , phases transitoires de silence , phytosanitaires ,  portable , spires , tissus synthétiques ,

Dans de bonnes circonstances, le pouls radial est calme et silencieux. C’est d’ailleurs à partir de cet « état de grâce », que les jeunes médecins peuvent sentir, percevoir leurs premiers « RAC ».

Mais dès sa prise en main, le pouls radial peut s’exprimer sous forme d’ondes alternatives (les binômes). Ce manque de calme initial est gênant ; il équivaut à un « bruit de fond » ; il relève de facteurs généraux essentiellement informatifs. Malgré la mise au repos physique du sujet, les binômes, ces ondes A et B alternées, perdurent. Nous sommes d’abord amenés à inventorier les éléments perturbateurs du pouls.

Rappel : description des oscillations lentes induites par les divers éléments perturbateurs que nous allons passer en revue.

Ce bruit de fond est souvent constitué d’oscillations « lentes ».

Les oscillations lentes perçues à la palpation se présentent ainsi : les binômes alternatifs croissent en intensité, passent par un maximum puis décroissent et disparaissent (c’est la 1ère phase), ensuite s’établit une seconde phase de silence et ces 2 phases ont une durée égale. Ces oscillations sont en fait plus ou moins « lentes », il en est des courtes (3 à 10 pulsations par phase) et des très longues (> 100 pulsations).

Ce sont ces phases transitoires de silence, qui donnèrent si souvent l’impression trompeuse que le pouls était calme, ajusté…Ces oscillations parasites peuvent volontairement être induites par des anneaux-tests spiralés rotés en position de silence ou en position oscillante forte.

ELEMENTS PERTURBATEURS

1/ Eléments actifs

Cette étude est d’autant plus importante qu’une incompatibilité oppose les Biochamps thérapeutiques et les champs magnétiques ou électriques.

L’information qui émane du vivant voire de la matière d’une façon générale est une « information oscillante ». Et cet état doit être respecté. Mais bien des éléments physiques contrarient cet état biologique.

Les champs magnétiques émis sont néfastes. Ils dérèglent le pouls de différentes manières, mais surtout en générant des distorsions dans le milieu ambiant, dans le champ d’examen.

Le plus inattendu est le suivant. Quand un malade sort de sa voiture et arrive en consultation, son pouls n’est jamais calme. Il est pollué par le puissant champ magnétique de l’alternateur de sa voiture, et cette pollution est d’autant plus importante qu’il vient de loin. Et quinze minutes de voiture suffisent à le polluer.

Notre pratique habituelle consiste donc à l’exposer à un Biochamp de Labradorite émis par l’écran de notre PC avant tout examen plus poussé.

Plus sournois sont les aimants hébergés dans le cabinet médical. Quels qu’ils soient, ils doivent être tous bannis. Mais ce n’est pas toujours facile.

Certaines sources magnétiques résident dans les rhéostats des lampes halogènes allumées. La parade consiste à placer leur bobine sur un axe parallèle à la ligne médiane du corps du patient allongé ou assis. Il en va de même des petits aimants : leur axe Nord-Sud doit être aussi parallèle.

A défaut, si l’axe est perpendiculaire au sujet, son pouls ne se calme pas. Et si l’axe est oblique, il engendre des phases alternatives de silence et d’agitation du pouls, le pouls est oscillant.

Ces oscillations induites sont incompatibles avec les oscillations informatives naturelles qui s’en trouvent contrefaites, feintes ; elles sont sources de méprises.

Stade plus ténu des champs physiques ; les champs électriques qui entourent les piles électriques cylindriques avec leurs pôles opposés. Ces piles sont souvent en double, en ligne, en série. Elles occupent les lampes torche, les lampes de Heine en particulier qu’utilisent certains médecins ORL (ou les auriculomédecins).

Même parade qu’avec les aimants : mise en parallèle avec le malade ou éloignement du champ d’examen.

Note importante : tous ces éléments polarisés doivent être mis parallèles à l’écran du PC lorsque la recherche se fait par cette voie.

2/ éléments passifs

A côté de ces sources actives en continu de pollution de l’information, existent des objets inattendus, inertes et influents.

Les spires ou les ressorts métalliques ont deux extrémités libres, ils constituent des « queues de cochon » comme les appellent les électroniciens. Ces spires sont aptes à modifier l’intensité des champs électromagnétiques, selon leur angle de rotation.

Nous avons en recours, il y a longtemps, à ces spires (Anneux-tests spiralés). Ils nous ont permis de découvrir ou de confirmer que les humains se divisent en deux types de personnes, ceux qui réagissent avec une face et ceux qui réagissent avec l’autre face. Cette avancée théorique a eu pour conséquence, après usage, de les oublier dans notre champ d’examen… et de ne pas percevoir tout de suite leur effet délétère.

Une spire a deux faces opposées en miroir et comme tout instrument bipolaire, elle est source d’oscillations lentes. Exit une fois encore la lampe de Heine dont les piles sont calées par un fort ressort spiralé…

Autre objet inattendu : les cercles ouverts. Les bracelets de cuivre en font partie. Mais ils sont bien moins répandus que les paires de lunettes. Pour pallier les oscillations lentes qu’ils engendrent, il faut fermer ces arceaux. Eloigner les bracelets de cuivre, et surtout les lunettes des malades. Problème : le praticien porte souvent lui-même des lunettes. Et la seule solution pour évacuer les oscillations lentes qu’il peut induire consiste à apposer un cordon sur les branches des montures, ce cordon passant en arrière du cou compose un ensemble en cercle fermé. Les cercles fermés n’engendrent aucune oscillation lente.

Les objets attendus : le téléphone portable. Il comporte une assez forte batterie dont le champ électrique peut être perturbateur après recharge à 100/100. Il faut trouver l’axe du portable pour le mettre, lui aussi, en parallèle ou l’éloigner. La montre-bracelet est à retirer elle aussi (en raison de la pile ou d’un ressort).

3/ Les éléments endogènes.

Ils sont susceptibles de perturber le pouls, malgré la mise au repos du sujet. Ces éléments sont les suivants : essentiellement les médicaments ingérés, mal indiqués et nocifs, qui constituent ce qu’on appelle les maladies iatrogènes ; ainsi que les aliments mal tolérés par le sujet, les allergènes alimentaires, et surtout les aliments pollués par les produits phytosanitaires.

Même si ces patients sont venus à pied au cabinet médical, ces éléments endogènes perturbateurs du pouls seront aussi neutralisés par l’exposition à la Labradorite.

NB : si le médicament iatrogène est disponible (dans le sac de la patiente), la pose de celui-ci sur sa peau neutralise l’effet perturbant de son ingestion, c’est un test indirect.

4/ Les élément vestimentaires

Dernier élément agitateur du pouls. Il n’est ni extérieur, tel un champ magnétique, ni intérieur, tel un médicament nocif mais intermédiaire, cutané. Il s’agit, souvent chez les femmes, de sous-vêtements en tissus synthétiques mal tolérées ; du prurit, des démangeaisons sont souvent associés aux troubles du pouls. Dans ce cas, la Labradorite n’agit pas, seul le retrait du sous-vêtement rend le pouls égal.

Comme on le voit, si la Pulsologie est l’étude de l’information pure, cette étude peut rencontrer des obstacles inopportuns, entravant le dialogue informatif.

Nous venons de dire que la pose sur la peau d’un médicament ingéré nocif avait pour effet de neutraliser cette perturbation du pouls. Autrement dit, toute substance en contact avec la peau directement ou indirectement posée sur la table d’examen, induit une information pouvant altérer l’examen du patient. Bref, lors de la prise du pouls d’un malade « in vivo », aucun instrument ne doit être en contact avec la table d’examen sur laquelle il repose.

NB : la table est homogène, symétrique, et n’imprime pas sa marque sur le sujet allongé.

CONCLUSION

Cette analyse des sources de l’instabilité du pouls au repos est instructive autant dans le domaine des champs informatifs passifs (les substances pharmacologiques) que dans celui des champs actifs (lampes, moteurs, portables…).

La prise en compte et la réduction de tous les facteurs perturbateurs que nous venons d’étudier est-elle nécessaire ? Sans doute, mais elle est insuffisante : la stabilisation volontaire des oscillations lentes du pouls de beaucoup de patients ne fut pas au rendez-vous. La question principale devînt la suivante : pourquoi ceux qui se présentaient avec un pouls initialement perturbé étaient toujours toujours les mêmes ?